Subventions pour des projets ERP pour PME au Québec

Qu’est-ce que j’y gagne?

Participez à notre webinaire sur les subventions disponibles au Québec, animé par Pascal Vachon, associé principal d’Akronym et conseiller accrédité de l’ADRIQ. Découvrez les types de subventions provinciales, régionales ou sectorielles, et apprenez comment elles peuvent soutenir vos projets avec Genius ERP. Profitez de cette occasion pour en apprendre davantage sur les opportunités de financement qui s’offrent à vous !

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Bonjour à tous, bienvenue au webinaire. Si jamais vous avez des commentaires, des questions, vous pouvez nous contacter avec la section Q&A. Aujourd’hui, je ne vais pas être tout seul. On va faire ça un peu différent. On a deux personnes avec nous, Pascal et Marc-Antoine, qui vont venir vous parler des subventions. Je vais quand même commencer avec une petite introduction à propos de Genius, mais ça va être très rapide, beaucoup plus rapide que d’autres webinaire. On va vraiment y aller en survol. Ensuite, je vais vous présenter les animateurs plus… En Ils vont se présenter eux-mêmes plus en détails. Et par la suite, on va aller regarder des projets de Genius, quels types de projets on pourrait faire pour avoir requis à de la subvention si nécessaire. Et on va finir par une période de questions et les prochains webinaires qu’on va pouvoir couvrir. Pour ceux qui ne me connaissent pas, je m’appelle Pascal. Je suis à Genius depuis quelques années. J’ai fait de la consultation de l’implantation du système. Maintenant, je suis rendu aux ventes. C’est pour ça que vous me voyez de temps en en temps. Soit c’est François, mon collègue, soit c’est moi qui donne les webinaires.

Aujourd’hui, comme je l’ai mentionné, ça ne sera pas moi. Ça va être nos deux animateurs, Marc-Antoine et Pascal. Quand même une mini introduction à le genius. C’est simplement un petit rappel de qui nous sommes. Ça fait un peu plus de 30 ans qu’on travaille auprès des fabricants manufacturés, principalement pour les fabricants sur-mesure, donc qui font de la conception et de la fabrication sur-commande, sur-mesure pour leur clientèle. Donc c’est vraiment nos clients cibles, les patients avec qui on travaille le plus. Les cinq premières années, on était plus en consultation génie industriel, amélioration continue. Puis, on a vraiment plus changé vers le logiciel. Donc, depuis 25 ans, on est vraiment un système ERP pour les entreprises. Comme vous pouvez le voir, on est un peu partout en Amérique du Nord, principalement aux États-Unis et au Canada. Vous voyez la section en rouge, c’est où est-ce qu’on retrouve des utilisateurs. On a une dizaine de milliers d’utilisateurs. Mais aujourd’hui, on va vraiment focusser sur le Québec, Canada, Québec principalement, pour vous parler des types de subventions que vous pourriez avoir, qui peut être soit avant, pour commencer un nouveau projet, si vous aimeriez avoir de leur genius pour la première fois, un projet d’implantation, mais on va vraiment plus focusser sur tout ce qui vient après.

Tous les autres projets qu’on peut venir faire une fois l’implantation faite. Une fois que vous avez de genius, votre vie continue, les projets continuent, les améliorations peuvent encore continuer. C’est là où on va venir focusser davantage. C’est pour ça que je ne parle pas beaucoup de genius. En théorie, vous devriez le connaître. Mais si vous aimeriez avoir plus d’informations, on a plusieurs autres webinaires qui vont parler davantage de genius, ce qui nous sommes, qu’est-ce qu’on fait. Sinon, on va parler à votre représentant ou au succès client, si jamais vous aimeriez avoir davantage d’informations à ce sujet. On vient de vous parler un peu de genius présentation, mais comme vous avez compris, ce n’est pas moi qui va faire le webinaire aujourd’hui. C’est Marc-Antoine et Pascal, donc je vais les laisser se présenter. Voilà pour commencer. Pascal, à ton tour.

Merci Pascal. Pascal Vachon, fondateur et président d’Akronym ou aussi conseiller principal. Vous comprendrez qu’on n’est pas une très grande équipe. Essentiellement, j’ai un bagage d’ingénieurs, manufacturiers. Ça fait plus de 15 ans maintenant que je collabore avec des entreprises d’un peu partout au Québec dans différents secteurs d’activité pour les aider à comprendre c’est quoi les enjeux, comment amélioré, puis depuis plusieurs années maintenant, beaucoup par les solutions numériques. Donc, optimiser les entreprises en optimisant aussi les meilleures solutions numériques fait partie de ce qu’on fait. On collabore régulièrement avec Génius et autres intégrateurs fournisseurs de solutions pour trouver les meilleurs logiciels à implanter. Merci. Je vais laisser la parole à Marc-Antoine. Marc-antoine Lachance, ingénieur également. Ça fait quelques années quand même déjà que j’accompagne des entreprises manufacturières du Québec. J’ai commencé ma carrière dans le monde du développement économique. C’est un peu cette expérience-là que je viens de vous présenter aujourd’hui, les différentes offres de financement public. Ça fait près de trois ans que j’accompagne une entreprise. J’ai participé autant à l’étude des programmes, l’identification, l’étude. J’ai fait les montages financiers de plusieurs entreprises qui voulaient aller chercher, optimiser leur financement public. Donc, c’est un peu là-dessus que je me base aujourd’hui pour vous présenter.

Si je présente ce qu’on fait rapidement, peut-être chez Akronym, l’équipe peut passer à la prochaine diapo, Pascal. On n’est pas une très grande équipe dans le fond, on est une équipe d’experts spécialistes. Vous comprendrez que ce qu’on fait, ce n’est pas du volume à développer des applications. Nous, on est dans l’accompagnement direct aux entreprises. Il faut être capable de comprendre dans le détail comment une entreprise fonctionne, où sont les problèmes et quels sont les types de solutions à implanter. Équipe multidisciplinaire qui va toucher plusieurs aspects, autant de la stratégie d’affaires jusqu’à de d’implantation de solutions. On a une équipe basée avec ses qualités dans l’équipe. Je peux peut-être passer à la prochaine. Ça explique un peu mieux ce qu’on fait. Dans le fond, on part de la stratégie d’affaires comme disons, on va faire du conseil technologique, quelles sont les meilleures solutions, équipements, logiciels à implanter. On va aider dans le déploiement, on va aider au niveau des aides financières qui est le sujet du jour aujourd’hui. On va faire de la formation, des conférences sur différents sujets et on va faire aussi de l’intelligence d’affaires pour aider l’entreprise avec qui on travaille. Une fois qu’on a identifié qu’est-ce qui avait à mettre en place, comment suivre que ça a été mise en place, qu’on a atteint les objectifs qu’on s’était fixés au départ.

