
Notre nouvel outil Genius Analytiques vous aidera à améliorer la performance de votre atelier et à accroître vos profits. Lors de notre prochain webinaire, nous vous présenterons le nouvel outil et vous montrerons comment le personnaliser et l’utiliser dans votre atelier afin de prendre des décisions d’affaires plus rapides et plus intelligentes.
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On va partir tout de suite avec notre agenda. Pour les habituer, vous savez, je vais faire une petite introduction à qui nous sommes ici, de Genius Solutions. Je vais prendre probablement 5, 6 minutes pour faire le tour de la question: qui est le genius? C’est quoi notre offre? Et par la suite, on va tomber dans le vif du sujet. On va parler des analytiques, des données aujourd’hui. C’est quoi les défis du marché actuel par rapport aux données? Dans le manufacturier, je n’irais pas beaucoup plus large que ça. Et après ça, les solutions. Pourquoi on parle d’analytique? En quoi c’est une solution? Et vraiment, on va venir pousser encore plus la donnée dans le sens qu’on va venir vraiment parler de genius analytique avec le sujet numéro quatre, la solution de genius. Puis, je vais vous en parler, mais je vais aussi vous amener dans une solution un petit scénario où est-ce qu’on va être un gestionnaire de production et on va vraiment venir utiliser les examens mythiques de zéro. Donc, on va partir vraiment d’une base et on va en construire un pour vous montrer à quel point c’est facile à l’utilisation et que c’est accessible pour vous avec GeniusERP.
Évidemment, on aura des questions. Ne quittez pas trop vite parce que j’ai vraiment une section prochainement après qui va vous parler de qu’est-ce qui s’en vient sur en zone. Qu’est-ce qu’on va avoir pour vous prochainement en webinaire et autres? En toute dernière page, si vous voulez bien rester avec nous jusqu’à la fin, je vais vous montrer un petit peu ce que les prochaines dates de nos prochaines sessions du style comme le webinaire aujourd’hui et autres. Alors, si on part, Introduction à Genius, qui nous sommes. Genius, ça fait 30 ans qu’on est dans l’industrie. Il faut faire attention, au début, on n’était pas un fournisseur de logiciels, on était des fournisseurs de consultations en ingénierie industrielle. On a des gens dans l’industrie manufacturière dès le début et c’est quelques années après, ça va faire 25 ans à peu près, que le logiciel de Genius, la compagnie de Genius ERP, existe et sur le marché. Vous voyez, notre empreinte est principalement, et et surtout en Nord-Amérique. On commence à avoir certaines empreintes ailleurs, mais notre focus principal est vraiment en Nord-Amérique. On a une centaine d’employés depuis trois ans maintenant, si je me trompe pas, des dizaines de milliers d’utilisateurs Ça fait beaucoup, beaucoup de gens qui ont une expérience de genius et ça grossit.
Ça fait huit ans que je suis avec de genius et je peux avoir le plaisir de dire que, selon le prochain point, comme vous le voyez, un beau petit cœur au fait que nos clients restent avec nous. Ça fait probablement Ça fait maintenant deux, trois ans que je présente presque toujours ce même genre de format de présentation pour l’introduction de Genius et ça a le demain à mon coup de cœur. Ici, le fait qu’on colle auprès de nos clients, l’adoption de logiciel est utilisée dans le manufacturier et nos clients nous le montrent en restant avec nous. 25 pour cent croissance annuelle en moyenne. Ce chiffre-là était peut-être 23, 25. On se tourne autour de ces eaux-là pas mal depuis, je pense, ça fait cinq ans qu’on est autour de ce chiffre là. Donc, on a quand même toujours une belle courbe. Et pour ceux qui nous suivent, depuis plusieurs années, vous avez vu cette empreinte-là grossir aussi dans nos présentations. On va se vanter un petit peu. Côté sélection d’ERP, sélection de logiciel. Beaucoup, beaucoup de sites nous donnent des belles badges pour dire qu’on se démarque, qu’on est un bon logiciel, que les gens y voient de la valeur.
Entre autres, la charte Gartner, qui était quand même une bonne référence dans le marché du logiciel, nous place très, très bien dans ce graphique-là, ici sur la droite, vous voyez le carré ici, qui représente la satisfaction et l’usabilité. Moi, j’aime ça dire que c’est la facilité d’utilisation en français. Puis vous voyez qu’on se démarque par rapport quand même à des belles grosses marques, ici, de logiciels. Donc très fiers aussi de notre classification à ce niveau-là. Facilité d’utilisation, donc on a plusieurs belles qualités qui se démarquent au travers de ces retours des différentes plateformes de sélection de RP. Qu’est-ce qui nous rend unique, si vous n’êtes pas au coin de qui nous sommes aujourd’hui, je vois qu’il y a quand même quelques clients existants qui étaient joints à nous aujourd’hui. On a certaines personnes qui ne sont pas clients nécessairement de Genes aujourd’hui, qui viennent découvrir un peu qui nous sommes. Alors, on est conçu vraiment pour le manufacturier. Plus particulièrement, je vous dirais, pour ceux qui font du sur mesure, qui conçoivent, qui configurent, qui font des produits sur commande. On est tous à un RP qui se démarque à ce niveau-là, complément du devis juste de cas d’encaissement dans le sens qu’on va avoir des outils pour l’ingénierie comme le cal to bomb, qui est un de nos grands différenciateurs.
Donc, c’est un outil qui va connecter des logiciels de dessin avec l’ERP. Planification à la fin point de l’industrie, on se démarque parce que non seulement on a des outils de planification tels que finis/infinis, juste à temps, dès que possible, etc. Qu’on va retrouver dans différents RP, mais on va se démarquer avec le DBA, la théorie des contraintes, ce qu’on appelle notre planification intelligente Intelligente. Si vous êtes curieux, on a des webinaire qu’on a fait dans le passé à ce sujet-là. Vous pourrez toujours aller voir sur notre site web. Au même endroit, vous êtes probablement inscrits. Dans la section Ressources Webinaire, vous pourrez aller trouver des webinaire à ces sujets-là. La plupart de nos différenciateurs, nous avons fait des webinaire sur ces sujets-là dans le passé. Alors n’hésitez pas. L’intelligence d’affaires, ce n’est pas mal. Ce dont on parle aujourd’hui, on va avoir des beaux tableaux de bord pour guider vos décisions. Je vais aller plus loin sur le sujet, ce qui fait que je n’en parlerai pas trop à ce moment-ci. Cette Cette page-là a pour but de vous montrer comment on est un tout en un. Il y a une solution complète dans une base de données où est-ce qu’on va retrouver toute l’offre, comme on disait, du devis à l’encaissement.
Vous voyez ici, on part justement du devis à la suite comptable dans la première section ici en haut pour montrer un peu l’étendue de notre offre. Ce n’est pas tout qui est identifié ici, mais on a mis quelques points essayants, que ce soit les configurateurs, la gestion de la production, la planification intelligente. Je me répète un petit peu c’est notre offre dans le fond. Et vous voyez qu’on englobe aussi d’autres fonctionnalités et qu’il y a une plateforme technologique en arrière qui est basée sur SQL,. Net, ce genre de technologies-là. On a eu des choses récemment qui est venue s’ajouter à notre offre. Récemment, Je pense que ça fait deux ans que je présente cette même page-là, il faudrait que je la mette à jour, mais quand même, ça vous donne une idée de comment on fait avancer le logiciel. A été bonifié dans le logiciel, toute la partie service terrain, portail pour les clients où les distributeurs, gestion des garanties du service après-vente, contrôle qualité par des inspections des non-conformités, des choses comme ça. Donc, beaucoup d’amélioration à l’intérieur du logiciel qui a grandi au travers des années en écoutant le feedback de nos clients et comment on peut venir d’affiner les fonctions pour servir encore mieux nos clients, c’est notre milieu manufacturier.
