
Qu’est-ce que j’y gagne?
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Bienvenue tout le monde. Session aujourd’hui, un autre webinaire de Genius sur la planification, qui est tout un défi pour nos fabricants. Je vous explique, moi, je m’appelle François Doyon. Je suis avec Genius depuis neuf ans. J’ai fait de l’implantation, j’aide les clients à trouver leurs réponses, entre autres. Et Le sujet est au sujet de la planification aujourd’hui. Je fais des webinaire depuis environ quatre ans, régulièrement, tous les mois presque, et ça me fait plaisir de faire celui sur la planification aujourd’hui. Je rappelle à tout le monde parce que je vois qu’il y a encore des gens qui sont à ajouter. On a quand même beaucoup de participants aujourd’hui.
C’est une des raisons pourquoi je ne me permettrais pas d’ouvrir les micros aujourd’hui. Je vais vous demander d’utiliser la section Questions et réponses, Q&A, de Zoom si vous avez des questions ou même des commentaires. Si vous écrivez quelque chose là et que je n’y réponds pas aujourd’hui, on va y donner suite. Il n’y a pas de questions qui vont rester non répondues aujourd’hui. Alors, je me lance. La session d’aujourd’hui va aller comme suit. On va vous faire une petite introduction à Genius, qui nous sommes ici chez Genius Solutions. Ça va être très court. Puis après ça, on va commencer à parler de pourquoi la planification? Pourquoi c’est un sujet dont on veut parler? Puis évidemment, ça va amener vers des solutions. On va se mettre à parler de quelles sont les méthodes sur le marché qu’on connaît? Et on va essayer de ramener ça à votre besoin à vous. Pour Pour parler de ça, dans la section 4, on va parler de c’est quoi les types de manufacturiers? Puis on va venir rallier ça à la bonne méthode de fabrication. Évidemment, comme chez Genius, on est concentré beaucoup sur les fabricants sur mesure, on va aussi insister un petit peu sur nos solutions par rapport aux fabricants sur mesure dans la dernière section, avant de vous inviter à prendre action.
Vous remarquez, je ne suis pas nécessaire à une section questions et réponses. La session est bien remplie aujourd’hui. Je vais plutôt vous guider vers des outils, mais comme de fait, si vous écrivez des questions dans notre question et réponse de on va lui donner suite, pour sûr. Donc, bienvenue tout le monde. On part ça. À propos de genius, qui nous sommes? Donc, genius, ça fait 30 ans, 35 ans qu’on est sur le marché. Ce qu’on voit à gauche, c’est des badges, des de rétention, d’honneur qu’on a. Les différentes badges viennent de différents sites qui aident les gens à trouver le bon ERP pour leurs besoins, donc le bon logiciel pour leurs besoins. On a des bons commentaires sur ces différentes plateformes-là. Vous comprendrerez aussi qu’une des choses qu’on a voulu mettre de l’avant, c’est qu’on a une très belle rétention chez nos clients. Nos clients viennent avec nous, restent avec nous, trouvent des belles solutions. On aime, on voit, on n’aime pas juste à croire. On a des preuves selon nos chiffres qu’on a des belles relations à établir avec nos clients. Comme on disait, on est dans le milieu des fabricants, dans le milieu manufacturier d’abord et avant tout.
On a atteint 130 employés, ça fait déjà plus d’un an. Et puis, on a des dizaines de milliers d’utilisateurs partout en Nord-Amérique. C’est notre footprint, notre place de prédilection pour faire affaire. On a une belle croissance annuelle depuis plusieurs années. Qu’est-ce qui fait qu’on croit autant qu’on a une belle rétention client? C’est ce qui nous rend unique, ce dont je veux parler ici. On se concentre d’abord sur le milieu manufacturier, à savoir que la compagnie a débuté en donnant des conseils dans le manufacturier, c’est devenu un logiciel ERP avec le temps et à savoir qu’on se concentre sur les gens qui conçoivent, configurent ou fabrique sur commande. Donc, on va parler vraiment de sur-mesure. Le ERP, dans le fond, qu’est-ce qu’on a fait pour que ça puisse cibler ce marché-là? On est arrivé avec des outils pour aider à l’intégration, par exemple, de ceux qui font du dessin sur-mesure. On a des plugins qui vont, par exemple, SolidWorks Inventor, avec notre outil, Cat2bound, qui va vous permettre de synchroniser vos dessins. On va parler aujourd’hui de la planification, entre autres. Je vais vous montrer comment ça va avoir plus aussi là-dessus. Puis, évidemment, ça prend de la visibilité sur l’information, donc quand même assez la fière de notre intelligence d’affaires, puis la capacité d’aller chercher l’information dans le genius.
Assez parlé de nous, je vais aller au vif du sujet. Pourquoi parler de planification aujourd’hui? Rentrons tout de suite dans le pourquoi. Premièrement, c’est essentiel dans le menu manufacturier. On se ramasse rapidement avec plus qu’une job à faire ou plus qu’un travail à livrer. Donc, j’ai repris l’image ici de notre rétention au client, qu’on est très fiers de 96%, mais pareilement pour vous, vous voulez cette satisfaction client-là, cette reconnaissance de vos clients. Ça passe souvent par la livraison en temps. On veut s’assurer de respecter les engagements qu’on a avec nos clients. Et il y a un côté aussi selfish, comme on dit ça en anglais, qui est nous, parce qu’évidemment, une bonne planification, ça va réduire notre travail, notre gestion à l’interne. Parce qu’on va se ramasser avec moins de job en même temps sur le plancher, parce que plus on va les planifier, plus on va optimiser la planification. Typiquement, on va avoir un effet de chaque job va prendre moins de temps sur le plancher. Du moins, c’est l’objectif. Réduire un peu les travaux en cours, définitivement, partie des objectifs. En faisant ça, on va se rendre compte aussi qu’on va être capable d’être plus juste à temps ou de mieux gérer notre inventaire.
Je l’ai déjà parlé, si on réduit le temps de chacune des jobs, typiquement, on va avoir moins de jobs en même temps, moins de skills un peu partout dans la shop ou de choses en processus. Mais aussi, typiquement, on va se ramasser avec une conséquence C’est-à-dire un passé direct qui est sur des niveaux d’inventaire que j’ai besoin de garder pour pouvoir suffire à la demande. Donc, on peut avec tout ça un effet sur vos coûts internes, sur votre optimisation de travail. L’autre raison pourquoi ça devient un sujet qui est assez névralgique pour les manufacturiers vie. C’est la perception du compliqué. Il y a beaucoup de choses à considérer quand on veut faire de la planification. On va en parler, je ne vais pas les énumérer ici, mais la perception est déjà que ça va être difficile, ça va être Comment on va garder ça à jour? Peut-être qu’il y a des gens qui sont essayés sans avoir des outils. Et là, souvent, mon père, avec déjà l’impression d’un mur devant nous. Il y a des façons de le garder simple. Il y a des techniques, des process qui peuvent être mis en place pour garder ça très simple.
Puis, je vais vous ramener ça, même à vous-même en important. Il faut que ça revienne à un niveau qui est presque à des règles de pouce. Je vous dirais qu’à ce moment-là, souvent, les gens en ont déjà des bonnes règles. J’ai vu beaucoup d’entreprises où est-ce qu’on rentrait, puis les gens avaient déjà une façon d’ordonnancer leur travail. Des fois, c’était à certains postes en en particulier, mais souvent, la recette est déjà quasiment connue. Il y a définitivement moyen de garder ça quand même très simple pour ce qui est de la planification. Je vais partir à un petit sondage. Je m’assurer que je n’ai pas déjà endormi tout le monde. Je vais vous inviter à venir répondre au sondage que je vais lancer à l’écran en ce moment. Je serais curieux, selon vous, on parle d’une étude qui a eu lieu, des gens qui ont déjà un logiciel ERP avec de la planification, combien d’entre eux l’utilisent? Selon ce serait quoi la réponse? Merci, ça répond très rapidement. J’ai déjà presque la moitié des participants qui ont répondu au sondage. C’est bon, c’est bon. Mon Dieu, ça vient de changer complètement. Je ne veux pas vous influencer dans votre réponse.