En quelques chiffres, beaucoup de clients accompagnés depuis bientôt six ans maintenant. Là, on était à plus de 175 clients accompagnés. Certains qui travaillent avec nous depuis presque le début de l’entreprise On a fait de nombreux, des dizaines de plans numériques, bientôt une centaine. On va approcher de ça si on met le chiffre à jour bientôt. Beaucoup de solutions ou de sélection de projets ERP dans la dernière année, cette année en particulier, je pense qu’on a quatre ou cinq On a des projets en parallèle maintenant. Et un des points importants, on ne touche aucune commission dans le sens qu’on est des conseillers neutres. Donc, on va travailler des fois avec Genius, comme je disais, des fois avec d’autres solutions, selon quelle est la meilleure solution pour le client. Nous, on n’est pas des revendeurs, on est des conseillers neutres.

Parfait. Maintenant, je vais vous parler un peu des projets de Genius. Qu’est-ce qu’on peut faire comme type de projet qui pourrait avoir besoin d’une subvention? Qu’est-ce qu’on peut vous aider? Comme je vous disais, quand on pense à un système ERP, on pense à l’implantation, on pense seulement qu’on va avoir besoin d’aide à ce niveau-là. Par contre, ce n’est pas nécessairement le cas. C’est aussi durant tout le cycle de vie, si vous avez votre compagnie, votre entreprise peut changer, les besoins peuvent changer, c’est là qu’on peut vous aider, vous accompagner. On est là pour vous aider à grandir ou si vous avez un changement de vocation dans votre entreprise. Premièrement, premier point qu’on voit le plus souvent, tout ce qui est formation mise à niveau. Par exemple, ça peut être suite à une migration. Là, on a la version 16 qui qui arrivent, on met plus de choses sur le Web, on est rendu avec des modules sur le Web, c’est différent un peu. Donc, peut-être qu’on a eu un besoin d’accompagnement, un besoin de formation qui peuvent être nécessaires. On a toujours Genius Academy. Si vous aimeriez avoir une approche plus avec nos consultants, on est là, on est capable de faire ce type de projet avec vous.

Mais ça peut être aussi juste de la formation de la mise à niveau générale. Par exemple, vous avez beaucoup de roulements d’employés à l’intérieur de votre entreprise. Plusieurs personnes sont parties, le monde qui avait la connaissance du système sont parties. Puis, vous vous dites Pour moi, ce serait nécessaire d’avoir une mise à niveau. Mais c’est là où on peut vous accompagner, on peut faire des projets d’accompagnement, de formation mise à niveau pour juste faire assurer que la connaissance dans l’entreprise, la connaissance du système soit plus grande. Puis, on n’a pas simplement la notion de qu’est-ce qu’on peut faire dans notre day to day, mais aussi où aller chercher l’information, qu’est-ce que le système peut nous offrir, etc. En même ordre du day, on a des projets d’amélioration aussi qu’on peut faire. Ça peut être des projets d’amélioration de l’utilisation du système, comme par exemple, ajouter un nouveau module à utiliser. Par exemple, vous ne faisiez pas de soumission dans le système, vous commencez dès la commande, mais vous aimeriez commencer le processus préalablement à la soumission, l’estimation, etc. On peut venir rajouter ce module-là. Mais ça peut aussi être lié à des changements de processus à l’interne.

Donc, vous avez changé complètement un processus, votre processus d’ingénierie est complètement différent. Peut-être qu’on va vouloir utiliser le système d’une manière complètement différente. On est capable de vous accompagner là-dedans aussi. Ça peut être simplement de revoir vraiment vos processus, revoir comment vous pouvez d’optimiser le genius pour pouvoir l’optimiser davantage, puis que ça réponde plus à vos besoins et à vos objectifs. Si jamais vous ne savez pas non plus par où commencer, vous vous dites: Oui, j’aimerais ça utiliser plus de genius, mais je ne sais pas ce qui manque, je ne sais pas par où commencer. On peut faire aussi un petit projet d’analyse. Le consultant peut venir chez vous, il peut le faire à distance aussi, venir chez vous regarder vos processus, regarder ce que vous faites, regarder comment vous utilisez le système et comment on peut, par la suite, vous aider. Il Suite à cette analyse-là, on revient avec un plan de match, tout ce qui pourrait être amélioré, changé, modifié. Ça peut toucher pas seulement les processus de la formation, ça peut toucher aussi les trois autres, les six points que je mentionne ici. La personnalisation, une nécessité de l’intégration avec un autre système, peut-être que vous avez une acquisition, une nouvelle compagnie, peut-être de l’aide à la prise de décisions.

Toutes ces situations-là peuvent être gérées, on peut vous aider et vous accompagner là-dedans. Troisième point que je voulais parler, c’est la personnalisation et développement spécifique. Souvent, quand on pense à une générosité de personnalisation, on pense plus les rapports personnalisés, des tableaux de bord personnalisés, par exemple, à une générosité analytique. Mais on est capable aussi d’aller un peu plus précis avec la création d’une page Web qui représente vos besoins. Par exemple, maintenant qu’on est rendu sur le Web, on est capable d’aller un peu plus dans ce type de personnalisation-là. Ce qu’on fait souvent, par exemple, ça va être plus avec l’estimation. Si jamais vous utilisez un Excel, l’estimateur Excel, par exemple, on est capable de faire la même chose, mais avec un estimateur Web. C’est une interface Web à la place, ça va être connecté avec Genius. Ça, c’est si jamais vous Par exemple, notre estimateur ne répond pas à vos besoins parce que vous avez besoin d’aller plus précisément dans les questions de volume. Vous allez besoin d’avoir des questions super précises avec des règles d’affaires très précises qui répondent à votre besoin de votre entreprise. On serait capable de les remettre, d’avoir vraiment une page sur le Web pour vous créer ce type d’estimation.