Alors, pour ceux qui n’ont pas de Genius, qui se demandent qu’est-ce que ça veut dire avoir Genius, comment on le déploie, comment on peut s’en servir, les modes de prestation de déploiement, peu importe comment on veut le dire. On a le mode achat ou location où est-ce que vous, ça le dit, achetez ou louez Genius. Et à ce moment-là, on vient l’installer chez vous. Chez vous étant soit sur votre serveur ou vous avez peut-être un site en hébergement, donc un serveur qui est en hébergement. Et on peut à ce moment-là aller installer Genius sur ces plateformes-là et vous y accéder comme vous y accédez présentement. L’autre option, c’est d’aller avec un hébergement avec nous, ce qu’on appelle le nuage, où Si nous avons une plateforme où nous déployons et vous vous connectez à distance pour travailler sur Genius. Donc, c’est différentes offres où nous on a un genre d’hébergement où vous gérez votre propre plateforme. Dans tous les cas, Genius se déploie très bien et peut même se déplacer d’une sorte de plateforme à une autre facilement. Je pense que pour parler complètement de l’offre genius, il ne faut pas mettre de côté la portion qu’on appelle genius Academy.
C’est arrivé un peu avant la Covid, pas qu’on l’avait planifié, C’est une plateforme de formation, mais ça va un petit peu plus loin que ça. Pour nous, c’est notre point de contact avec les clients, je vous dirais. On s’en sert à l’implantation pour faire un genre de mode d’apprentissage hybride. Les gens peuvent venir apprendre avec des vidéos de formation des quiz, mais non seulement ça, on fait aussi un parcours d’apprentissage. Donc, les gens qui embarquent avec nous, on peut vraiment faire un parcours par employé, quel cours doit-il suivre? Et ne vous en faites pas, on ne vous laisse pas bredou non plus, on a quelqu’un en implantation qui vient aussi en qui a le intérêt de joindre les deux bouts de cette information ensemble. Pour nos clients existants, c’est une plateforme où ils peuvent faire leur connaissance, peut-être pousser l’utilisation de Genius plus loin ou juste s’informer des possibilités que Genius offre. Et en même temps, si on a du roulement de personnel, c’est tout une belle plateforme où on peut aller… On a des parcours préférés selon le type de personne, par exemple. Moi, je suis un acheteur, je viens de joindre la compagnie, je vais aller dans le parcours d’apprentissage pour un acheteur.
C’est ce qui est offert sur la plateforme. Ça va aller plus loin que ça. Et d’ailleurs, on a une belle session en janvier. Je vois qu’il y a quand même quelques zones de clients existant. Je vous l’annonce à la fin, on a une session en janvier. J’aimerais bien que vous vous joignez à nous pour discuter de cette plateforme-là. Qu’est-ce que vous aimez? Qu’est-ce qui s’en vient? Vous allez voir dans les dates à la fin. On aura une belle l’invitation ou même dans un courriel pour vous remercier de la participation aujourd’hui. Il va falloir m’unir pour vous joindre à cette formation à ce forum de discussion sur la plateforme académie. Non, le moindre dans cette plateforme-là, on offre trois sessions par semaine à nos clients pour qu’il se joigne à nous poser des questions: Monsieur L’Expert, j’essaie de faire ça. Je ne sais pas trop comment m’y prendre ou on dirait que je m’y prends pas bien. Voici comment faire, Monsieur le client. Ici, on voit mon collègue Sylvain Tougat qui parle avec quelques-uns de ses clients, il a pris une capture d’écran, puis on s’est amusé à remplacer des figures par question de privacy. Mais ça me donne un exemple un peu de comment se passent ces sessions-là.
C’est un forum de discussion, les gens viennent poser leurs questions trois fois par semaine. Juste en étant sur la plateforme, ça vous donne droit entre autres. Maintenant que j’ai bien introduit, de genius, un petit peu trop passionné, ça m’a pris un bon 10 minutes, je suis désolé. On va passer au vif du sujet. Vous en faites pas amplement le temps aujourd’hui, le contenu va être faciles à livrer dans la période. Donc, les défis du marché, et je vous ramène dans le sujet. Pour commencer, quand on parle des défis, il faut se ramener. La thématique ici, c’est les analytiques, l’intelligence d’affaires, les de données. Je suis allé chercher une définition en ligne pour qu’on puisse se mettre dans le vif du sujet. On parle d’intelligence d’affaires. C’est un terme qui englobe les applications, les infrastructures ou les outils qui vont nous permettre d’accéder à l’information dans le but de faire quoi? Prendre des décisions, puis améliorer nos chances d’être profitables ou d’être plus efficaces dans notre travail. Dans le fond, ce qu’on veut, c’est pouvoir avoir de la bonne information qui nous parle. Si on regarde les défis du marché actuel, la première chose, j’ai mis big data, mais ce que j’avais en tête, c’est les silos de données ou les îlots de données.
On peut voir ça de différentes façons. On a des silos de départements, mais c’est et puis ça crée des îlots de données. Et là, on a de la misère à consolider l’information. Ou encore, certains îlots ne sont pas organisés du tout, puis il n’y a aucune façon de la ramener ensemble. Maintenant, que je mets une perspective dans le milieu de manufacturier, qu’est-ce que ça peut vous loir dire? De façon typique, mettons qu’on parle d’un client qui a grandi, d’un manufacturier qui a grandi et qui peut-être regarde pour un RP aujourd’hui. Souvent, ce type d’entreprise-là va avoir vécu avec un petit logiciel comptable, avec une panoplie de fichiers Excel qui servait peut-être à faire des estimations, un beau fichier Word pour faire nos devis, d’autres fichiers Excel pour faire des bons travails dans l’usine, des choses comme ça. On va trouver probablement de la paperasse pour la qualité ou encore une bonne vieille base de données d’accès, j’entends ça encore beaucoup aujourd’hui pour la qualité. On a tout plein de choses. Quand on parle de qualité, leur petit deal avec un bon vieux access, c’est encore très connu. Puis des formulaires papier, ça peut être ça aussi la qualité, mais aussi des punch les cartes de temps.
Je vois encore ça beaucoup aujourd’hui. Oui, on punch, mais c’est une carte et quelqu’un a retranscrit tout à la fin de la semaine. Là, de prendre des décisions au fur et à mesure, ça ne se fait juste pas. Puis, reconcilier l’information, elle est reconciliée, mais dans le but de faire la paie. Les les autres personnes, s’ils veulent l’accès à l’information, il faut qu’ils la recompilent à nouveau, souvent. Quand c’est le temps de faire parler la donnée, c’est pas toujours facile. Donc, les îlots. C’est pas mal un de mes premiers points. L’autre point, j’essaie de faire mes devoirs, comme à chaque fois que je fais un webinaire, je veux vous amener de la statistique, je veux vous amener qu’est-ce qui se passe sur le marché. À plusieurs repris, j’ai vu des statistiques qui ressemblent à celles-ci. Où est-ce qu’on parle des données exploitées? Ici, sur la gauche. Et j’ai mis une variante parce que les statistiques varient un petit peu d’un site à l’autre ou d’une provenance à l’autre. Je suis resté dans le marché manufacturier. Puis on disait, dans dans le fond, dans ces différentes études-là, quand 60 et mettons le trois quarts des données est juste non exploité.