Parfait. Il y a des gens qui arrivent pas à répondre au sondage. Je vais l’arrêter pour l’instant. De toute façon, c’était juste un type indicatif. Je vous partage les résultats. Votre impression, c’est que vraiment plus que 50 pour cent des gens utilisent leur planification dans le logiciel ou même plus de 25. La plupart d’entre vous, presque trois quarts d’entre vous pensent que à peu près tout le monde utilise leur logiciel de planification. Vous êtes à peu près où on se pensait nous aussi quand on a regardé cette étude-là il y a à peu près cinq, six ans. La réalité est que si on regarde les études qui ont été faites en 2019 par une firme, on est à 8% des gens qui ont un logiciel, qui l’utilisent pour leur planification. Ça, ça a été une révélation pour nous. C’est là qu’on s’est dit: Il faut se lancer. J’ai dit cinq ans, c’est pas vraiment plus six. Et c’est là qu’on a dit: Il faut faire quelque chose pour mieux servir notre marché cible et aussi pour leur donner des outils. Parce que clairement, les résultats actuels ne fonctionnent pas. Ou les gens ne les adoptent pas.
Il faut faire attention, il y a peut-être une nuance aussi à ce niveau-là. Je ne vais pas trop faire parler les chiffres, mais c’était les résultats de l’étude en question. Si je poursuis, on va essayer de voir c’est quoi les méthodes qui sont accessibles. Qu’est-ce qu’il y a dans les logiciels aujourd’hui ou qu’est-ce qu’il y a sur le marché aujourd’hui? Si je descends ici, on va parler des différentes méthodes de planification. Je l’ai ramené à un très haut niveau juste pour la discussion aujourd’hui. Ici, on va parler de la méthode traditionnelle versus la méthode gestion de projet. Si vous me permettez un petit jeu de mots, on va rentrer un peu dans le détail de chacune, vous allez comprendre où je m’en vais. Ici, méthode traditionnelle ou MES, on va parler du mode d’exécution manufacturière. Ça, ça s’effectue au niveau des tâches. On recette, puis on va vouloir essayer d’aligner chacune des tâches qui se passe sur notre plancher de production. Je vous en dis déjà, mais on va partir un peu dans l’itératif de qu’est-ce que ça consiste. Typiquement… Oui, ça, c’est bien. Moi, j’ai fait du génie industriel comme études, puis ça a été vraiment des choses qui étaient enseignées à l’université.
Je m’y retrouve beaucoup quand je vois ce type d’approche à la planification. On a des très définies. Il n’y a presque pas de variables à découvrir. Elles sont toutes connues. On va essayer de rester loin des présomptions, si on veut, ou des choses à découvrir. Ce que je veux dire par là, c’est qu’on va travailler dans un milieu où est-ce que tout est prédéfini. Pour pouvoir planifier comme ça, il faut savoir que pour faire ma pièce, ça doit passer à travers certaines étapes, certaines tâches. Donc, ça nous prend une gamme de fabrication. Ça nous prend des temps connus de pour pouvoir utiliser cette méthode-là. Ça, c’est les deux grosses prémices, je dirais, de cette méthode. Ici, j’ai un exemple parce qu’on fait de l’assemblage, test et shipping. Ça aurait pu être découpe, formé et soudé, par exemple. Et là, ici, on voit qu’il y a différentes tâches en bleu qui s’alignent parce que je connais les temps et les durées de chacune de ces tâches. Ça vous donne un exemple un peu plus concis de qu’est-ce que c’est. Il ne faut pas oublier non plus que là, surtout dans notre milieu, on est un petit peu plus complexe que juste une pièce, souvent.
Dans le manufacturier, on va souvent avoir différents livrables à ramener ensemble. À ce moment-là, il faut de la dépendance, de la hiérarchie entre les niveaux. La méthode traditionnelle, elle couvre ça typiquement. On va avoir de la dépendance entre le produit-tête et les sous-produits. Par exemple, ici, j’ai un frame d’équipement, puis j’ai un bearing à assembler ensemble pour le product type. Peut-être l’image ici est plus représentative, mais j’ai des sous-itèmes à fabriquer pour être en mesure de fabriquer mon produit fini. Côté matériel, il ne faut pas l’oublier, et là, j’ai un bon commentaire à vous dire, moi, je pense qu’il est pertinent. Les requis maintiens. Ça devient un point important, c’est C’est tragique aussi pour l’industrie manufacturière, à savoir que dans la méthode traditionnelle, on va en prendre compte souvent. Dans la plupart des ERP qui font la méthode traditionnelle, on va avoir cet aspect-là. Il faut quand même comprendre que mathématiquement, il y a une limitation qui est encore très connu. Un de mes premiers mentors m’avait fait part qu’il y a une université qui donne encore, je pense, un million de dollars en récompenses pour la personne qui va résoudre le fameux problème du P infini.
Je vous ramène sur Terre, dans le fond, c’est l’effet que Je peux céduler, ça va me dire quand j’ai besoin de ma matière, mais j’ai besoin de savoir quand ma matière arrive pour pouvoir céduler. C’est la fameuse boucle sans fin, l’espèce de référence infinie que vous avez des fois dans Excel quand vous essayez de repointer une cellule qui en a besoin pour sa formule. On est dans dans la même situation avec la planification versus le matériel requis. À savoir que ce qui est possible aujourd’hui dans la plupart des ERP, c’est soit le… Je vais l’anglais, le pull mode ou le push mode. Soit, je tire, ce qui veut dire je vais Je tire par ma cédule. Par exemple, si on le voit à l’écran, on a un pull mode ici. Où est-ce que j’ai cédulé à ma date due et j’ai reculé pour savoir quand est-ce que ma matière, les petites boîtes rouges ici, sont requises. Donc ça, c’est un… Je tire sur ma matière. Et là, si ma matière ne peut pas s’aligner avec ça, je recédule. C’est la cédule qui est comme maître. Ça, c’est du juste à temps ou du backward scheduling, si vous voulez.
L’autre mode, où est-ce qu’on est dépendant de notre matière, on va être en push. Donc, lorsque je saurai quand j’ai la matière, je peux commencer à produire. Mais dans ce cas-ci, on est forcé à faire notre cédule en allant vers l’avant tout le temps. Parce que là, c’est le déclencheur, c’est la matière qui arrive et là, je me mets à planifier vers l’avant. Donc, c’est un push mode. À savoir, si vous êtes au courant de ces restreintes-là, peut-être vous alignez vos besoins et peut-être vos attentes envers les différents systèmes. Parfait, je poursuis. Si je résume la méthode traditionnelle ici, oui, c’est encore très grandement enseigné dans les universités. Pourquoi je mentionne ça aujourd’hui, vous avez peut-être des gens qui viennent d’un grand profil d’éducation qui vont arriver avec des attentes par rapport à ce type de planification-là, qui se marie peut-être pas bien avec votre environnement. Je vais juste vous laisser cette pensée Puis d’un autre côté, il peut arriver la même chose, on en a parlé tantôt, mais peut-être que vous avez des employés qui viennent d’une industrie de distribution ou de fabrication sur inventaire, puis vous êtes dans un autre genre de mode de fabrication.