On est capable d’aller dans ce genre de personnalisation aussi, si ça vous intéresse. Intégration avec d’autres systèmes, ça, en fait, c’est si jamais vous utilisez plusieurs systèmes, on va vouloir que ça reste un écosystème, que les systèmes peuvent se parler l’un avec l’autre. Par exemple, si vous avez un logiciel de nesting, on peut venir ramener l’information de Genius pour le mettre dans le logiciel de pour ne pas qu’il y ait de la ressaisie de données. On va vouloir minimiser justement tout ce qui est ressaisie de données. Pour pouvoir qu’il y ait de la communication des systèmes avec le nesting, un système, ça peut être un CRM, ça peut être un système de lecture aussi de documents, PDF, par exemple, BigDem. Donc, tout ce genre d’intégration qu’on est capable de faire. On a une section aussi sur le Web, sur notre page Web, si jamais vous voulez en apprendre davantage à ce sujet. Donc, on est capable de faire ces intégrations-là. On est capable de juste vous accompagner là-dedans ou on peut le faire complètement pour vous. Donc, tout dépendamment de votre besoin. Si jamais vous avez des nouvelles acquisitions, des nouvelles compagnies, avec Genius, vous avez accès, vous pouvez créer une nouvelle compagnie, vous pouvez le faire par vous-même si jamais vous êtes autonome, par s’il a besoin d’aide aussi pour redéfinir les processus.

Si la compagnie est différente, vous voulez refaire plus une implantation, s’assurer que la base de données est bien montée, s’assurer que l’information est bien commencée, on peut vraiment vous aider pour vous accompagner là-dedans. Finalement, la prise de décision, souvent, quand on pense à nous, on pense plus à la fait de pouvoir les monter, monter ces indicateurs de performance, mais on peut aussi juste vous aider à définir ces indicateurs de performance. Vous avez des objectifs à faire, vous savez où est-ce que vous voulez vous en aller, vous ne savez pas par où commencer, vous ne savez pas où trouver la donnée, quel type de données qui pourraient être importantes. On est vraiment là pour vous accompagner, puis vous aider à définir les analytiques et les tablebards qui pourraient être pertinents pour vous pour comprendre vos données, puis vous amener plus loin avec l’utilisation du système, puis amener plus loin et vous aider dans le développement de l’entreprise. C’est ça les exemples de projets. On va les revoir tout à l’heure, plus en lien avec des types de subventions qui leur correspondent. Suite au projet de Vilnius, je vais vous parler un peu plus… En fait, ce ne sera pas moi qui vais vous parler.

On va parler des subventions, mais c’est Marc-Antoine et Pascal qui va rentrer dans le sujet Dans le fond, ce qui est important de savoir au niveau des programmes d’aide, c’est vraiment que les programmes sont liés à des enveloppes qui sont attribuées par le gouvernement à la début de chaque année, gouvernementale.

Les programmes ont chacun leurs objectifs, mais ils ont aussi surtout des montants. Et puis, lorsque ces montants-là sont… Une fois que les sommes sont toutes dispersées dans l’écosystème, que les entreprises ont toutes pris ce qui était disponible, les programmes ferment et souvent, il n’y a pas de prix à vie. Pour ceux qui étaient dans le processus du Pécan, ou même des soeurs qui a été fermé plus tôt cette année. Souvent, c’est aujourd’hui, c’est ouvert, demain, c’est fermé, puis il n’y a pas eu d’annonce que trois semaines avant de dire que ça allait fermer. C’est vraiment juste que tu appelles et puis on te répond que malheureusement, il n’y a plus d’argent. La meilleure façon de se protéger contre ça, il y en a deux. Soit dès qu’on a un projet en tête, on prend action maintenant, on se met à rencontrer les conseils des différents programmes qu’on veut utiliser, ou bien on se prédéveloppe un peu une série de projets qu’on souhaite réaliser éventuellement. Et lorsqu’un programme ouvre, on regarde est-ce que le programme pourrait aider n’importe quel des projets qu’on a et on dépose tout de suite. C’est vraiment les deux façons de s’assurer qu’on manque le moins d’opportunités possible au niveau du finance en public.

Au niveau de la stratégie, idéalement, il faut être un peu plus structuré que de simplement googler: Subvention IRP 2024. La meilleure façon, c’est vraiment de structurer selon les différents critères ou les différentes qualités de son entreprise ou de son projet, les différents aides qui vont être disponibles. Donc, on peut parler au niveau de la géographie, au niveau fédéral canadien, au niveau provincial, au niveau, là, dépendamment de où est-ce que les entreprises sont, que ce soit au niveau régional ou au niveau des villes, dépendamment de si le service de développement économique est intégré à la ville ou à la région. Au secteur de l’activité, il y a beaucoup d’organismes qui sont sectoriels dans l’alimentaire, dans dans d’autres aussi. La portée du projet, est-ce qu’on est dans la productivité? Est-ce qu’on est dans une aide à faire croître les exportations? Est-ce qu’on est dans un projet d’innovation? On entend beaucoup parler d’innovation, il y a beaucoup d’aide par rapport à ça. Ou même selon les profils de la haute direction. Est-ce qu’on est des gens issus de l’immigration, des jeunes, des femmes, des minorités? Bref, tout ça peut faire que l’entreprise et/ou son projet va se qualifier ou pas à différents programmes de financement.

Donc, la meilleure de partir sa recherche et de rechercher des programmes fédéraux. Ok, parfait, j’ai trouvé différents programmes. On répète: au provincial, au régional, au municipal, dans le secteur de l’activité. Bref, on prend tous nos différents axes, on fait des recherches orientées là-dedans. Sinon, on va tomber dans des trucs plus génériques. On n’arrivera pas à optimiser un peu toute la grille disponible. Un peu pour imager ce que je viens de mentionner. Vraiment, tu as le côté géographie qui est comme son propre axe. Tu as un relax sectoriel, tu as un relax d’innovation, tu as un relax de tout profil. Il n’est pas mentionnés à la slide d’avant, mais aussi toutes les aides par rapport aux mesures fiscales qui sont là aussi, qui peuvent faire partie du montage. Puis eux, ils vont être un peu dans la même idée que les programmes d’aide. Donc, tu auras des congés de taxes fédéraux au niveau du provincial, tu auras des programmes d’innovation au niveau de l’impôt. Bref, tout ça est un peu à deux niveaux, niveau subvention et le niveau fiscal. Au niveau de la formation, le programme principal, c’est vraiment le M4 de Service Québec. On parle de 50% d’aide sur les dépenses admissibles.