C’est sûr que si on regarde en arrière, on va reparler des îlots, on va reparler des différents systèmes qui sont ici à la connecter. Mais même une fois qu’on arrive à d’identifier cette information-là, pas beaucoup d’informations qu’on vient utiliser par la suite ou qu’on va même essayer d’analyser. Il y a beaucoup, beaucoup de données qui pourraient nous servir, qui est non-exploitée dans le milieu. Donc, des îlots, des données non-exploité. Et l’autre chose qui revient dans certaines études sur lesquelles j’ai mis la main, c’est pour ça que j’ai mis une loupe ici, c’est l’accès à la donnée, la difficulté de trouver la bonne information. Là, ce qu’on retrouvait, c’est des études où est-ce qu’on disait qu’il y avait 6 sur 10 des employés qui disaient que c’est difficile de faire son travail parce qu’ils n’ont pas l’accès à l’information. Moi, tout de suite, ça m’a sauté. L’idée ou l’image que j’avais en tête, c’est: Je suis mon employé de plancher qui travaille, je n’ai pas cette information-là. Attends, il manque un dessin, il manque quelque chose, il faut que j’aille demander à quelqu’un. Je peux continuer mon travail, il faut que j’arrête encore. Il manque une autre information.
Et là, je peux… Ce n’est pas efficace. Même chose pour l’exécutif: Est-ce qu’on se fait passer tel job avant l’autre pour être sûr qu’on libère telle personne ou qu’on se donne le bon temps pour prendre telle autre décision? Je ne sais pas. Je n’ai pas l’information. Il faudrait aller voir telle ou telle personne sur son île puis trouver l’information. Ça se retrouve tout dans le même défi, si vous voulez mon idée, mais trouver l’information, ça peut être un défi et ça rend les gens non efficaces. Puis, par la suite, on va parler aussi du fait que… Pardon. Ceux qui me connaissent comprenez que je me bats contre un petit épicryp. Voyons ce C’est moi de faire parler l’information. C’est bon, on l’a trouvée, on a trouvé la bonne personne, mais là, ce n’est pas ça exactement que je veux savoir. Moi, j’ai besoin de savoir est-ce qu’on peut aller de l’avant? Elle ne me parle pas la donnée. Il faut que je la structure ou que je l’agence avec une autre pour qu’elle vienne me dire la bonne information. Donc, un peu tout ça. Les îlots, aujourd’hui, on ne l’exploite pas comme il faut. Quand c’est le temps d’aller la chercher, on ne sait pas où la trouver, quelle forme elle doit prendre.
C’est un petit peu tout ça aujourd’hui qui vient mettre la table pour notre sujet. Et pour arriver Je vais essayer de parler d’une solution par rapport à ce sujet-là, je vous amène dans la portion… Excusez-moi, j’ai oublié l’aspect manufacturier. Je vais donner un exemple plus proche de manufacturier. Là, j’étais à 10 000 pieds dans les airs avec les défis du marché. Je vais vous donner un couple d’exemples dans le fond de ce que je viens de vous dire par rapport au milieu manufacturier. Souvent, les besoins qu’on a, on va parler, mettons, des ventes. Je veux savoir c’est quoi mon produit qui est le meilleur vendeur ou encore la personne qui vend le mieux. Si j’ai des vendeurs, ça peut se poser comme question. Quel produit est le plus profitable, peut-être? C’est quoi les profils de mes clients? Qui revient pourquoi pour acheter quel produit? Cette information-là peut être critique pour que moi, je me démarque dans le marché puis je vais chercher une meilleure clientèle. Service après-vente. Moi, ça, ça m’ouvre une panoplie d’autres idées dans ma tête quand on parle des données par rapport à ça. Ok, tantôt, on vient de parler, c’était quel mon meilleur produit, mon meilleur vendeur?
Peut-être parce que c’est celui que je fais le plus de profit dessus à la vente. Mais qu’est-ce qui me dit que c’est un produit de qualité qui est durable? Est-ce qu’en bout de ligne, à cause de tous les effets de garantie, de remplacement, de services, peut-être qu’ils me coûtent en après-vente, finalement, à un tel point que ce n’est pas un produit qui est profitable? Avec ce Quel genre d’informations est-ce qu’elle est ramenée ensemble? Ça vient toucher un peu à ces sujets-là, entre autres. Backlog de production. Ici, je veux plus dire: Est-ce que je sais qu’est-ce que j’ai à faire? Et peut-être: C’est quoi ma prochaine date possible de livraison pour ce type de produit-là d’avoir une visibilité là-dessus, ça devient souvent clé dans notre milieu manufacturier. Aujourd’hui, l’avancement des projets, des opérations. D’avoir une image quand on se rend compte. J’imagine que beaucoup d’entre vous faites un meeting, ce n’est pas journalier, c’est au moins la semaine, savoir est-ce qu’on est en contrôle de notre production? C’est quoi qu’on produit par la suite. Les meetings de production comme ça, j’en ai vu toutes les formes et c’est là que l’information est critique à avoir en main.
Souvent, les gens arrivent avec chacun leur petit kilo d’informations, puis on essaie de la mettre ensemble, puis de prendre une décision. Là, les analytiques prennent beaucoup de formes en étant une solution dans ces rencontres-là. À l’exécutif, on parle de flux de trésorerie, cash flow en bout de ligne. Comment je prends mes décisions C’est bien beau côté opérationnel, mais côté métrique, côté savoir où je m’en vais, côté opérationnel aussi. Est-ce que je débloque des fonds ou pas? Est-ce qu’on rentre dans un certain projet à ce point-ci dans la saison? On attend le prochain cas. C’est tout à fait des choses qu’on a besoin de donner aussi. Gestion des employés, carte de temps. Un autre bon exemple, c’est où est-ce que je veux savoir: Est-ce que j’ai des dépassements de temps? Est-ce que quelqu’un a abusé un peu de temps supplémentaire? Ou est-ce qu’on a des dépassements sur certaines jobs? D’avoir accès à ce genre d’informations-là en temps réel. Ça peut nous parler à différents niveaux. Je vais donner quelques exemples, je pourrais m’étirer encore. Je ne veux pas trop m’étirer dans le défi, je veux qu’on rentre dans le vif du sujet si vous voulez me suivre.
On va aller parler maintenant des solutions possibles. Dans les sujets, je vais commencer au niveau. Qu’est-ce qu’on trouve aujourd’hui sur les réseaux, sur l’Internet, pour parler de solutions? Je suis retourné vers Gartner, vous comprendrez que pour moi, c’est une référence dans le marché. Puis j’ai trouvé une description que j’ai bien aimée sur les analytiques. Si vous fouillez un peu, je Je vais toujours vous envoyer le lien si vous êtes curieux. J’ai mis juste la définition, mais je vous explique un peu qu’est-ce qu’ils disent sur leur site, qui est quand même très intéressant. Ils décrivent les analytiques comme étant la gestion des données pour les utilisations opérationnelle et analytique. On vient d’en parler. Donc moi, j’ai besoin de données pour savoir sur quel job je vais en répondre. Je veux savoir pour le transactionnel dans le fond. Je reçois une commande client, quel prix je donne, j’ai besoin de savoir ma donnée, j’ai besoin de statistiques, j’ai besoin d’avoir un C’est-à-dire les coûts, par exemple. Donc, ces informations-là sont importantes dans l’opérationnel. Mais aussi au niveau analytique, je vais appeler ça d’une autre façon, métrique. Est-ce que j’ai bien performé le dernier corps? Est-ce qu’on est dans nos objectifs?