Ces gens-là ont probablement vu d’autres outils de planification qui ne répondent pas à vos besoins ou qui ne fitteront pas vos besoins. Il faut faire attention à ça. C’est plus une côté d’attente que je vous passe de point. Par la suite, évidemment, oui, cette méthode-là, on a besoin de temps, excusez-moi, de gammes de fabrication, d’une série de tâches bien définies avec des temps connus. On va être capable de supporter les hiérarchies entre les niveaux, on va pouvoir gérer les matériaux requis et j’y rajoute un petit point de finiment, parce qu’évidemment, ici, moi, je veux aussi vous parler ce que Genius est capable de faire. Dans cette méthode-là aussi, typiquement, on va retrouver un environnement où est-ce qu’on est capable de gérer les capacités finies versus infinies. Je ne veux pas me perdre dans les théories ici, mais je vais quand même vous expliquer un petit peu. Mon exemple classique, ça va être: j’ai une CNC, je mets un bloc dedans, ça commence à faire des passes sur mon bloc. Je ne peux pas en mettre deux, je ne peux pas en mettre trois. C’est une capacité finie. Une fois que j’ai un bloc dedans, elle roule, je ne peux pas faire mieux.
À côté, j’ai un poste d’assemblage où est-ce que j’ai deux employés. Si j’en mets un troisième ou un quatrième, ils vont aller beaucoup plus vite, ils vont pouvoir faire plus. Ou si j’ajoute un chiffre, je vais être capable… Il y a des façons de considérer où est-ce qu’on peut venir rajouter des ressources pour augmenter la capacité. On va parler d’infini. Où est-ce que je ne peux rien faire pour optimiser ou améliorer mon sort. On va être en capacité finie. Souvent dans les systèmes, on va retrouver justement où est-ce qu’on va mettre une tâche à un centre de travail, un work center, qu’on dit souvent. Et ce centre de travail-là, on est capable de le définir s’il est en capacité finie ou infini. Ce qui est possible dans le génie. Je poursuis. On vient de parler du mode traditionnel, on va parler maintenant du mode gestion de projet. C’est là que je vais jouer un petit peu avec les mots. On va surtout parler du CCPM, qui est le mode de la chaîne critique. Le CCPM en anglais, qui est Critical Path Project Management. Avec ça, dans le fond, on va venir définir un chemin le chemin critique et identifier c’est quoi les jalons de notre chemin critique.
Typiquement, ça se fait quand même assez tôt dans l’évolution d’un projet. On rentre dans le détail, je vais tout découvrir le sujet. On va très, très bien en ce moment. Premièrement, le mode gestion de projet s’adresse beaucoup à des projets d’envergure. Si je fais une pièce, je la fais rapidement, en une journée, je me retourne, peut-être qu’on ne parle pas de gestion de projet ici. Quand on parle de gestion de projet, on va avoir des projets qui soient différents des gros budgets. C’est pour ça que je montre une page ici de notre gestion budgétaire d’Ingenius, où est-ce que je pourrais avoir des valeurs pour chacune des catégories de matières parce que j’ai plusieurs livrables, etc. Donc, projet d’envergure. Deuxièmement, souvent, très tôt dans le projet, on va commencer à élaborer des jalons de notre projet. Je dois aller peut-être vérifier des mesures sur site, je dois avoir peut-être un permis ou encore, on parle tout simplement peut-être de jalons d’ingénierie. Je fais du dessin, j’ai besoin d’une approbation révisions. Peut-être que j’ai séparé mon gros projet en différents livrables et je veux pouvoir m’assurer que je connais les différents jalons pour y arriver. Là, il faut savoir que ces jalons-là ne sont pas nécessairement des jalons de plancher de production.
Je qui ont le temps de manufacturier, mais souvent, les gestions de projets vont plus larges. Ici, je fais un exemple de chemin critique qui va être tout à fait requis dans ce mode d’opération-là, de ce mode de planification-là. J’en ai deux exemples ici. Un chemin critique, où est-ce qu’on va parler d’un chemin critique sur des tâches? Donc, pour un plus petit projet, mais peut-être que la soudure, c’est mon point névragique chez moi. Donc, je vais m’assurer d’avoir un jalon, un jalon critique, le chemin critique, qui est sur ma soudure. Je viens définir ce jalon-là et là, je m’assure d’orienter ma soudure en premier. Je viens planifier tout ce que j’ai besoin avant en pull et tout ce qui vient après en push. Donc, je m’assure d’optimiser mon point névragique, mon chemin critique. D’une autre façon, on vient de le parler, pour les projets dans lavercure, souvent, on ne connaît pas les tâches de toutes les opérations, on n’a peut-être même pas une gamme de fabrication définie. Il faut que ce soit quand même possible de planifier basé juste sur mes jalons de chemins critiques. Tranquillement, quand je vais évoluer dans mon projet, je vais peut-être tomber plus granulaire, peut-être pas.
Mais un système qui est capable de nous donner ces planifications-là, basé sur des jalons, peut-être sur un budget, ça devient très important. Donc, en CCPM, en gestion de projet, on va vouloir identifier c’est quoi ces jalons critiques-là. C’est eux qui vont me une visibilité puis un contrôle sur l’ensemble du projet. Typiquement, quand on va parler de gestion de projet, on va parler d’un projet un peu plus d’envergure, d’un contrat d’envergure. On va avoir des jalons à définir, puis on va devoir identifier c’est quoi notre chemin critique? Quels sont nos jalons qui vont être critiques? Le but de tout ça, qui vont être clés dans notre batch de jalons. Encore une fois, regardez que j’essaie de vous ramener le temps au niveau de simplicité, de ramener ça aux plus simples allocations, aux définitions de votre projet pour que ce soit simple pour vous de garder le contrôle sur vos projets. Donc, qu’est-ce qui va répondre à vos besoins. Pour arriver à ça, il faut un petit peu scinder les différents types de manufacturiers que j’ai avec moi en ligne. Tout d’abord, je vais vous scinder en… Je vais regarder ça à deux niveaux encore, très simple.
On va parler des fabricants standards et des fabricants sur-mesure. Je vais juste les scinder comme ça pour commencer, pour juste essayer d’aller mieux pointer vers les solutions. Quand on parle de fabricant standard, j’essaie de donner d’autres termes. L’application sur inventaire, pour sûr. C’est toujours les mêmes produits qu’on fait, on les met sur tablette. Quand j’ai une commande, je viens les emballer, je les expédie. Assez intrinsèque, j’ai souvent un catalogue de pièces, par exemple, un catalogue de produits que je vends. Ça, c’est une bonne exemple. L’implication sur commande, je veux faire attention parce qu’il revient de l’autre côté aussi. L’implication sur commande, c’est: oui, c’est toujours les mêmes produits, mais je les fabrique au moment de la commande. Mais c’est quand même standard. Peut-être aller dans les boulette-pointes pour mieux comprendre. C’est un produit qui a déjà été fabriqué ou du moins, c’est une recette qui a été déjà éprouvée. J’ai déjà ma gamme de fabrication. J’ai déjà que le matien en première, ça me prend. Un autre bon indice, c’est que vous avez beaucoup d’inventaire et vous savez que vous allez passer au travers dans les prochaines semaines parce que votre inventaire est déjà identifié comme étant le besoin de ce que vous allez sortir.
Quand on va aller de l’autre côté de la ligne sur mesure, souvent, les gens n’ont pas d’inventaire, ils vont commander sur leurs besoins. Souvent, on va retrouver du grand volume sans variabilité, ce qui faisait beaucoup de commandes répétitives ou peut-être même une façon de dire: J’ai cédé cette commande-là cette semaine, je vais faire une batch de ce produit-là. Et là, ça, c’est un gros indicateur que vous êtes en fabrication standard. Et des changements peu fréquents dans vos designs et dans vos produits. Donc ça, c’est ce que si j’avais à cibler les fabriquant standard. Je passe aux fabricants sur mesure. Fabriquant sur mesure, on va parler fabrication sur commande, configuration sur commande, ingénierie ou dessin sur commande. Là, vous comprenez que je suis en train de vous décrire notre marché cible chez Genius ici. On va souvent parler d’un produit qui n’a jamais été fabriqué. Là, je vais juste faire attention. Faire une petite nuance. Tantôt, on disait: Vous fabriquez peut-être en bas certaines choses. Je vais inclure ici des gens qui ont peut-être des sous-assemblages standards. Je mets toujours ce moteur-là où c’est l’assembler là, mais le produit est fini, lui, il change à chaque fois parce qu’il est tout le temps différent, la dimension n’est pas la même ou les options ne sont pas les mêmes.