Dépenses admissibles, souvent, ça va être les coûts de la personne qui va donner la formation et le salaire des personnes qui vont la suivre. Et puis on parle d’entreprises de moins de 100 employés. On est vraiment dans un aide vers les PME. Et puis, par contre, ce qu’il faut savoir pour le M4, c’est qu’il y a des plans de cours à fournir. Donc, pour tous les programmes, il y a toujours la documentation de support à donner. Dans le cas du M4, c’est vraiment le plan de formation ou le plan de cours, je voudrais dire. Niveau de Revenu Québec, j’en parlais juste avant, les crédits fiscaux. On peut aller chercher un 30% l’aide sur les frais de formation ou le temps de formation, dépendamment comment on structure un peu ces coûts-là pour cette formation. On parle encore une fois de temps éternel, de salaire de formateur et tout ça. Les formations doivent par contre être offertes par un établissement d’enseignement reconnu. Souvent, ça va être de la formation continue qui est offerte dans différents cégep, universités et autres. Et puis, un chiffre d’affaires maximal de sept millions, on est encore dans la petite entreprise. Les programmes veulent vraiment aider souvent les plus petits que les plus gros.

Il y en a pour les plus gros, on va en parler plus tard, mais ça ressemble à ça. Et puis, au niveau du stick, on a le programme podium qui va venir avoir à peu près 60% d’aide sur, entre autres, la formation, mais aussi d’autres choses. Il faut savoir que ce n’est pas parce qu’on veut une subvention pour un projet quelconque qu’il y a nécessairement un programme qui ne va répondre qu’à ça. Des fois, il va y avoir des plus qui viennent avec. Dans le cas du stick, souvent, ça va être une évaluation du positionnement numérique de l’entreprise des recommandations technologiques et puis finalement, une aide à la formation par rapport aux technologies qui vont avoir été identifiées. Il faut savoir un peu où est-ce qu’on s’en va dans le cadre de ce programme-là.

Merci, McAnton. Juste une petite information. Le reste de la présentation, on va rentrer plus dans les détails de les subventions, mais vraiment en lien avec les projets que j’ai mentionnés plus tôt. On est vraiment dans la section Formation et mise à niveau. Ensuite, on va changer pour les projets que j’ai mentionnés mentionnés au préalable.

Les programmes, parfois, sont normalement rouvrent au début de l’année gouvernementale, donc à la fin avril. Ça arrive que pour des raisons internes, il y a des délais. Donc, le programme Innovation a fermé il y a quelques semaines, à la fin du mois d’avril. On s’attend à ce qu’il rouve à un moment donné, on n’a pas de date, mais lorsqu’on parle d’amélioration de fonctionnalité du système, on peut aller chercher 50% d’aide. Aussi dans les modalités de ce programme-là, mais qui vont dans d’autres programmes, tu as des programmes qui veulent des projets collaboratifs. Donc, plusieurs entreprises qui vont travailler ensemble vers un seul objectif. Puis le total d’aide va être plus gros si on aide plus qu’une entreprise. Il faut comprendre les dans le fond, veulent des projets plus structurants qui vont amener plus d’argent sur leur territoire, si on veut. Donc, lorsqu’on implique plus d’entreprises, souvent, il y a plus d’aide disponible. Je vais mentionner, moi, Marc-Antoine, ici, tu viens de me dire: Il y a des programmes qui vont vous aider de la collaboration. C’est C’est quoi l’esprit du programme? Avant de dire: Est-ce qu’il y a des sous disponibles pour faire mon projet?

Il y a une adéquation entre l’objectif du programme, comment il fonctionne et le projet qu’on veut faire. Tant qu’à nous, la façon de le voir, c’est: Il ne faut pas essayer de transformer un projet pour fitter dans un programme. Il faut aller chercher les programmes qui vont vraiment répondre aux besoins qu’on a actuellement. L’esprit du programme, pourquoi il a été développé pour répondre à un besoin dans le secteur industriel, manufacturier, peu importe, est hyper important. Exact. Au niveau du MAPA, encore une fois, moins dans le domaine, mais ça donne une idée des sectoriels, qu’est-ce qu’ils peuvent offrir. Lorsqu’on rajoute des fonctionnalités pour atteindre des objectifs de domaine, dans le cas de l’alimentaire, c’est la qualité de la traçabilité, mais il y en a d’autres dans d’autres domaines aussi. Souvent, il y a de l’aide qui est disponible dans le cas du MAPAC. La raison pourquoi je l’ai mis, c’est que c’est une autre modalité qui revient parfois. Il y a des programmes qui vont être par établissement. Donc, selon le nombre d’adresses que tu as pour ton entreprise, l’aide va aller en fonction de. Ce n’est pas le seul programme qui fonctionnent comme ça. Et puis, au niveau du Paris CNRC, on est plus dans l’innovation, je le disais tantôt, il faut vraiment segmenter la recherche.

Mais donc les projets Paris du CNRC peuvent rembourser des très gros montants, 80 pour cent des dépenses de salaire jusqu’à 500 000, 50 pour cent de tout ça, c’est sous-traité par contre. Sauf que ce qu’il faut savoir, c’est que plus l’argent est important dans un programme, plus les requis en termes de documentation, de support, d’études de marché, de tout ça, deviennent plus C’est important. Si le gouvernement, pour mettre 500 000 dans votre entreprise, il veut savoir qu’est-ce qui va en retourner. Donc, pour le CNRC, mais c’est vrai pour d’autres aussi, il faut avoir une bonne relation avec son CTI, son conseiller en technologie industrielle, qui sont les agents du CNRC qui font l’évaluation des projets. Et puis, il faut arriver équipé avec beaucoup de documentation du support pour dire: On veut faire tel projet, les retombées qu’on attend. Puis voilà comment ça va nous aider à être plus productif et tout. Je vais te Au niveau de la personnalisation et du développement spécifique. Donc, ville de Québec, encore une fois dans le peu plus nicheé, on est de la géographie, mais 50 pour cent d’aide concurrence de 25 000. Tout ce qui est honoraires, professionnels, on peut en jaser.