Donc, il y a une espèce de opérationnelle et postopérationnelle, si vous voulez, qui a des besoins. Dans quel but? Piloter les processus et améliorer les résultats commerciaux. Dans ce cas-là, on vient de le dire, je veux prendre les bonnes décisions. Je vais à gauche ou je vais à droite, je suis dans l’opérationnel, j’exécute et je veux savoir. Là, j’ai une décision à prendre. Il ne faut pas que j’arrête que je cherche l’information. Donc moi, pour définir mon processus, j’ai besoin de savoir, que ce soit dans le maintenant ou que ce soit pendant qu’on définit les processus à tous les niveaux, cette information-là est critique. Après ça, on va parler d’améliorer les résultats commerciaux. Pour moi, c’est une conséquence. Si j’ai les bons processus, les gens peuvent prendre les décisions au bon moment, je vais être plus rentable, je vais améliorer mes résultats commerciaux. Et Comment on fait ça? Par une prise de décisions plus efficace et, moi je donne celle-là, une expérience client améliorée. Vous comprendrez qu’il y avait toute une énorme description en dessous de cette définition-là sur le site. Qu’est-ce qu’on veut dire que c’est une décision plus efficace Je n’arrête pas de travailler.
Quand j’arrive à un point de décision, j’ai l’information, je peux tout y aller. Je ne l’ai pas cette fois-là, je devrais être capable d’aller facilement la chercher rapidement et qu’elle soit là la prochaine fois. Expérience client améliorée, j’ai de le dire. J’arrive un point, je ne l’ai pas, je vais la chercher. Il faut qu’elle soit là la prochaine fois. Il faut que je sois dans un milieu où est-ce que l’information est accessible pour moi. L’expérience client, moi, je pense des fois à un UI, un user interface. Si moi, je suis à un poste de travail, puis il faut que j’arrête pour une raison, faites-moi flasher une lumière rouge ou verte, tu peux continuer. Orange, je suis à risque. Des fois, on revoit des systèmes comme ça, trois couleurs. Il faut que ça fonctionne dans mon milieu. Avoir l’information, être capable d’aller la chercher facilement si on ne l’a pas pour prendre nos décisions, nos processus, qu’elle nous parle pour que je puisse prendre des décisions et l’expérience client, qu’elle soit devant moi, qu’elle soit accessible. Si on parle de la solution que des genius apportent à la table, on va venir parler des genius analytiques aujourd’hui.
Donc, qu’est-ce que c’est? Je commence par une description, puis après ça, on va aller dans notre exemple. Donc, genius analytique, je ne sais pas si vous avez vu un petit peu un aperçu. Premier glim, ça Après, on rentre dans le vif du sujet. Tout d’abord, peut-être parler de la technologie. On parlait d’Accessible, c’est sur une plateforme, sur un furteur. Avec Internet, vous allez avoir accès à vos analytiques à travers votre usager de genius. Que ce soit sur une tablette, sur si vous avez un poste, vous avez un furteur, vous êtes capable d’y accéder. À quoi ça va nous servir? On en a parlé tantôt, on ne veut pas que les gens arrêtent dans leur travail pour chercher l’information, donc on veut qu’elle soit devant eux. Cette plateforme-là est accessible à tous vos employés, pas seulement sur l’éclabouissance. Si quelqu’un a un accès à notre outil plancher aujourd’hui pour capturer du temps, entre autres, il peut voir une section analytique aussi. On peut tout à fait faire des indicateurs, des tableaux de bord, tout ce qui va aider à cette prise de décision-là, que ce soit même pour un employé spécifique ou un département spécifique. Donc, la bonne information au bon moment.
Qu’est-ce qu’on dit des données adaptées à vos besoins? Dans ce cas-là, vous êtes capable de les monter facilement, d’aller chercher ou de les modifier. Génieus va vous arriver avec toute une série de métriques, indicateurs déjà prémontés, mais l’idée derrière, analytique avant tout, je pense qu’on l’a déjà mentionné plein de fois dans les défis, il faut que ce soit flexible. Vos données vivent à différents endroits. Vous utilisez le genius ou votre RP d’une certaine de façons. Il faut être capable de la regrouper, de l’amener ensemble facilement. Et on va vous montrer tantôt à quel point l’outil est flexible pour faire ça. Dans le but, évidemment, de prendre les bonnes décisions au bon moment, ce qui est pas mal l’objectif. Il faut que les données nous parlent, qu’on soit efficace, qu’on peut rentables. C’est tout à fait l’objectif derrière le genius analytics. Là, je vais prendre votre petite participation avant de me lancer dans une démo. J’aimerais savoir. Et là, je pars la discussion ici, si vous voulez, je vais aller répondre dans le fond: Quelle portion aujourd’hui vous utilisez pour faire des analyses ou pour prendre des décisions dans l’entreprise? Vous n’avez probablement pas un chiffre exact.
Je vous demande à peu près, selon vous, Est-ce que vous utilisez toutes vos données, une portion? Je suis allé très simple. Moins d’un quart de vos données, vous pensez, sont utilisées à peu près entre un quart, la moitié, la moitié ou trois quarts, ou vraiment presque toutes vos données à 75 100 et plus. Merci. Les réponses rentrent rapidement. C’est super apprécié. J’ai déjà 70 pour cent des gens qui ont répondu. Je vais donner encore quelques instants. Dans le fond, je vais répéter un peu la question. Je suis pas sûr qu’on se comprend. Vous avez des données aujourd’hui Je ne sais pas si elles sont en îlot, si vous avez la chance qu’elles soient regroupées. Quelle partie de ces données-là, vous êtes capable d’afficher à vos utilisateurs, à vos employés, pour qu’ils puissent prendre des décisions efficaces dans leur travail? À quel point on est capable de venir l’utiliser cette donnée-là par la qui est probablement du transactionnel qui est saisi au fur et à mesure aussi. 75 pour cent, moi, ça me plaît. Je vais arrêter. Vous en faites pas, c’était tout à fait confidentiel. Ce que je vais faire, je vais terminer ici. Oh, wow!
80 des pour cent des gens. Et je vais vous partager le résultat. Dans le fond, moi, j’étais curieux de savoir par ce partage-là, c’est de savoir à quel point aujourd’hui… Ça va pas chercher un niveau de satisfaction, vous en faites pas là, je prends pas ce jugement-là aujourd’hui, mais je m’en vais plus chercher à quel point les gens aujourd’hui utilisent les données ou sont capables de les utiliser. Dans le sondage qu’on avait fait, ou dans les chiffres que j’étais allé chercher du marché, on était plus autour de 25 pour cent. Je vois qu’aujourd’hui, on a des gens qui sont quand même pas pire équipés ou qui ont des outils, probablement que vous vous êtes arrangés pour avoir les outils. Je ne suis pas surpris dans le milieu manufacturier, les chiffres montaient un peu plus quand on tombait dans un milieu de manufacturier avec des systèmes. Donc d’avoir 25 à 49 pour cent, ça fait tout à fait du sens comme réponse, comme étant la plus grosse réponse. Sinon, on voit que l’autre catégorie de réponse, c’est 25%. Je vais y aller avec un judgement call, qu’on se situe probablement entre 15 et 40% de vos données sont utilisées.