Il faut garder en tête qu’il peut y avoir une portion de standard dans votre produit, mais si à chaque fois, ce qui sort est différent, vous tombez probablement dans le côté sur mesure ici. Typiquement, il y a une estimation qui est requise pour déterminer notre prix, notre budget de projet. Donc, ce n’est pas quelque chose qui est un price book, là, ou un catalogue où est-ce que je choisis mon prix. Typiquement, on va avoir de l’estimé à faire. On va y avoir beaucoup de variabilité et peu de volume. L’expression connue, c’est high mix, low volume. Je vais probablement avoir une recette, une gamme complexe. Il va peut-être avoir à être défini à chaque fois. Et typiquement, on va trouver un projet ou un produit, il y aura peut-être des livrables à l’intérieur, mais typiquement, ça va être des quantités qui sont plus petites. Département d’ingénierie ou de design est systématiquement impliqué dans les projets. Si on rentre un peu là-dedans, on se retrouve dans un marché ou plutôt dans un type de fabrication sur mesure. Vous me voyez venir, j’aimerais savoir, vous venez de quel mode manufacturier? Je vais lancer mon sondage ici. Vous devriez le trouver.
Ça se peut que vous Vous vous trouviez avec un mix où est-ce que vous faites certains produits sur mesure, d’autres produits que vous avez, qui peut-être vous font vivre un petit peu avec certains clients à clé, qui sont très standards. Dans ce cas-là, on peut se retrouver dans un mix. Je suis content, on a bien adressé notre de clientèle pour notre webinaire d’aujourd’hui. J’ai quand même quelques fabricants à standard. J’espère que quand même, la session d’aujourd’hui vous montrer comment on peut quand même répondre à vos besoins. Puis, j’ai 80 pour cent des gens qui ont répondu, c’est très bien ça. Je vois que la majeure partie d’entre vous, laissez-moi partager les résultats, j’espère que vous allez les voir à l’écran. J’ai 55 pour cent des participants aujourd’hui qui sont en fabriquant sur mesure. Il faut faire attention, ce n’est pas tout le monde qui a répondu au sondage. Puis une autre bonne portion qui est en mix mode et on a 6% à 2 personnes qui ont répondu qu’on était en fabrication sur inventaire. Ça vous donne une idée un peu des gens qui participent aujourd’hui. Ce que je vais faire, excusez-moi, j’essaie juste d’enlever mon pôle du chemin, ça bloque mon écran en ce moment.
C’est bon. J’aimerais parler des solutions qui s’adressent pour vous. Les fabricants, standard, il y en a moins deux sur la ligne. Sachez que la planification traditionnelle devrait très bien répondre à vos besoins. Je dis de vrai parce qu’il peut y avoir certaines particularités dans votre usine qui vont demander peut-être un peu plus que ce que j’ai mentionné. Peut-être que la suite va vous donner des indices de d’autres outils qui pourraient vous être bénéfiques. À savoir que typiquement, on a un bon match à ce niveau-là. Les fabricants sur mesure, il y a une raison pour quoi j’ai mis ça rouge. La fabrication, excusez-moi, la La planification traditionnelle pourrait répondre aux besoins, mais il y a plein de hic ou de problématiques à ce niveau-là. Par exemple, en début de projet, il faut planifier. Je n’ai pas encore défini. C’est personne des méthodes qui va venir définir ma gamme de fabrication. Ça, c’est si je vais même mettre l’effort de le faire. Planification par projet, ben écoutez, oui, ça répond vraiment à vos besoins, mais pas assez pour savoir qu’est-ce que je mets sur cette machine-là demain. Et là, ben on se retrouve avec le même manquement.
On dirait qu’on a besoin d’un peu un, d’un peu de l’autre, ou on est peut-être même en silo dans notre entreprise, où est-ce qu’on a déjà son projet, puis des gestionnaires d’usines, puis qui essaie de faire fonctionner ça ensemble. Même que c’est ça votre enjeu aujourd’hui. Là, la question, c’est: c’est quoi la solution? Qu’est-ce qu’on peut faire pour nous aider? On va se focusser là-dessus pour la suite, ici. C’est quoi les solutions pour les fabricants sur mesure? On va retrouver… Je vais vous mettre en contexte. Je vais vous mettre en contexte. J’ai fait une petite histoire juste pour qu’on puisse rentrer un peu dans la solution. Je ne sais pas si vous allez vous retrouver là-dedans, mais on a voulu refléter une rencontre hebdomadaire. Ça vient ramener un peu certains des commentaires qu’on a quand on parle à certains de nos clients. On a voulu ramener cette histoire-là, ici, devant nous. Donc, on a le propriétaire qui rentre dans le meeting, qui dit: Là, peut-être, je vais travailler à mon âge. Peut-être vous me mettez en tête la fameuse professeure dans Charlie Brown. On n’a pas livré à temps la semaine dernière, puis votre cerveau part un peu et puis on perd des clients, on perd de l’argent.
On a une certaine insatisfaction. Je vais essayer juste de souligner ici le fait que On sait que c’est névralgique la planification dans les entreprises manufacturiales. Puis là, on a un autre facteur de stress qui rentre en jeu. Le vendeur qui arrive, qui dit: Je viens de parler à mon client. Et? Johnson & Johnson, dans ce cas-ci, je pense, c’est ça. Puis il veut qu’on livre en six semaines. Dans mon contexte, c’est une entreprise qui livre typiquement, mettons, en 12 à 16 semaines leur projet, puis là, on vient de demander vraiment un miracle. Là, la réaction première, je peux penser à l’ingénieur dans la salle ou le gestionnaire de production qui dit: C’est combien de temps? C’est quoi les livrables de ce projet-là? Il va falloir tout déplacer nos projets en cours pour juste rentrer cette commande-là. Est-ce qu’on veut vraiment faire ça? Puis là, à côté, on voit dans la tête des gestionnaires de projets: Ça va mettre à risque tous mes projets. Qu’est-ce que ça veut dire? Et tout le monde y va avec son petit effet silo. Évidemment, on est un petit peu en réaction. Typiquement, quand ça arrive, on a chaque département qui vont dire: À quoi ça change mes priorités?
Puis les miennes. Évidemment, souvent, le vendant ne nous donne pas trop la chance de s’objecter parce qu’il Parfait, on est tous d’accord, c’est bien parce que j’ai déjà dit oui. Donc, tranche de vie, ici, on le vit quand même assez souvent dans les différentes discussions qu’on a avec nos clients. On veut pouvoir dire oui à nos clients. Je le fais en blague ici, mais c’est ce qu’on veut pouvoir faire dans nos entreprises. Qu’est-ce qui se passe? Tout le monde part au travail, on réordonnance tout ça, on essaie de… Écoutez, on va chercher des papiers, on remet les papiers dans l’ordre. Je ne sais pas comment ça marche chez vous, on réordonnance des Excel, je ne sais pas trop comment vous vous y prenez aujourd’hui, mais on s’arrange que la magie fonctionne, mais 30 minutes plus tard, le président rentre et dit: Je viens de parler à Steve, mon client préféré, pour que sa commande devienne la nouvelle priorité. Et puis là, il faut tout recommencer encore une fois. Sans outils, simple à utiliser, on se retrouve un peu dans une situation où est-ce que ça peut devenir cacophonique rapidement. J’imagine que je décris certaines situations que vous vivez tous les jours.