La raison pourquoi je l’ai mis, c’est qu’il y a beaucoup de programmes qui ont des limites qui ne sont pas écrits sur le site Web. Donc, il y en a qui vous allez aller sur le site, puis ils vont dire: Parfait, on a une aide financière de C’est le cas de la ville. Dans les critères, ça va être écrit minimum, maximum d’employés. Ça, c’est assez standard. Souvent, ils veulent aider les PME, mais ils ne veulent pas aider la grande entreprise ou la microentreprise. Mais ce qui ne sera pas écrit, c’est qu’à l’interne, par exemple, lorsqu’ils considèrent les demandes, à l’interne, ils savent qu’on cherche vraiment à être une entreprise entre tant de millions, puis tant de millions et tant de millions de chiffre d’affaires. Mais on ne le dira pas parce que s’il y a un projet intéressant qui est en dehors de notre fourchette standard, on le prendrait quand même. Donc, il faut quand même savoir que ce n’est pas parce que ce n’est pas écrit sur le site, qu’il n’y a pas des critères que le bailleur de fonds va considérer dans son analyse. Mi-taxe, une des choses qui peut revenir aussi, c’est que oui, il y a de l’aide aux honoraires professionnels, comme ce que la ville de Québec que je présentais.

Mais il y a aussi des façons de faire du développement à l’interne ou supporter un développement avec un consultant par quelqu’un à l’interne. Donc, j’ai mis là, MiTax, qui dans le fond, c’est des étudiants à la maîtrise ou à son objectif supérieur, qui peuvent avec des projets plus spécifiques, avec des besoins plus nichés peut-être que c’est difficile de le faire avec un logiciel vané, tu peux avoir de l’aide pour supporter un salaire de quelqu’un qui va le développer à l’interne. Donc, ce n’est pas une subvention directe pour dire: Je vais prendre un consultant, mais c’est quand même une aide financière pour atteindre un objectif de projet. Aussi, je pense que tout le monde doit travailler avec ou tout le monde aura entendu parler des crédits d’impôt RSDE. Donc, on peut acheter 30% d’aide si on faisait du développement pour un logiciel ou une fonctionnalité qui est plus spécifique à l’entreprise, qu’il y a peut-être du risque dedans. C’est plus compliqué, on n’est pas dans ce qui est vanille. Par contre, ce qu’il faut savoir pour les crédits d’impôt à RSDE, c’est qu’il y a beaucoup de documentation et de pièces justificatives à générer et à conserver.

Ceux qui ont été audités le savent que c’est un parcours. Par contre, 30 pour cent d’aide jusqu’à 3 millions de dépenses admissibles, il y a effectivement beaucoup d’argent à aller chercher là. Ça dépend vraiment de qu’est-ce qu’on cherche à faire. Intégration avec d’autres systèmes. On voudrait connecter notre système avec d’autres logiciels ou des machines, dépendamment de ce qu’on veut Prompt, CPAM, il y a deux volets. Il y a un volet cahier de charges technologique, que c’est plus de scoper un projet, que je pense que 10 000 pièces d’aide de ce côté-là. Mais il y a aussi le côté développement de logiciels de ponts logiciels qui peuvent être faits. On parle de 30 pour cent d’aide jusqu’à 200 000 pour les PME, 50 pour cent jusqu’à 500 000 pour les grandes entreprises. Prompt, c’est un des rares programmes qui s’adresse vraiment plus à la grosse entreprise, mais quand même, Il y a des aides intéressantes de ce côté-là. Réseaux transables, pour ceux qui ne les connaissent pas, dans le fond, il y a deux programmes. Il y a le petit programme, puis il y a le gros programme. Là, je pense que c’est Concerne 4. 0, puis la le locomotive numérique.

Concerne 4. 0, il est ouvert présentement, il n’est pas sur la slide, mais on parle de 20% d’aides, jusqu’à, je pense, c’est 6 000 quelque chose d’un dollar, qu’on peut aller chercher de ce côté-là, pour le développement de ponts. Le programme est présentement ouvert. Le programme qui est présentement fermé, mais qui est beaucoup plus intéressant au niveau financier, c’est le programme locomotive numérique, honoraires professionnels, acquisition de logiciels, développement de ponts, formation. 46. 3, c’est le seul programme qui est comme précis comme ça dans son montant d’aide. Je ne sais pas pourquoi c’est le même, mais ça arrive. Puis, je fais 400 000 d’aide. Quand je parlais d’enveloppe, plus tôt, Transage, c’est un bon exemple. Le programme a été ouvert la dernière fois, je pense en fin 2022. Ils l’ont ouvert, puis en trois semaines, l’argent était dépensé, c’était fini, c’était fermé. Donc, c’est le genre de programme pour lequel tu attends avec une dépense planifiée. Puis dès que ça rouvre, tu te garoches, tu y vas, puis tu vas chercher ton argent si on veut. Adrien, Avec Transnum, Transnum est un programme qui est assez versatile, qui peut faire beaucoup de choses, entre autres études de faisabilité pour des points, des logiciels.

Des fois, on n’est pas sûr si on a les bons API, les bons connecteurs pour le faire, évaluer des alternatives ou même faire l’amélioration de système. On parle de 50% d’aide sur 25 000 de dépenses. Fait un peu ce que monsieur Laderick vient de démontrer, c’est qu’il y a des programmes que c’est des montants fermés. C’est tant d’aide sur tant de dépenses, ce n’est pas un pourcentage, ce n’est pas rien d’autre. C’est vraiment, il faut que tu engages tant de dépenses pour votre donner tant d’aide. Ça arrive dans les programmes, il faut le garder en considération. Un point important sur transnum, la mission de la DRIC puis de le customer, c’est d’accélérer les projets. Il faut qu’il y ait eu, par exemple, un plan numérique avant. Ça ne couvre pas faire un plan numérique. Ça va couvrir la liste que Marc-Antoine nous a présentée. Quand même beaucoup d’autres types de projets d’amélioration à travers un réseau de consultants qui est fermé, qui est des consultants de D’accord. C’est-à-dire qu’on a toujours Adric à créditer, donc il y a un réseau. Il va toujours y avoir deux consultants qui doivent être impliqués dans un projet pour qu’il y ait un côté multi-expertises dans ces projets-là.

Merci. Parfait. Nouvelle compagnie d’acquisition, Investissement Québec, Essor, volet 1C. C’est comme le programme immanquable. Il est présentement fermé, mais c’est souvent par là que les entreprises vont passer. Donc, entreprises secteurs secondaires et tertiaires ne font pas de secteur secondaire et tertiaire, ils ne feront pas de C’est un primaire. 50% d’aide jusqu’à Essor, c’est un bon exemple, des programmes qui changent beaucoup dans le temps. On a eu beaucoup de révisions dans les derniers mois, dernières années de la part d’Essor, que c’était 50 pour cent, puis là c’était 30 pour cent, mais plus certains pourcentages selon certains critères, moins certains pourcentages selon d’autres. Donc, ça arrive des fois des programmes, juste savoir combien d’argent il faut pouvoir avoir, c’est plus complexe. Aussi Essor, les montants ont changé. Avant, on parlait de 100 000, maintenant, on parle de 50 000 pour de l’implantation de logiciels, pour de l’honoraires professionnels. Et puis eux, ils ont un critère. Ils ont un critère vraiment au niveau de la temporalité du projet. On veut que les dépenses soient faites dans la prochaine année. Sinon, il y a des programmes, c’est, il y a des programmes que c’est moins long, ça dépend vraiment.