Ce qui est quand même proche et statistique que j’avais réveillent. Ça ne me surprend pas trop. Ça donne tout lieu à une discussion, je ne suis pas sûr. On verra si ça alimente nos discussions par la suite. Merci d’avoir répondu tout le monde. On est près de la réalité avec ce qu’on disait auparavant. Et là, je vais m’assurer que les gens puissent voir encore ma présentation. La dernière fois, on m’avait dit que quand j’avais arrêté le sondage, je n’envoyais plus mon écran. Alors si je tombe, que quelqu’un utilise la question-réponse, si vous ne voyez pas bien mon écran, si ça n’a pas rapport avec ce que je disais, on est dans la section démo mise en situation. Pas besoin de répondre si vous le voyez bien. La mise en situation que je propose de faire pour vous montrer un peu comment le genius analytique fonctionne ou qu’est-ce que c’est cette bête-là. On va se mettre dans la peau d’un superviseur de production. Moi, dans mon mindset, Je vais vous mettre ici dans comment je pensais le faire, je suis vraiment plus un membre de l’exécutif, mais on pourrait garder en tête que cette personne-là pourrait être aussi tout simplement un chef de département, un chef d’équipe.
C’est un peu ça l’idée que j’ai derrière la mise en situation. La problématique que cette personne-là vit, on a des Des passements de coûts, des temps non prévus, il y a probablement de l’abus, du temps supplémentaire. Puis là, ça revient à nous de valider, garder sous contrôle de nos équipes, c’est ça, mais aussi de valider où est-ce que l’abus a lieu, où est-ce qu’on a les dépassements. Alors là, pour garder le contrôle là-dessus, on s’est dit: C’est quoi la solution? J’ai besoin de visibilité. J’ai besoin que mes données me parlent. J’ai besoin d’avoir ça devant moi, d’avoir une bonne expérience client avec mon système. C’est un peu ce qu’on va faire pour faciliter ça, cette visibilité-là. On va aller chercher le genius analytique pour nous permettre de rapidement construire la donnée qu’on veut voir. Je vous invite à y penser en deux volets, dans le sens que peut-être que ce problème indique est très instantanée. J’ai besoin de me donner rapidement. J’entends souvent ce mot-là aujourd’hui, quick data, pour pouvoir répondre à un besoin immédiat. Peut-être que je n’en aurais pas besoin la semaine prochaine, puis que ça ne reviendra pas. Je suis capable de monter ça tellement vite que Je peux le monter, le mettre de côté, mais je peux aussi sauvegarder, puis peut-être l’ajouter à un tableau de bord.
Ou est-ce que pour moi, ça devient mesurable à chaque semaine? Il y a comme deux approches à cette information. Peu importe comment vous voulez l’utiliser, c’est assez flexible, notre outil, pour que vous ayez cette flexibilité-là de le faire instantanément et le refaire demain ou encore le sauvegarder et venir le mettre dans un tableau de bord et l’utiliser à tous les jours. On va être capable… Mon objectif, ce que je veux voir, c’est je veux voir les temps supplémentaires Je veux savoir, je veux pouvoir comparer mes employés qui en fait plus, voir un peu où est la but, peut-être s’il y en a, et peut-être même de voir l’impact, quel job est touché par ce temps supplémentaire-là quand j’ai des dépassements pour peut-être aller ajuster ou prévenir, je ne sais pas si on travaille avec des fonctionnaires, des gestionnaires de projets peut-être. On peut peut-être escalader certaines informations. Et évidemment aussi, être capable d’aller voir ou creuser en détail l’information. Moi, je vais aller Je suis sûr que j’ai une diapo. Voilà, démo. On tombe en démo. Avec cette thématique-là, ce que je fais, c’est je vais tomber dans l’environnement. Ceux qui attendaient à ce bout-là, c’est le temps d’ouvrir les yeux.
On va tomber dans l’environnement de genius. Vous comprenez l’outil analytique est sur une plateforme accessible à travers un furteur. Pour ceux qui ont de genius, si vous voulez poser des questions à celui-là, ne gênez-vous pas, on pourra vous guider pour l’accès. Je me retrouve avec mon usager mot de passe de genius à pouvoir me connecter. Je choisis ma compagnie parce que oui, de genius peut gérer du multi-entités. Et je me retrouve sur ma page d’accueil. Dans mon cas, moi, je me suis arrangé pour avoir un tableau de bord, je vous rappelle, je suis un membre exécutif, puis pour l’instant, peut-être qu’on a décidé dans le membre exécutif de tout partager le même tableau de bord, puis on surveille certaines choses. Là, je vais amener un point. Normalement, un tableau de bord, souvent, c’est pour rester en contrôle. Pour moi, il y a différents types de tableaux de bord. Dans le milieu manufacturier, ce que je prône, et peut-être que ce n’est pas la meilleure chose, c’est d’avoir devant nous les choses sur lesquelles on veut agir rapidement. Donc, j’ai une commande en retard, je veux pouvoir cliquer, aller voir c’est quoi cette commande-là, aller voir le qui t’aide la commande, peut-être aller voir dans la disponibilité de matières, par exemple, qu’est-ce qui est en retard, qu’est-ce qui est en rupture.
Je suis capable d’aller forer l’information. Oui, les tableaux de bord nous permettent d’aller faire du forage, c’est un bel exemple, mais où je voulais en venir, c’est que normalement, on a un indicateur, quelque chose qui est visible rapidement. Je parlais de lumière rouge tantôt. J’ai une lumière rouge qui est allumée, j’ai des cheveux en retard. Je clique, je vais voir sur quoi je dois intervenir. C’est souvent de cette façon-là qu’on peut construire nos indicateurs sur un tableau de bord. Un bon exemple, ici aussi, on peut voir, par exemple, les retours. Je vois que mon fournisseur ici est souvent en retard, où il y a beaucoup de choses en retard. Je vois la liste des PO en retard. Donc, je peux forer l’information et à tout moment dans nos indicateurs, on peut les exporter en différents un format pour aller partager avec d’autres membres de l’équipe au besoin. Vous comprendrez ici, comme membre exécutif, j’ai un accès à ça chez moi, sur ma tablette, au bureau, peu importe, je suis sur un feuille retard, tant que j’ai Internet, j’ai accès à cette information-là. Et Étant un membre exécutif, j’ai une information sur les commandes, les fournisseurs.