Je l’ai mis en cartoon, mettons. Je l’ai mis en dessin animé. Dans le fond, les enjeux qu’on vit dans tout ça, c’est: on n’a pas de temps standard. Souvent, on part en projet, puis on a une idée très haut niveau de ce que le projet va être. Beaucoup de facteurs imprévisibles, que ce soit le vendeur qui arrive avec ses besoins ou que ce soit quelqu’un qui n’est pas rentré, un équipement qui a un brie, On attendait une approbation de dessin du client, mais on ne l’a pas deux semaines avant la fin de la livraison, puis on est pris avec le gun sur la tempe à devoir livrer un temps incroyable. C’est tout à fait des choses qu’on voit beaucoup dans le milieu. Quand on veut tomber dans le granulaire, ça devient un effort monstrueux. Il dit tantôt: Il faut rester le plus simple possible. Ça, ça, ça, ça, ça demeure mon affirmation. Je ne sais pas pourquoi ma petite animation a… Oui, voilà, on veut garder ça très simple. Si Si je suis dans un projet qui dure trois ans et que c’est certains jalons de chemins critiques, mais que je veux aussi savoir que je passe 15 minutes ici, 15 minutes là, 15 minutes là.
Et ça peut être un besoin au niveau de la production, mais il faut peut-être savoir que pour garder le contrôle, il faut peut-être que je m’élève un petit peu. C’est des suggestions qu’on va peut-être vous apporter dans notre équipe. L’adoption est basée sur la compréhension. Ça, c’est plus un taux personnel. Je vous dirais que dans le passé, nous-mêmes, en développant des portions du logiciel, en donnant nos clients des outils, on a vu que certains outils sont abandonnés rapidement s’ils ne sont pas simples d’utilisation. Il faut voir avec vos utilisateurs leurs capacités, il faut voir aussi jusqu’où on veut aller granulaire, parce que si on vient trop gérer de choses en même temps, des fois, on va perdre le contrôle. Mais l’outil devient important. Ici, je pointe peut-être plus vers les outils des gens de plancher. Quand j’ai terminé un jalon, quand je sais que j’ai eu l’approbation du client, il faut que je l’avertisse tout le reste du monde, qu’on peut passer à la suite. Que ces outils-là soient connectés, puis qu’on sache où est-ce qu’on est rendu dans un projet, est plus là, mon commandable. Je vois quelques questions. Je vais revenir à la fin, voir les questions que vous avez mis.
On va avoir du temps. Je vais bon train pour la présentation. Donc, Je vais passer les points qu’on couvre dans le genius, puis qui vont vous donner des outils dans le logiciel de le genius ERP, mais qui couvrent aussi les solutions qui ont rapport avec les fabricants sur mesure. Premièrement, quand on a un projet, typiquement, vous faites probablement Vous avez une estimée, vous avez une règle de pouce ou des gens qui sont très capables d’ venir évaluer un projet. Ce qui arrive à ce niveau-là, on va souvent définir un budget ou des grandes lignes du projet avec soit les différents livrables ou un budget très haut niveau. Avoir un budget, ça vous permet déjà d’identifier un peu un barème de où est-ce que votre projet s’en va. Par la suite, et là, j’ai un peu tout mis dans une page, je pense que c’est important de voir qu’on veut définir un chemin critique. C’est quoi le point c’est magique pour vous. Je dis là, il y en avoir plusieurs. Puis ce point-là ou ces points-là, il faut que j’identifie mes jalons clés dans le système. Genius vous permet de faire de la gestion de projet CCPM et de la planification traditionnelle qui a été contraint ou qui a une interaction entre les deux.
On le voit ici un petit peu à l’écran, vous voyez ce que j’ai tracé de ma ligne. On va retrouver des jalons de projets ici, les différents drapeaux. Puis, vous voyez ici, par exemple, je ne sais pas, On veut s’assurer que le machinage est fait un petit peu plus tôt dans l’usine parce qu’on sait qu’on a des livrables qui vont peut-être être devancées ou qu’on va devoir courir un peu plus tard ou on va t’occuper de l’achat, peu importe la raison. Je peux venir devancer mon jalon de machinage, par exemple. Et En faisant ça, mes différents livrables, vous voyez quand j’ai tassé mon jalon ici, mes différents livrables qui passaient par le département de machinage ont été aussi tassés dans le temps. Je suis capable d’aller gérer mon projet en restant plus haut niveau, en ayant un effet au niveau granulaire, sans demander à mon gestionnaire de projet d’aller trop creux. Il faut savoir qu’on peut aussi aller au différent niveau, on peut aller au granular d’Ingenius, mais j’essaie de vous ramener à garder ça le plus simple possible. Les qui matière. C’était beau tantôt, je vous avais montré ce dessin-là, je vous le ramène.
Si j’ai toutes mes opérations, puis je sais quand est-ce que je veux commencer, je ne sais pas moi, à appuyer quelque chose ou à assembler quelque chose, on voit la petite boîte qui me dit exactement quand j’en ai besoin. Il faut savoir dans les projets d’envergure ou dans des… Je repars ça avec l’idée de vous commencez un projet, il n’y a aucune ingénierie de faite, mais vous savez que vous avez besoin de certains matériaux la troisième semaine. On peut mettre un jalon de… C’est quoi le terme Major material or major purchases. J’ai les termes en anglais, excusez-moi, mais les matériaux principaux qu’il faut avoir tôt. On peut se mettre un jalon et aller accrocher nos besoins de matières à ce jalon-là. Si plus tard, on définit les besoins avec les les tapes, les opérations, ils vont se mettre en place aussi. Mais à savoir qu’on peut tout faire par rapport au jalon seulement. On n’est pas obligé d’aller au niveau granulaire des opérations. Donc, Gynius va vous donner aussi un plan matière qui va vous permettre de dire dans le temps, quand je suis rendu à ce projet-là, est-ce que ma matière est disponible selon ma date requise et selon mes délais internes, quand est-ce que je pourrais avoir la composante, la pièce, le service le plus vite possible.
Donc, on a ces outils-là qui vous aident aussi à aligner tous vos besoins requis matières avec votre cédule. Malgré que vous dans votre projet. Un point quand même qui est assez important, c’est que je vais être capable de gérer mes différents projets un avec l’autre. Je pense que j’ai une question par rapport à ça, quand j’ai du multi-projets, comment je fais? À savoir que je peux avoir différents livrables dans une commande, mais chacun de mes livrables, je vais être capable ici de venir les réordonnancer. Et là, ici, je veux faire attention, je parle de simuler des scénarios. D’être capable de dire: Si je fais passer lui avant l’autre, la commande de Johnson & Johnson que je veux livrer en six semaines, quand je la rentre, elle va arriver à la fin, mais je vais être capable de la remonter peut-être en deux, troisième place. Vous voyez ici, j’ai bumpé une commande, un livrable d’une place. Puis le système va me donner un peu… Il va me donner une idée du stress que ça donne à mon usine. En faisant passer celle-là en premier, j’ai mis du Après, j’ai utilisé une partie de ma capacité. On voit des tableaux de bord comme ça qui vous permettent de réordonnancer, de simuler vos différentes solutions possibles et vous allez pouvoir faire un, deux, trois différents scénarios.
En discuter avec votre équipe et décider lequel scénario Le vendant est fait. Ça, c’est le fun dans un meeting: Le vendant arrive, je veux faire ça. Ok, rentrons le scénario. Plaçons-le où on pense dans la cellule. Est-ce qu’on est tous d’accord qu’on met ces projets-là à risque ou peut-être qu’on ne met pas tant nos projets à risque, on pourrait aller avec ce scénario-là. Oui, au moment qu’on commet le scénario, c’est là que la cédule est impactée. Et c’est là qu’on voit les impacts dans, par exemple, les écrans de production, les gens voient leurs tâches chargées de priorité à l’écran. On parlait d’outils, les gens peuvent se rapporter l’avancement. Ici, j’ai mis l’outil pour que les gens puissent monitorer leur jalon, rapporter leur avancement sur leur jalon. Et on peut voir une partie du tableau bord, est-ce qu’on voit les différents jalons, est-ce qu’on peut même se mettre des couleurs, pour savoir où est-ce qu’on en est, laisser des notes. D’avoir quelque chose, et nous, on a fait l’effort de le mettre sur le téléphone, celui-là, parce que le projet sont… Il y a des gens qui ne sont pas dans tes entreprises, ils sont tout le temps derrière leur bureau.