C’est une modalité qu’on voit souvent dans les différents programmes. Revenu Québec, crédit d’impôt pour l’investissement d’innovation, le C3i, comment il est connu. Je vais vraiment vous inviter à valider votre comptable parce que les critères viennent de à changer. Initialement ou dans le passé, le C3i s’appliquait principalement à l’achat d’ERP. J’achète une licence à frais fixes. Depuis la nouvelle révision, qui date justement de fin avril cette année, on comprend qu’il y a de l’ouverture pour rembourser des frais en mode SaaS. Par contre, il faut que le contrat ait un 24 mois… Je ne sais pas si c’est 24 mois et plus ou plus de 24 mois, mais bref, il faut qu’il y ait une certaine entente dans le temps pour s’assurer que l’entreprise ne va pas changer l’année prochaine. On veut de quoi d’un peu plus perdurant dans le temps. Et puis, ce qui est particulier aussi au C3i, c’est que le pourcentage d’aide va varier selon la vitalité économique des régions. Si vous êtes à Québec ou à Montréal ou dans les régions deux, ça risque d’être 15 pour cent. Par contre, si vous êtes plus en région, vous êtes en Gaspésie, vous êtes quelque part…

Bref, vous êtes quelque part où il y a moins d’entreprises, où il y a plus de besoins d’emplois, clairement, le gouvernement est plus là pour aider. On plus de 25% dans ces cas-là. Encore une fois, cette modalité-là change dans le temps. Ça a déjà été 10 puis 30. Ça change comment dans le temps. Il faut juste suivre puis déposer des projets pour voir où est-ce qu’on est rendus. Aussi, au niveau… J’ai aussi mis des programmes plus régionaux. Mrc de la Richelieu, comme quoi, il y a de l’argent à aller chercher là, puis ça vaut la peine de les contacter. La MRC de la Richelieu a vu qu’il y a beaucoup d’entreprises de son coin qui avaient besoin d’ERP, que c’est un frein à la croissance de plusieurs, de vivre dans Excel, de ne pas être capable de sortir l’information quand on veut. Donc, eux ont une indemne financière de 10 000 $. Par contre, on parle d’entreprises qui existent de plus de 24 mois. Ça n’aurait pas été un enjeu pour la majorité des gens ici, mais quand même, souvent, tu as des requis en termes de l’entreprise doit exister depuis tant ou moins le chiffre d’affaires ou un nombre d’employés, ça arrive souvent.

Finalement, au niveau de la décision, je suis allé plus AI parce qu’on l’entend beaucoup dans les nouvelles. Tout le monde en parle, tout le monde est bien excité par l’intelligence artificielle. Il y a plusieurs programmes qui peuvent subventionner le déploiement ou la conception de solutions basées sur l’AI. Entre autres, la Grappe Canadienne du Québec, Scale AI, qui est dans tout ce qui s’appelle chaîne d’approvisionnement, prévision de vente, de flux d’inventaire, un peu tout ça. 50 pour cent des dépenses, dépenses infinies. Par contre, ce qu’il faut savoir dans ces cas-là, c’est que lorsqu’on parle des programmes qui ont énormément d’argent sur la table, souvent, ils ramasseront pas des projets à 10, 15, 20 000. Ça va prendre des projets structurants parce que la grosseur d’enveloppe qu’ils ont, ils n’arriveraient pas à sortir tout l’argent qu’ils ont à coups de petits montants comme ça. Mais donc, si on a plusieurs entreprises, minimum deux dans ce cas-là, qui veulent faire un projet plus structurant, il y a des aides qui sont disponibles. Prompt, j’en parlais tantôt au niveau du SPEM, mais aussi, ils ont un programme de financement de l’IA. On ramenerait un processus de façon significative. Qu’est-ce que ça veut dire?

Parler avec les conseillers de prompt, il n’y a pas de bonne définition. C’est vraiment le relationnel que vous avez dit de ce côté-là. Mais donc 30% d’aide jusqu’à 350 000. Et puis, en terminant, IVA au label Invest AI, qui est présentement fermé. On ne sait pas si ça va rouvrir ou pas, mais ça donne une idée de ce que le programme était, de ce qui devrait revenir. Chifre d’affaires de moins d’un million. Encore une fois, on est dans la PME, puis on veut aider des projets Est-ce que vous avez des idées de solutions innovantes basées sur l’IA, maximum un million d’aide. J’ai vu qu’on avait une question. Non, answer déjà.

Oui, j’ai… En fait, c’est juste quelqu’un qui me demandait si on allait avoir accès à la présentation suite dans le webinaire. La réponse est oui, vous allez avoir aussi l’enregistrement. Donc oui, vous allez avoir accès suite à la rencontre. Parfait.

Timing et stratégie, j’en ai parlé. Les programmes ont des dates de renouvellement, donc idéalement autour du 1er avril, je suis pas sûr. Bref, autour des dates de renouvellement, on veut aller voir sur les sites des différents paliers de gouvernement au niveau des dans un organisme. Est-ce que les programmes sont reconduits? C’est quoi les nouveaux critères et tout? Par contre, ce n’est pas parce qu’il y a une date annoncée que ça va nécessairement être ça. Sr était censé être ouvert. Sr est ouvert, volet 2, volet 3, volet 4, mais le volet 1 qui est la la subvention n’est toujours pas ouvert parce que clairement, encore des choses à négocier à l’interne chez Investissement Québec. Comme vous, nous, on regarde ça quotidiennement pour voir qu’est-ce qui arrive de ce côté-là. Une chose intéressante à savoir, c’est que les programmes fonctionnent souvent, comme je disais, par renouvellement. Mais souvent, les demandes vont être comptabilisées par, on va dire, version du programme. Donc, Essor, là, il est refermé. La fois d’avant, il était ouvert entre 2022 puis 2024. Donc, une entreprise qui aurait déposé sur cette version-là du programme, dans le fond, ça compte… Normalement, pour la majorité des programmes, ça ne compte plus quand il y a un renouvellement.