Même, je vois un backlog ici, la shop est loadée jusqu’à une certaine date. On est occupé jusqu’à cette date-là. Mais peut-être que moi, dans mon rôle aujourd’hui, j’ai d’autres défis qui sont spécifiques à moi comme chargé de production. Je peux très bien prendre ce tableau de bord-là. Les indicateurs restent les mêmes que mes collègues dans l’exécutif, mais moi, le service après-vente, ça me contient plus ou moins. Je vais l’enlever et je vais venir mettre un autre indicateur. Là, je tombe dans le mode, on se construit l’indicateur, qu’on va le garder dans le temps et qu’on va vouloir soutenir. J’amène un autre point. On construit l’indicateur parce qu’on a besoin d’intervenir, on a quelque chose sur lequel on veut rester en contrôle. Souvent, je vais comparer ça, vous êtes dans le manufacturier, vous allez me comprendre. On vous a peut-être Je me suis déjà demandé la question: C’est quoi votre goulot d’étranglement? C’est quoi le poste qui est votre goulot d’étranglement? Souvent, la réponse qu’on reçoit dans le marché, qui est tout à fait logique, c’est: Mais ça change. Quand j’ai un goulot, je m’y attaque, je veux résoudre les problèmes. Et quand cet endroit se ce poste de travail-là devient plus efficace.
C’est un autre poste de travail qui devient un boulot par la suite. C’est normal, on résout des problèmes, on devient plus efficace et c’est un autre point qu’on va se rendre compte qu’on peut gagner de l’efficacité. Les tableaux de bord, c’est exactement ça. Ça va refléter cette réalité-là, ils vont être toujours changeants. On veut voir qu’est-ce qui est critique pour nous. On va s’y attaquer, on va résoudre les problèmes, on va devenir plus efficace. Et c’est d’autres choses qui vont être à surveiller bientôt. C’est normal que ce soit toujours changeant, ces tableaux de bord. On pourrait être sur un outil Ce qu’on essaie de dire, c’est qu’il faut que cet outil-là soit flexible, facile à ajouter. C’est ce que je vais vous montrer. Tout d’abord, comment c’est facile d’aller chercher une information? Je vous le dis tout de suite, on en a des tableaux de bord qui ont été fournis à la sortie de genius à aller trouver plusieurs tableaux de bord, que ce soit sur vos commandes clients, vos soumissions, qu’est-ce qui arrive de vos fournisseurs. Vous allez avoir plusieurs tableaux de bord qui sont fournis avec Genius et d’ailleurs, vous allez avoir plusieurs indicateurs que vous allez pouvoir mettre dans votre propre tableau de bord aussi On en a monté quelques-uns pour que vous ne vous partiez pas bredouille, mais je pense que la force de l’outil est vraiment dans des cas spécifiques.
On disait, j’arrive devant une problématique, mes employés, arrête, cherchent l’information, on va plus loin. À ce moment-là, il faut que ce soit rapide. Allez chercher l’information et se créer une expérience client qui va être utilisable par la suite. Comment on fait ça? Je vais revenir à ma page d’accueil ici, mais à savoir que je vais tomber dans mon concepteur de genius analytics. Dans le concepteur, je vais pouvoir aller chercher une information, l’amener dans un visuel, dans une expérience client. Donc, je vais rester très simple aujourd’hui, je vais faire Créer et je vais aller dans le plus simple itération qui est une vue express. Et là, la magie commence commence à s’opérer, Gynius a travaillé très fort pour amener tous les champs du ERP ici dans une liste de choix, où est-ce que je peux amener les champs à l’écran. S’il y en a qui ont déjà fait un petit peu du travail de rapports, des formulations des choses un peu dans les logiciels, vous comprendrez qu’en arrière de tout ça, il y a énormément de travail pour aller amener l’information de toutes leurs titules. Parce que les commandes clients sont quelque part dans le système, la production est ailleurs.
Connecter tout ça, ça demande un travail d’habitude. On l’a fait d’avance On va aller chercher les champs et les amener à l’écran rapidement. On retourne avec notre problématique. Je suis en charge de la production et je m’en vais chercher l’information sur les entrées de temps. Donc, je m’en vais dans la section production. Qu’est-ce que je pourrais aller chercher? La main d’œuvre directe. Et là, dans la main d’œuvre direct, je vais aller chercher le temps. Je veux savoir c’est quoi le dépassement ou c’est quoi le temps qui a été mis. Je vais venir glisser le temps, ça fait du sens. Vous voyez, déjà là, il faut construire des données, ça va assez vite. Après ça, dans le genius, on a ce qu’on appelle le Wage, pour ceux qui ne sont pas habitués. C’est ce qui vient nous dire si le temps est régulier, temps double, temps supplémentaire. Et là, évidemment, je vous disais que la force, c’est quand je peux aller chercher l’information à différents endroits, mais je vais aller chercher aussi Je vais prendre la job, par exemple. Je veux savoir le numéro de job, savoir qu’est-ce qui est impacté par le temps supplémentaire. Mais je vais aller dans un autre endroit dans le système.
Je vais aller dans les employés parce que là, je veux non seulement savoir qui a rentré l’information, mais je veux même son nom complet. Et ici, je avoir le nom complet de l’employé. Là, j’ai le nom, le temps, quel temps supplémentaire a été fait. D’ailleurs, ici, ça ferait peut-être du sens de grouper par employé, je vais l’amener dans la zone de groupe. Là, rapidement, j’ai déjà beaucoup d’informations. Peut-être trop de l’information. On va aller mettre un petit filtre rapidement. On veut juste voir le temps supplémentaire. Vous voyez, ici, j’ai une section Filtre. Je vais venir mettre un filtre sur quel type de temps je veux voir. Vous voyez, déjà là, il est égal, mais je vais aller prendre le temps Overtime ou le temps alimentaire. Et là, une petite particularité de genius: dans les cartes de temps, nous, on les garde tous. Je vais prendre juste les cartes de temps actives parce que les cartes qui ont été corrigées ou changées vont être dans ma liste. Je veux seulement les cartes de temps actives et là, ça va venir épurer ma liste. Je vois seulement l’information qui est viable. Donc, rapidement, je vous montre ce que ça donne.
Exécuter. J’ai mon information. Là, comprenez-vous, je pense que ça m’a pris un gros trois minutes en vous expliquant monter cette information-là. Je peux déjà l’exporter. Donc, si j’en ai besoin de façon immédiate, je ne sais pas encore ce que j’en ai besoin pour le futur, mais là, je peux résoudre une problématique. J’ai de l’information, je sais qui a fait le temps supplémentaire, à quel endroit. Si c’est ça le besoin, et voilà, trois minutes, c’est fini, j’ai mon information. Mais mettons que demain, je vais peut-être en avoir besoin aussi. Ce serait bien sur mon tableau de bord que j’ai une vision dans le futur sur cette information-là. Je suis content qu’on reprenne le contrôle là-dessus. Je vais aller un petit peu plus loin. Je vais mettre un graphique parce que moi, comme visuel, si je veux Pour surveiller cette information-là, c’est lourd un petit peu. Regardez ça, puis je ne vois pas qu’il y a des dépassements. On va aller en mode graphique en plus. Je ne sais pas qu’est-ce qui est le mieux pour vous. Moi, dans mon cas, je n’ai pas beaucoup d’employés, ce qui fait qu’abord, on voit tout de suite où est-ce qu’il y a des nuances entre les employés.