Souvent, ils vont circuler, que ce soit dans la shop, chez des clients. Donc, on a voulu le disponible mobile aussi. Ça permet aux gens de rapporter justement l’avancement. On va avoir des outils planchés, interactifs, sans papiers aussi, où est-ce que les gens voient leur liste de tâches. Je vous parlais juste avant, si je change mes priorités, ça pourrait changer leur liste de tâches à l’écran. Ces gens-là vont pouvoir nous rapporter en temps réel leur temps, la matière utilisée, la localisation, plein de choses. Si je reviens très haut niveau encore aussi aux différentes… Je continue ici, je vois des C’est une belle question. Les points essentiels que je voulais regrouper côté solutions pour le marché sur mesure, d’être capable d’établir des budgets sur un projet. On ne voit pas ça dans toutes les RP manufacturiers, mais oui, on est capable de gérer des projets de plus grande envergure. D’avoir les jalons clés de notre chemin critique dans le système, puis d’être capable de rapporter ou de changer ces jalons-là. Ça devient très important que notre gestion de projet affecte notre plan matière, nos requis matières, et des relâches qui pourraient être progressées, ou aussi du dessin avec l’ingénierie, du dessin avec la production.
Simuler des scénarios, on en a parlé aussi. Puis d’avoir des outils qui nous permettent de ramener en temps réel une visibilité sur l’avancement. Je n’en ai pas parlé tantôt, mais si on fait aussi de la planification un peu plus granulaire, si je rapporte des temps accomplis, Génius va céduler sur les temps restants et non pas sur le temps total. Je prévois un projet au niveau 60 heures, ça fait une semaine qu’on est dessus, je n’ai aucune idée où je suis rendu, puis on demande système de recéduler la job. S’il ne prend pas le temps restant pour céduler, il va vous remettre 60 heures, on vient. On considère vraiment les temps restants. Je pense que c’est un point qui est quand même très important. Je vais y aller en conclusion, mais j’ai encore un peu de matériel à vous montrer par rapport à où avoir plus d’informations. J’ai des belles questions en ligne, on va les passer. La planification, c’est névragique pour les manufacturer. On disait que c’est un besoin qu’on sait que tout le monde a. Je le vois par 40 plus participants que j’ai aujourd’hui m’écouter. J’ai comme une petite gêne en voyant le chiffre.
Merci d’ailleurs d’être parmi nous. Il existe différentes méthodes de planification. Je vais les summariser en deux méthodes: traditionnelle et gestion de projet. Vous vous demandez quelle méthode convient le mieux à votre processus de fabrication? Rien C’est vous, je vous parlais, on peut avoir des gens dans notre équipe qui arrivent d’un autre genre de milieu de fabrication qui n’avaient pas les mêmes enjeux, qui vont vouloir gérer notre inventaire, notre façon de planifier avec leur expérience pour faire attention à ce bagage-là par rapport à comment vous, vous fonctionnez si vous êtes un fabricant sur mesure. Se demander aussi avec toutes les conditions que je vous ai parlé, qu’est-ce qui fait à mes besoins? Le système doit être connecté au plancher. C’est essentiel qu’on puisse ramener l’avancement des processus, le statut, si on veut pouvoir rester à jour dans ces outils-là. C’est beau si on planifie, mais si après ça, ça reste un projet statique, qu’il faut le mettre à jour manuellement, ça devient une incombance, ça devient un outil trop lourd à utiliser. Il fait en piquant sur mesure, mais d’avoir un système qui a une interaction. On disait, la solution, c’est et la méthode traditionnelle et la méthode de gestion de projet, Il faut que ça devienne…
Mettons que ça fasse du rouge au vert, si je veux utiliser des termes un peu faciles d’utilisation. Il faut qu’il y ait une interaction entre les deux niveaux. D’être capable d’établir où est-ce que mes jalons critiques vont peut-être avoir un impact sur ma shop ou avoir un impact sur d’autres jalons. C’est là qu’on a des solutions qui peuvent être assez clés dans le genus. N’hésitez pas à mettre vos questions, j’en ai plusieurs. Je ne sais pas si je pourrais avoir le temps de faire toutes les questions. Je vois qu’ils commencent à débouler, ne me gênez-vous pas à les mettre, comme je vous dis, on va faire un suivi par courriel si je ne réponds pas aujourd’hui. Pour nos clients existants, je suis désolé pour ceux qui ne sont pas déjà clients chez nous, on a une plateforme, si vous avez plus de questions, n’hésitez pas à vous joindre à nous. On a des experts qui font des sessions trois fois semaine dans notre plateforme Académy. Et cette plateforme-là, cette session là qui est une heure par semaine. Excusez-moi, trois fois une heure par semaine. Comme vous le voyez ici, les gens se joignent pour une pose de questions.
Si vous vous demandez comment aller la chercher, dans votre login académie, vous avez la section qui s’appelle, je l’ai en anglais, mais je pense que c’est Demander un expert ou cantine. Ça va être un de ces noms qui va être ici en haut. Typiquement, c’est la deuxième icône. Vous vous inscrivez à une de ces sessions-là et vous joindre. Il y en a une vendredi, c’est lundi, mercredi et vendredi. À savoir qu’on a sorti dans l’année, année demi, quelque chose comme ça, Sur notre plateforme académie aussi, si vous allez chercher les mots clés qui sont écrits ici, choisir le bon mode de planification. Certains de nos experts ont fait des chartes qui vont vous permettre d’aller dire: Selon votre mode de fabrication, MTO, order, comme figure to order, si vous allez chercher votre mode de fabrication. Dans ce cours-là, si vous choisissez l’exercice ici, les documents que vous pouvez downloader, on a des visios décisionnelles comme ça qui vont vous aider à dire: Si j’ai telle réalité, telle réalité, qu’est-ce que je devrais utiliser dans le junior? Ça ne va pas être mes meilleurs outils ou du moins dans les bonnes pratiques, ce qu’on croit que vous devriez regarder.
Vous allez voir, il y a plusieurs attachements. Je monte un MTO ici, mais il y en a d’autres attachés à cet exercice-là. Je vous recommanderai d’aller voir là en premier, ça pourrait répondre à beaucoup de vos questions. On revoit un peu les différents modes de planification, on vous aide à choisir un peu le concept que j’ai fait aujourd’hui, mais beaucoup plus détaillé, si vous voulez aller pousser le concept qu’on a vu aujourd’hui. Il y a aussi une classe que notre directeur de produits, chef de produits, de fait, ceux qui ont mis en place la planification intelligente d’Ingenius. On a enregistré une classe parce que différents clients étaient joints en ligne pour poser des questions. On avait une classe pré-enregistrée, finalement, qui a eu lieu il y a quelques années. Vous pourriez aussi bénéficier d’aller voir ces enregistrements-là où est-ce qu’il y a eu cinq ou six sessions, je ne me trompe pas, d’interactions avec des clients, où est-ce qu’on venait leur montrer la planification dans le genius. Si j’avais à dire Prenez action aujourd’hui, si vous êtes utilisateur de genius, comme je disais, vous pouvez nous rejoindre. Il faut toujours écrire au succès client si vous voulez plus d’aide de nos consultants.