Donc, une entreprise qui l’a déposée dans le passé, va pouvoir redéposer sur la nouvelle version du programme qui va juste durer un an. Puis, en assumant que le programme va être maintenu l’année prochaine sous une autre version, un autre nom, peu importe, techniquement, pourrait redéposer à ce moment-là. Donc, ça vaut la peine un peu de faire l’étude de c’est quoi les aides qu’on a eues dans le passé? Est-ce qu’on est capable d’aller rechercher de l’aide pour soit des phases subséquentes du même projet ou des nouveaux projets complètement, pour vraiment venir aller chercher le maximum d’argent possible. Pascal l’a mentionné, il faut s’assurer que les projets qu’on présente, répondent aux attentes des bailleurs de fonds. Les bailleurs de fonds veulent tous les attentes de développement économique, ils veulent tous amener de la nouvelle argent sur le territoire. Eux, c’est vraiment comment structurant que le projet est, qui va un peu les aider à déterminer si oui ou non, ils vont investir dans une entreprise ou une autre. Il faut savoir que surtout présentement, avec les taux d’intérêt qui sont hauts, qui commencent à descendre, mais qui sont quand même assez hauts, il y a beaucoup plus de demandes pour les programmes d’aide que lorsque le taux d’inflation était à zéro, grosso modo.

Pas l’inflation, mais les taux d’intérêt étaient à zéro. Donc, il faut s’assurer que votre demande va un peu faire ressortir votre entreprise l’entreprise de la pile. Si vous êtes entreprise numéro 325 qui veut faire un projet vané qui existe déjà, il y a moins de chances que votre projet soit intéressant que si on dit: Je veux acheter une machine, puis je vais mettre un pont en cette machine-là, puis mon logiciel, puis je vais valoriser mes données, puis je vais faire telle ou autre affaire. Plus c’est structurant, plus c’est intéressant, plus il y a des chances que vous ayez des retours intéressants de la part des différents bailleurs de fonds. C’est vraiment leur objectif à eux. Il faut savoir vendre son projet. Il faut savoir le présenter sous l’angle le plus attrayant, il faut savoir être capable de remplir un peu toutes les causes des différents programmes. Par contre, tout ça prend du temps. Développer des projets, développer la documentation, créer les liens avec les bailleurs de fonds, remplir les différentes demandes. Je n’ai pas encore parlé, mais souvent, pour le même projet, vous allez être capable d’aller voir plus d’un programme pour aller chercher le plus d’aide possible.

Il y a toujours des règles par rapport au maximum d’aide financière que, entre tous les programmes gouvernementaux, il faut aller chercher, mais tu peux aller chercher de l’argent d’investissement au Québec, de l’argent de développement économique Canada, puis de l’argent de la ville de Québec, mettons, dans le même montage. Tant qu’on respecte les règles de pourcentage, ça fonctionne. Par contre, pour faire ce genre de montage-là, il y a beaucoup de temps à investir, à présenter les projets, à monter la documentation et tout ça. Et c’est très, très long. Et Aussi, l’analyse des dossiers est très longue de la part des différents programmes. Si vous avez un projet qui a une rentabilité super évidente, je veux déployer un pont en tel logiciel, puis tel logiciel parce que j’ai deux employés qui, pratiquement, en temps plein, ils font juste copier l’information d’un à l’autre, ça me coûterait 20 000 le faire. Souvent, ça va être plus avantageux de juste dire: On y va, on laisse faire les aides financières, puis l’argent qu’on va perdre en subvention, si on veut, on va le regagner en productivité ou en satisfaction des employés ou en ce qu’on veut. Donc, ce n’est pas parce qu’il y a des programmes disponibles que c’est nécessairement tout le temps une bonne idée de se garrocher dessus.

Souvent, il y a même un ordre. Vous allez aller voir, comme je disais, le fédéral en premier. Vous allez attendre une réponse. Parfait, ils vont le répondre, ils ont répondu. Après ça, vous allez voir le provincial. Eux, ils vont faire leur analyse, ils vous reviennent. Après ça, le municipal. Ça peut prendre plusieurs mois entre le début puis la fin. Il faut savoir quand ça vaut la peine, puis quand on est peut-être mieux d’y aller chacun de son côté, puis de juste investir les fonds puis avancer. J’ai essayé de sortir plusieurs programmes plus locaux. Je sais que j’ai des gens un peu partout au Québec dans la salle aujourd’hui. C’est sûr, je n’ai pas réussi à couvrir tout le monde, mais quand même, il y a plusieurs des entités locales qui ont des subventions disponibles. Il y en a que les montants sont connus, il y en a que c’est discrétionnaire. Donc, il faut vraiment aller à la rencontre des conseillers d’entreprises, des différentes SADC ou MRC pour avoir les montants. Ce qui est important là-dedans de retenir, c’est que la meilleure façon d’aller chercher des aides, ce n’est pas nécessairement d’être sur Google toutes les semaines pour voir ce n’est pas les programmes qui sont ouverts, c’est de créer des liens avec les acteurs du développement économique ou les femmes privées qui ont de l’expertise là-dedans et qui eux vous tiennent au courant.

Vraiment, c’est là que vous allez être capable d’aller chercher le plus d’argent possible parce que c’est moins faisable si on veut, de toujours courir après toutes les aides lorsque c’est ponctuel comme besoin. En conclusion, parce qu’on arrive au bout de notre temps. Il y a de l’argent partout. En fait, il y a vraiment des programmes d’aide pour n’importe quel type de projet qu’on veut faire, n’importe quel type d’entreprise, n’importe quelle municipalité ou géographie. Il faut juste savoir où regarder. Par contre, à l’issue d’une subvention, il y a un échange qui se fait, un échange entre l’argent qu’on va aller chercher et le temps qu’on va passer à remplir tous les documents et les requis pour les bailleurs de fonds. Pour aller chercher le plus d’aide possible, c’est très, très rare qu’un seul l’organisme va couvrir tous les besoins. Souvent, ça va être un éventail de différents programmes qu’on va venir mettre un par-dessus l’autre pour atteindre les maximums d’aide alloués par les différents bailleurs de fonds. Et puis, finalement, comme je disais, de faire ce travail-là tout seul, ça se fait. Par contre, c’est rare que les entreprises vont avoir tous les contacts dans tous les organismes que les firmes qui travaillent tout le temps là-dedans ont.