Ça me parle, mais j’ai vu des situations où est-ce que des gens ont des centaines d’employés dans l’achat. À ce moment-là, peut-être qu’un funnel, un entonnoir comme ça, on voit tout de suite qui en fait le plus, ou peut-être un pie chart, un diagramme en pointe de terme, je vous parlerai plus. Vous Je vais avoir les choix des formats ou des types de graphiques que vous voulez utiliser. Dans mon cas, moi, ça me parlait les diagrammes à vendre. Je vais laisser comme ça. Je vais même aller un petit peu plus loin, je vais mettre un petit titre. Je vais l’appeler. Alors, là, ça devient intéressant à réutilisable. Je peux sauvegarder cette information-là. Je vais l’appeler… Tant en supplémentaire. Puis, pour le bien de la cause, je vais sauvegarder dans mes dossiers à moi parce qu’on est plusieurs à utiliser cette plateforme-là aujourd’hui et je me suis fait un petit dossier. Je vais le mettre ici. Là, j’ai enregistré, ce qui veut dire que je peux quitter et revenir. Je peux déjà aller le reconsulter ici sans avoir besoin d’acheter des personnes, mais moi, je vais y aller plus loin. Je vais vraiment le mettre sur mon tableau de bord.
Comment je fais ça? On va aller éditer le fameux tableau de bord en question. Je vais aller dans l’utilisateur de mon collègue qui a ce tableau de bord-là et on l’a Je vais l’enlever ici. Ici, je m’en vais dans le tableau de bord en question, puis je vais l’éditer, le modifier. Voici le tableau de bord qu’on a vu tantôt. Si vous vous en doutez, je peux l’exécuter. Pardon. On voit le même tableau de bord qu’on voyait tantôt et je Je vais faire disparaître ici la section Services après-vente. À savoir, ce n’est pas parce que j’enlève cette tuile-là que l’indicateur disparaît. Il demeure encore utilisable sur le tableau de bord de mes collègues et moi, je pourrais renommer ce tableau de bord-là pour qu’il soit juste à moi à l’avenir, à la limite. Donc j’enlève cette tuile-là. Puis, on va la remplacer par notre nouvel indicateur. Je retourne chercher dans ma section mon indicateur. Vous savez que ça devient intéressant. Comme je vous disais, plus haut, on a une librairie de genius, où est-ce qu’on en a plein qu’on a fait que vous pourrez aller tirer et amener ici dans le contenu. Et là, je vais prendre mon temps supplémentaire qu’on vient de bâtir et je vais le mettre ici.
On va le faire cute un peu, là. Je vais mettre l’espacement. Et là, vous comprendrez que si j’exécute mon tableau de bord, à l’avenir, je vois bien mon temps supplémentaire à l’écran. Qui a fait son temps supplémentaire? Une petite fonction de base, que quand je clique, je vais avoir l’information de cet employé-là. Sur quel job et où est-ce qu’il a mis combien de temps supplémentaire? On peut même directement ici changer, peut-être voir la moyenne du temps supplémentaire que l’employé fait à chaque fois. On a quand même pas mal de fonctionnalités directement à l’écran ici. Et encore une fois, quand je suis dans ces environnements-là, je peux facilement bonifier, mettre des fils supplémentaires au besoin. J’ai rapidement pu avoir ce que j’appelle du quick data. J’ai pu avoir accès à mon information pour pouvoir prendre ma décision. Je n’ai pas trop bloqué mon travail. Si je pense que ça va revenir, je le sauvegarde, puis je m’arrange pour avoir ma lumière rouge devant moi, de l’avoir ici sur mon tableau de bord. Puis être capable de dire que la prochaine fois, ça ne m’arrêtera pas, je vais lever les yeux, j’ai l’information, je vais continuer à travailler.
Donc, je réduis les temps d’arrêt pour la recherche d’informations, ce fameux 6 sur 10 des employés qui disent aujourd’hui que ça met des embûches dans leur aident à ne pas avoir accès à l’information. Pour ce qui est de l’exemple que je voulais faire aujourd’hui, je vais m’en tenir à ça pour vous montrer à quel point c’est flexible. Puis je vais passer à la prochaine étape ici dans notre présentation. Dans le fond, je conclus. N’oubliez pas, prochainement après, on a une section de questions. On va avoir quand même un petit peu de temps aujourd’hui pour répondre à vos questions. Les défis, c’était quoi? L’information est sur différents îlots, elle peut provenir de différents systèmes. Là, c’est sûr qu’il y a une solution En partant, on va parler avec un ERP comme genius, les données vont être centralisées dans votre ERP. Déjà là, l’accès à l’information va être moins ennuyeux, elle va être réunie. Après ça, on va parler aussi du fait que 60% des données sont non-exploitées. Dans votre cas, la réponse était similaire à ça. Vous m’aviez dit que la plupart des gens utilisaient 25 à 40 quelques pour cent des données. On est peut-être plus proche de 50 pour cent des données ne sont pas exploitées.
Il y a une perte de temps à chercher l’information, mais surtout à la faire parler, qu’on reste efficace, pour que votre expérience usagée, pour que vos employés soient à l’aise dans leur travail et les bons outils dans leur travail. Et c’est là que le genius analytique rentre en jeu avec la visibilité, facilité d’accès à l’information d’informations. Avec des données adaptées, avec des métriques préconçues où vous pouvez vous construire rapidement et vous vous permettez de prendre des bonnes décisions au bon moment. Je vais commencer à remarcher, parce que je tourne trop en rond, mais vous comprendrez que ça tourne beaucoup autour d’une chose, les analytiques, d’être efficace dans son travail avec les bons outils. On va passer à la fin de la question, puis n’oubliez pas le jour prochainement, juste après. Allez-y, ça Aimez-vous la section Questions et réponses pour poser vos questions. Je vais répondre live. On a quand même quelques minutes devant nous. Je vais prendre quelques questions. Si vous avez besoin de nous contacter, si vous n’avez pas écrit dans Questions et réponses, c’est très correct aussi. Si vous êtes déjà en contact avec quelqu’un chez nous, n’hésitez pas à continuer à contacter cette personne-là.
Vous avez mon courriel personnel ici. Ou encore, vous pouvez écrire à bonjour@adgeniuserp. Com. J’ai quelqu’un qui dit: Excusez-moi, j’essaie de traduire. Je pense que je comprends que c’est plus un commentaire, mais je vais le prendre pour ce que c’est. Quelqu’un me dit que sur le tableau de bord que j’ai monté, ça semblait très simple. Ok, je vais le prendre. C’est une critique un peu, mais je vais… Je vous explique. La personne dit que ça a paru très simple ce que j’ai montré, mais que ce n’est pas tout à fait réaliste parce que je n’ai pas filtré les dates sur mon tableau de bord, ce qui fait que sûrement, il y aurait d’autres manipulations à faire. Non seulement je vais prendre la critique, mais je vais aller vous montrer à quel point ça pourrait être simple d’aller ajuster ça rapidement. La personne a raison, moi, dans mes données, Je n’ai pas mis de date. En ce moment, c’est à l’infini de tout le travail que Roberto a fait, il a fait seulement 8 heures d’over time. La personne a raison, moi, je n’ai pas beaucoup de données ici pour simuler, mais je vais vous montrer rapidement comment on aurait pu ajouter à ça un filtre de date rapidement.