Dans l’académie, ne gênez-vous pas d’aller voir ces mots clés-là. Ça va vous aider à retrouver rapidement les classes que je vous ai référées. Puis, pour tout le monde, ce qui a notre méthode de planification, puis toutes, on vient de discuter aujourd’hui, c’est les deux livres de Gold Rapp, qui sont The Gold et Critical Change. C’est vraiment des livres qui nous ont beaucoup inspirés, qui sont très connus dans le marché, à amener les bonnes approches dans notre système. Pour ceux qui sont nouveaux à Genius, n’hésitez pas à nous écrire si vous voulez en savoir plus sur nous. Ça apparaît à notre site Web aussi. Il y a nos webinaire précédents qui sont aussi disponibles sur la page Web. Si vous voulez m’écrire personnellement, je n’ai pas. Voici mon adresse. Là, je vais aller voir les questions parce qu’on a quand même un petit peu de temps. J’ai une question ici qui demande: multi-projets. Je pense y avoir répondu un petit peu quand on est allé… C’est à peu près juste ça: gestion, multi-projets, point d’interrogation. À savoir quand j’ai montré la planification des scénarios, je pense que c’est là que ça peut vous aider. À savoir aussi que si vous voulez dire multi-projets parce que vous avez plusieurs livrables dans un projet ou un projet qui évolue sur plusieurs années, on peut, dans le genius, venir lier vos différentes nos nouveaux différents livrables ensemble avec un numéro de projets références.
Ce qui fait qu’on peut aller voir des budgets globaux, on peut se faire des rapports ou du data mining sur l’avancement des différents jalons critiques des différents projets. La relation entre les projets, ça revient à peu près à ce qu’on a ce qui est le réordonnancement des priorités à la page que je vous ai montrée. Ok, il y a quelqu’un qui répondait au sondage dans le chat. Excusez-moi, je prends le temps, il y a quand même un long texte. Je vois qu’il y a des gens qui ont commencé à quitter. Je vous remercie, si vous vous quittez tout de suite. Merci beaucoup de votre participation, merci beaucoup de votre participation. Merci que vous être joint à nous. N’hésitez pas, les questions et réponses, ça peut être des commentaires, des feedbacks d’amélioration On continue à faire des webinaire à chaque mois. S’il y a des choses que vous aimeriez entendre dans ces webinaire-là ou des suggestions de comment améliorer la situation, de comment on fait ça, ne gênez-vous surtout pas de mettre ça là aussi. Merci. Il y a une dualité car il manque de formation des usagers et comment les matcher avec les opérations sur le terrain, comme c’est le cas dans l’industrie de la construction.
Ok, là, il faut faire nuance ici. L’industrie de la construction a des particularités qui ne sont pas les mêmes que l’industrie manufacturière. Typiquement, quand on va parler d’aligner la fabrication avec des livrables externes, les jalons vont vous aider. Si je dis: Je dois avoir tel jour livré ces différents sous-assemblées ou livrables là sur le terrain, on pourrait mettre un qui pourra venir dire: Ce sous-assemblage-là, qui pourrait être un de vos livrables, doit s’aligner avec ce jalon-là. Je l’ai déjà fait en démo avec certains de nos clients, de dire qu’une expédition ou un besoin sur chantier pourrait s’aligner avec des livrables de l’usine. Reste que Genius est un outil qui va vraiment vous aider à cibler vos livrables manufacturiers. C’est là qui est notre plus gros focus. Si je ne réponds pas parfaitement à la question, n’hésitez pas à la reformuler et la renvoyer. Ça va nous faire plaisir de répondre mieux à vos questions, si je comprends mal l’affirmation. Sur les scénarios tableau de bord, est-ce que c’est possible de voir à la fois les projets jalons pour la planification sur-mesure et la planification standard. C’est sûr qu’on ne regardera pas typiquement la même situation, mais oui, dans l’ensemble, Genius, c’est un job qui va être fait, soit en relation de projet ou plus dans la planification standard.
Ils vont quand même se retrouver une date de début de fin. C’est ça qu’on veut voir. On peut tout à fait les mettre sur le même tableau de bord. Quand moi, j’entends tableau de bord, j’entends: moi, je veux voir ça, je vais mettre ça à l’écran, je vais mettre une petite formule qui va me montrer mon pourcentage d’avancement. Si je suis en traditionnel, je peux peut-être le voir basé sur des heures d’avancement de soudure ou de l’ensemble de ma job. Si je suis en projet, je veux voir mes trois jalons critiques et lequel est accompli ou à quel pourcentage est accompli. Il n’y a rien qui vous empêche de faire ça et de mixer dans vos tableaux de bord l’information qui qui vous est affichée. L’information, elle est dans le système, ce qui fait qu’à ce moment-là, les visuels… Je vous dirais même, je vous donne un truc aujourd’hui, quand vous parlez à un consultant, que ce soit nous ou tout autre consultant, arrivez avec le visuel que vous voulez à la fin ou ce que vous avez besoin comme résultat. Donnez une mission à un consultant, il n’y a pas rien de mieux pour l’aligner, que vous ayez la même vision de qu’est-ce que vous avez besoin en bout de ligne.
Que ce soit un tableau de bord que vous avez à remettre à l’exécutif, que soit vous la visibilité sur l’avancement des travaux, puis le consultant va être forcé de vous C’est oui, ça, je peux vous le faire, ça, non. Ça, on peut aller ici. Vous allez savoir d’avant jeu, vous allez vous assurer du livrable, finalement. Dans le monde des larges, un livrable, ils vont vous dire s’ils peuvent la conclure ou pas, puis qu’est-ce que ça prend. Ne me gênez-vous pas de faire des esquisses de tableaux de bord. Moi, personnellement, comme consultant, j’adore ça quand je vais avec un client et que je dis: Moi, c’est ce que j’ai besoin de voir. Je sais exactement où je m’en vais. Est-ce qu’on a accès à Genius Academy si vous êtes client? Très bonne question Laurie Cusson? Je ne sais pas si c’est Cusson Laurier ou Laurie Cusson. Regardez ici à l’écran, j’ai un email, Customer Success. Si vous êtes client, vous parlez probablement à une de nos personnes du sous-sais client, que ce soit Antoine, Faustine, Oscar ou Carole-Anne, une de ces personnes-là, écrivez-lui, elle va pouvoir répondre à vos questions. Typiquement, tout client qui embarque avec nous a Académie, parce que dans la formation, dans l’implantation, on utilise la plateforme pour vous former, mais il y a des clients qui l’ont mis de côté par la suite, qui ne savent peut-être pas qu’on a les cantines à chaque qui est de plus en plus populaire.
Je vous donne un exemple, vous n’avez pas fait de crédit dans le système depuis six mois, puis d’un coup, vous avez un crédit à faire. Est-ce que je me souviens? Est-ce que je veux retrouver les papiers? Ou demain, il y a une cantine, je vais embarquer et je vais demander à François. François, j’étais de situation, je te partage mon écran, comment je fais un crédit pour ne pas me tromper? Et je vous guide. Ça prend cinq minutes, la réponse est faite, vous pouvez poursuivre vos activités. Ça a une valeur inestimable, selon moi. Depuis qu’on a commencé à faire ça, beaucoup de nos clients viennent à ces cantines-là de façon répétitive. J’en ai même qui viennent me manger, puis écouter la cantine juste pour apprendre de l’expérience des autres clients. Je vous mets cette puce-là à l’oreille. N’hésitez pas à écrire à Customer Success. Si vous ne savez pas qui y rejoindre, prenez cette adresse-là, écrivez à notre équipe, ils vont vous guider pour vous assurer que vous ayez vos accès. Je continue dans les réponses, dans les questions que j’ai à l’écran. Est-ce qu’il y a un rapport ou une requête qui permet de voir quelles machines étables sont rendues dans nos pièces?