Donc, c’est plus facile de se faire accompagner. L’autre chose aussi, c’est que les les bailleurs de fonds vont souvent avoir une préférence pour leur programme à l’interne. Donc, si vous allez voir, mettons, Investissement Québec, je donne l’exemple, parce que c’est souvent eux autres qui ressortent, pour Essor, mettons, parce que vous avez un projet de IRP qui a amélioré, implanté, peu importe. Si vous avez d’autres besoins, ils vont vous référer aux autres programmes d’IQ. Puis, ça se peut que les programmes soient bons pour vous, mais ça se peut qu’il y ait des programmes meilleurs qui soient à d’autres étages de gouvernement ou à d’autres dans d’autres endroits. Vu que ce n’est pas dans leurs indicateurs à eux de vous référer à l’externe, il va y avoir une claire préférence pour l’interne. Donc, si on veut vraiment aller chercher le plus d’aide possible, c’est toujours préférable de se faire accompagner par quelqu’un qui a un peu une vue plus globale, puis qui n’a pas nécessairement de redevance ou d’intérêt à référer un que l’autre. Un petit graphique pour vous montrer un peu que idéalement, un tiers neuf peut vous aider à aller chercher le plus d’aide possible.

Il n’y a peut-être pas autant d’argent que dans… Non, effectivement.

C’est décevant. Sur le dernier point, sur les indicateurs à atteindre.

Il faut se rappeler que les programmes d’aide financière, ça reste des systèmes en place avec les objectifs. Puis chacun a des objectifs aussi à aller atteindre à travers ces aides financières-là. Donc, Investissement Québec ont des objectifs à atteindre en mettant des subventions et des comptes à rendre derrière. Donc, évidemment, tout ça dans la machine. Le schéma du début, celui qui se rappelle avec les rectangles, les flèches, à quel point ça peut être complexe, c’est pour ça.

Est-ce qu’on avait des questions? Merci beaucoup. Oui, est-ce qu’il y avait des questions? Il y en avait une ici par rapport combien de temps ça prend normalement pour avoir une subvention?

Ça va vraiment dépendre. Il faut compter que c’est probablement plus en plusieurs semaines que quelques jours. Ça arrive des programmes qui sont très rapides. L’adrik, en d’autres. Programme transnum, c’est quelques jours qui sont approuvés. Normalement, lorsqu’on parle d’investissement à Québec, on parle de déc, on parle de la ville de Québec. Souvent, ça va passer par des conseils qui vont se réunir pour prendre une décision sur un paquet de dossiers. Compter, je vais dire, entre 8 et 12 semaines pour avoir une réponse. La chose importante de se souvenir, c’est que lorsqu’on dépose une demande sur un programme, on ne peut pas engager de dépenses sur ce projet-là sans quoi la demande devient non recevable. Donc, je reviens à mon exemple, je veux implanter un logiciel, développer un pont. Si je dis je vais déposer chez ICU, puis je vais commencer à développer en attendant, puis lorsque ce soit approuvé, je vais donner mes factures, le piège justificatif, je vais avoir mon remboursement, ça ne fonctionnera pas. Si les pièces justificatives sont datées avant l’approbation de la demande, ils ne prennent juste pas. La réponse courte, c’est entre trois jours puis trois mois. Exact.

Ça fait Merci. En passant, si jamais vous avez des questions, un petit rappel, c’est dans la section Q&A, vous pouvez écrire les questions. Sinon, par contre, si jamais vous préférez parler directement à la patientèle ou à ma compagne, voici leur d’informations. Donc courriel, téléphone, si vous voulez les contacter. Si vous voulez nous contacter nous pour de l’aide pour des projets aussi, ça va être au costumeux succès. Je vous laisse encore le temps si jamais vous avez des questions à pouvoir nous Sinon, petite information pour les prochains webinaire. On a le webinaire sur la version 16 qui est sorti. Ça va être le 20 juin, donc c’est le prochainemain. Ensuite, on a aussi le forum de discussion, la voix pour les clients, pour ceux qui ont déjà participé, pour venir parler de vos commentaires, vos questionnements, etc. En lien avec l’interface de planification web. Ça, ça va être donné le 27 juin. Je vous laisse encore un petit peu de temps pour s’il y a des questions. On a posé la question pour le temps. Il y a peut-être posé aussi la même question par rapport à en moyenne. Je sais qu’on a vu quand même beaucoup les montants qu’on pouvait recevoir, mais s’il y a peut-être une moyenne générale du montant qu’on peut recevoir avec les subventions, je ne sais pas si vous avez cette information.

Celle-là, je vais répondre à haut niveau, parce que c’est très difficile. Tu as des très petites subventions. Il y a des 500, des 1 000 $ disponibles pour des tout petits projets de démarrage. Puis il y a des 250 000 et plus des projets de gros investissement dans l’AI où ça coûte centaines de milliers de dollars. Donc, ça dépend vraiment de la taille du projet. Mais typiquement, règle du pouce, c’est rare que les subventions vont être au-delà de 50%. Si on a vu du 46,3. Quand on va combiner, on peut aller jusqu’à 80% de la taille d’un projet. Puis, il y en a eu que c’est moins que ça aussi. Mais là, c’est vraiment une question où la réponse est hyper variable. Vous ajoutez Marc-Antoine? Non, c’est ça. En fait, une des choses qui est aussi à garder en tête, c’est que souvent, il y a des programmes de subventions qui vont venir rattacher avec un prêt. Il y a des MRC, parce que souvent, c’est comme ça qu’ils vont se financer. Pour avoir ta subvention de 5 000 pièces, mettons, de ta MRC, de ta SADC, peu importe, il faut que tu prennes un prêt d’un montage 5 à 10 fois supérieur.

Il y a de ça à calculer aussi parce que ce prêt-là, qui va être avantagé au niveau des intérêts, va compter dans le calcul du fameux 80% d’aide. Donc, c’est difficile à dire comme ça combien, Mais c’est ça. Dans un projet moyen structurant, je vais dire un 20, 25, 30, 35% peut-être, parce qu’il va y avoir une partie prêt aussi qui va venir des différents programmes.

Parfait, super. Merci beaucoup, Marc-Antoine. Merci beaucoup Pascal. Ça va être la fin de notre webinaire. Encore une fois, si jamais vous avez des questions, vous les parlez directement. Vous avez les informations ici à l’écran. Sur ça, je vous passe une superbe journée. Merci encore.