Je peux ici dans mon tableau, mettons que je réduis ça un petit peu, je peux venir mettre des filtres rapidement. Vous voyez ici, j’ai Ajout, puis quand je glisse une zone, le système va me recommander tout de suite si je veux faire un filtre ou rajouter d’autres choses, Je vais cliquer sur Filtre. Puis là, je ne cache pas, je connais le nom du champ. Je vais aller chercher la date de paye et je vais dire que mon filtre va s’attaquer ou va s’appliquer, pardon, je devrais dire, à mon nouvel indicateur ici en dessous. Puis moi, je vais utiliser un range de date. C’est un genre de slicer, je pourrais en dire en français. Puis la fonction, je ne mettrais pas de fonction. Je vais le mettre… Il y a très longtemps, aujourd’hui, je crois Le mode, je peux aller dans les années 2006, quelque chose comme ça. Aujourd’hui. Je vais me mettre le dire à la main. 2001, 2001, Puis là, si on l’exécute, j’aurais peut-être pu le faire plus beau, mais vous comprendrez que j’ai un range de date. Si je commence à jouer avec mon range de date, ma donnée s’ajuste en conséquence la date de paie.
J’ai des filtres prémontés déjà dans notre librairie. J’aurais pu monter déjà dans notre librairie, j’aurais pu amener un fil qui est la semaine de paie ou la semaine de l’année. J’aurais pu aussi venir bonifier avec un autre genre de fil au lieu des dates précises, j’aurais pu dire pour la semaine de paie numéro 4. Il y a d’autres genres de choses qu’on aurait pu rapidement mettre juste en glissant le bon champ encore une fois. La personne a dit: Oui, vous avez raison, j’étais allé un peu simpliste pour mon exemple, mais ça prend vraiment pas grand-chose pour venir compléter le fil manquant. J’ai une autre question ici. Je ne suis pas sûr de comprendre la question. Je connais l’impression que je ne me gênerai pas trop de la requestionner. Est-ce que tu peux reformuler un petit peu ta question, André, de quel genre tu parles? Parce qu’ici, on est dans un milieu furteur. Je ne sais pas sûr de comprendre, donc je ne suis pas sûr de comment reformuler les questions pour que les gens comprennent aussi ta question. Tu me parles de: Est-ce qu’on peut utiliser des champs pour générer des rapports? Est-ce qu’on peut ajouter des champs?
Là, je suis allé dans une vue simplifiée. Ok. Le comportement, André, demeure le même que tu connais. La nuance, c’est que maintenant, on a ce layer-là qui est fait, qui est beaucoup plus simple d’utilisation pour les gens qui veulent se construire des rapports. Donc, on n’a pas nécessairement besoin de rentrer dans des requêtes SQL pour venir construire une vue ou des données à afficher à l’écran. On a déjà une espèce de travail qui a été fait. Tu peux encore… Probablement, quelle est ta question? Tu peux encore faire ta propre requête SQL si tu veux aller là en arrière. Oui, encore la possibilité de faire ça. Tu peux te créer des champs à calculer. Très similaire à un outil de rapport, on peut rentrer dans un environnement où est-ce qu’on peut rentrer dans ces détails-là. Le but aujourd’hui, c’était de montrer aux gens que c’est très simple et accessible, mais oui, on a un niveau de complexité où on peut vraiment aller plus loin. Je pense que je parle à quelqu’un qui connaît du SSRS. Donc oui, ça peut être quasiment similaire à monter un rapport SSRS comme environnement avec des entêtes et des pieds de page.
On peut aller là aussi. Si ça ne répond pas complètement à la question, André, écris-moi personnellement, je sais que tu as des coordonnées. Ça me fait plaisir d’aller un petit peu plus loin. Et d’ailleurs, sur nos clients existants qui ont l’académie, on a des cours, des introductions à l’analytique sur la plateforme. Ne me gênez-vous pas d’aller voir ça. Mon collègue Sylvie a fait un superbe travail, probablement en 15, 20 minutes. Il vous fait un intro un peu mieux guidé que ce que j’ai fait là, qui était plus démo, un peu plus pédagogique sur comment commencer à utiliser les analytiques. Ne me gênez-vous pas d’aller voir ça, c’est très instructif et C’est très court aussi. C’est intéressant d’aller voir ça. Si vous voulez le lien, mettez-le moi en question ici, puis je vais m’assurer de vous répondre avec le lien des formations en question dont je parle. Je vais aller sur le prochainement, mais n’hésitez pas si vous avez d’autres questions. Qu’est-ce qui s’en vient avec nous chez Genius? On a une classe sur l’académie, justement, qui va commencer le 10 janvier, qui va s’étendre jusqu’au 24 janvier sur trois sessions. C’est quand même une très bonne classe en demande de notre côté.
Où est-ce qu’on va parler de comment faire le design d’une recette, d’une nomenclature, d’un BOM dans le fond? Et dans un environnement aussi d’ingénierie simultanée. Qu’est-ce que ça veut dire? On a souvent utilisé le terme aussi concurrent. On va commencer la production. On n’a On a tout fini notre design encore. On a beaucoup de clients dans cet environnement-là où est-ce qu’on a peut-être un bout de notre produit qui est quand même assez rédondant, qu’on va pouvoir tout de suite se mettre à produire, mais on a toute une portion qu’on désigne encore. Et on va être capable de venir relâcher, et même de faire des versions d’ingénierie et de venir relâcher la production qui est en cours. Ce cours-là est dédié à ce type de processus-là. Et on a le 17 janvier une session qu’on a appelé la voix du client. On en a fait une en octobre, j’ai et puis certains noms qui étaient là. En octobre, on avait eu un sujet sur les activités du plancher de production et nos outils, à quel point ils sont appréciés ou pas. Pourquoi j’ai mis un micro ici comme image? C’est parce que c’est un forum de discussion.
On amène un sujet. Dans ce cas-ci, le sujet, c’est la plateforme de genius académie. Qu’est-ce qu’elle offre? Est-ce que ça vous plaît? Où est-ce qu’on pense aller avec cette plateforme-là? Est-ce qu’on est aligné selon vos priorités? Alors, c’est votre moment de nous dire si vous appréciez ou où vous voyez cette plateforme-là d’aller. On va vous guider dans ce sujet-là, mais on veut avoir une discussion animée avec vous. Mon invité, c’est la personne qui est en charge aujourd’hui de notre département, qu’on appelle éducationnel, qui est en charge de cette plateforme-là d’ailleurs. Donc, tout à fait la place le 17 janvier pour venir nous partager vos appréciations ou commentaires constructifs. Et le 18 janvier, un autre webinaire, notre prochain. Oui, on prend une petite pause pour les fêtes. Et ça va parler un peu des… Peut-être personnes qui sont encore aux prises avec un inventaire physique de fin d’année et qu’est-ce qu’on aurait pu faire ou quel genre de truc on peut amener avec Ginius pour avoir un inventaire un peu plus stable. Donc, nos prochains sujets, j’espère que vous allez vous joindre à nous. Si tout va bien, dans notre courriel de remerciements, vous allez avoir des liens vers ces sessions-là.
Sinon, vous pourrez toujours trouver ça en ligne sur notre site web ou nous écrire avec les adresses. Je vais peut-être revenir à l’autre page, que vous voyez les adresses encore une fois. Soit Bonjour à geniusERP ou encore mon adresse personnelle, n’hésitez pas à communiquer avec nous. Je vous remercie beaucoup. Je ne vois pas d’autres questions. Je vais vous souhaiter des joyeuses fêtes, une bonne année et merci de vous être joint à nous encore une fois en si grand nombre. C’est très apprécié. On va continuer notre initiative. Vous nous faites comprendre que c’est très apprécié de votre côté aussi. Bonne journée tout le monde. Merci Sylvie.
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