Tout à fait. Oui, très bonne question, Lara, je crois. Je ne suis pas sûr de comment prononcer votre nom. Mais pour la question: est-ce que je peux suivre où est rendue chacune de mes pièces? Tout à fait. Là, vous me parlez d’une étape ou machine. On parle de traditionnelle ici. On parle d’avoir une gamme de fabrication avec une séquence de tâches. Et là, oui, je vais être capable de savoir combien d’heures j’ai fait sur chaque machine, laquelle est complétée, où je suis rendu. Je peux tout à fait tracer ça dans le genius. Je peux tracer même une quantité ou heure faite à chaque opération et si l’opération est complétée ou On a des tableaux de bord qui vous donnent, par exemple, une liste de tous vos jobs dans l’usine, puis vous pouvez les mettre dans les différentes colonnes quelles machines vous voulez suivre, puis on peut voir le temps fait, le temps prévu, voir encore si c’est complété ou pas. On a des tableaux de bord qui sont prévus déjà pour ça. Ou comme je le disais plus tôt, à l’autre question, vous pouvez créer votre propre tableau de bord comme vous, vous voulez le voir dans nos analytiques ou dans nos outils de rapport.
C’est quand même très simple à faire. Encore, je vous invite à, si je ne réponds pas complètement à votre question ou si j’ai mal compris, reformulez-la, envoyez-la, on va se faire plaisir de les répondre et de lui donner une suite. Est-ce que le genius peut proposer le meilleur scénario? On le fait déjà un petit peu la… Je ne sais pas si c’est là que la question va, mais quand je rentre un nouveau projet, si j’ai défini vraiment un chemin critique qui est typiquement le même, là, je peux faire attention en milieu manufacturier sur mesure, ça peut être assez aléatoire. C’est quoi qui est névragique chez nous? Est-ce que c’est la soudure? Est-ce que c’est les dessins d’ingénierie? Qu’est-ce qui fait que je suis capable de dire quand je peux livrer une prochaine job? On a plusieurs barèmes. On peut se baser sur plusieurs choses en genius pour faire ça et avec notre planification de projet, on est capable d’aller dire: Je rentre un prochain projet, voici ce que j’ai déjà à livrer Je m’en vais à la fin, je mets celui-là. Puis je peux donner un capable de promettre. C’est ce qu’on parlait tantôt quand le vendeur arrive et dire: Je veux donner six semaines à mon client.
On va dire en genius: Rentre ton besoin. Il va sortir dans le besoin d’acéduire, puis avec nos planifications par scénario, on peut aller simuler où je pourrais le mettre pour voir si je peux le livrer. Est-ce que le système donne out of the box et qu’il va aller placer la fameuse commande en ligne, puis vous allez pouvoir la replacer. Ça, c’est si on se sert de la planification intelligente, qui est un peu comme une capacité finie, si on veut, de tout ce qu’on a à faire. Mais vous pourriez aussi tout simplement fonctionner à chaque fois qu’un client m’appelle, me dit: C’est cette date-là, je le mets là. Mais là, dans ce cas-là, vous tombez dans un mode un peu ce que j’appelle Vous venez vous-même mettre des dates et là, le système va vous dire: Où est-ce que vous avez créé de la surcapacité? Où vous avez créé des besoins qui dépassent votre capacité? Vous allez devoir gérer ça. On a de l’automatisme à vous proposer où vous pourriez faire à main et gérer les problèmes que ça crée, finalement, les bornecs que ça va créer dans votre usine. Soit, on vous aide à identifier les bornecs, soit, on vous aide à placer, ordonnancer automatiquement vos jobs.
Ça peut être un mix des deux. Il y a une belle question Ils sont ici encore. Oui, OK. Oui, on revient sur les tableaux de bord. Est-ce qu’ils sont disponibles dans une version plus vieille que 12? Ok. Mais en partant, je dirais le côté outil pour faire des tableaux de bord. C’est dans une base de données SQL, si vous connaissez un peu le côté technique de comment faire des rapports, vous pourriez utiliser à peu près n’importe quel outil. On a des clients qui sont partis en fou sur Power BI, puis qui l’utilisent encore aujourd’hui. Très facile à connecter à Genius. Il faut quand même savoir comment faire ça requête pour aller chercher l’information dans le genius, mais oui, très facile d’utilisation. La beauté des nouveaux tableaux de bord qu’on a aujourd’hui, puis je dis nouveau pour vous, vous êtes en 12, mais depuis fin 14, 15, ce qui veut dire depuis à peu près un an et demi, deux ans, on a les tableaux de bord où est-ce que notre équipe a déjà joint les tables, que vous puissiez juste glisser les champs dans les tableaux de bord. Ça, ça devient un outil qui est peut-être plus accessible pour ceux qui connaissent moins les outils de rapport.
Sinon, il y a toujours nos rapports qu’on utilise pour faire nos formulaires, comme la liste des commandants en cours, la liste des soumissions en cours, les formulaires que vous utilisez pour envoyer des PO. Cet outil de rapport-là est encore presque utilisé pour faire des indicateurs, des tableaux de bord, des métriques, des graphiques. Vous pouvez l’utiliser pour ça aussi Il y a plein de solutions possibles. Il y a des gens qui connectent leur Excel, qui font des tables de pivot. Il y a beaucoup de possibilités qui sont accessibles à vous. Ça pourrait être une belle question pour notre équipe client. On pourrait aller en ligne avec vous, puis voir c’est quoi votre besoin. Faites l’esquisse un peu, peut-être, de vos besoins, venez à nous, puis on va vous aider Vous pourriez aller là, c’est déjà presque fait ou il faut le partir de zéro et là, on pourra parler de quel outil vous pourriez utiliser pour le faire. Pour mieux répondre à la question, je viens de voir, vous étiez en V12. On va parler de soit Power BI, soit des outils de reporting qu’on avait ou si vous avez une autre plateforme de rapport qui se connecte à SQL, libre cours à votre initiative.
Quel est le langage de la base de données et de la programmation? La base de données, elle est sur SQL en arrière. Puis après ça, langage de programmation, il faut faire attention de ce que vous voulez faire ici. On a des REST API, ce qui fait que des API, ce qui fait que ça vous permet de connecter des choses externes ou programmer vos propres interfaces si vous le voulez. Il faut faire attention de passer par les API dans ce temps-là. Si on veut interroger la base de données, il n’y a pas grand limite là-dessus, c’est du SQL, ce qui fait que ça ouvre beaucoup de flexibilité de porte, comme je viens de de répondre à l’autre question. J’espérais que ça réponde à ta question, Carl. Merci beaucoup. Il y a des gens qui m’ont remercié. Ok. Oui, il y a quand même plusieurs personnes qui ont quitté. Écoutez, ça fait le tour. Moi, je n’ai pas d’autres questions ici sur les questions mes réponses. Je vais quand même laisser ça ouvert encore une minute ou deux. Je vais fermer ma caméra vidéo. Je vous remercie beaucoup d’avoir participé en grand nombre. La raison pourquoi je laisse ça ouvert encore une minute ou deux, s’il y en a qui est en train de taper votre message, au pire, finissez-le rapidement, puis faites Enter pour que je puisse avoir d’autres questions que je puisse lui donner suite rapidement, prochainement.
Je vous remercie, puis restez à l’affut. On a un webinaire qui se prépare pour le mois fin d’octobre. Je me trompe pas. Je n’ai pas la date, exemple, je crois que c’est le 26 octobre, c’est plus pour des nouveaux clients, mais comme Comment on budgète une implantation ERP, comment choisir le bon ERP, ça va être dans ce genre de thématique-là sur laquelle on va avoir un webinaire fin octobre. Merci beaucoup. Bonne journée. Bonne question pour l’enregistrement. Vous devrez recevoir un courriel qui vous remercie d’avoir participé avec le lien vers l’enregistrement. Et au pire, si vous ne l’avez pas, attendez un jour ou deux, vous allez le voir apparaître sur notre site Web. Je ne l’ai pas fait, mais d’autres fois, je le montre. Quand vous allez sur le site Web, à la section Ressources, vous allez pouvoir chercher par mot clé ou filtrer par webinaire. Il va être affiché à cet endroit-là très prochainement. C’est 24, 48 heures à peu près que ça nous prend pour mettre les webinaire en ligne. Ça me fait plaisir. Bonne journée à vous aussi..
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