Le CAD2BOM dans un environnement ETO

Bienvenue tout le monde. À ceux qui sont récurrents, merci. Et au nouveau, bienvenue. C’est un nouveau webinaire de genius, nouveau, mais récurrent, je vous dirais. C’est un des différenciateurs qu’on a chez genius, le CAD to BOM, donc l’intégration avec les engins de dessin et d’ingénierie. Oui, le sujet, la conception d’ingénierie 3D avec avec GeniusERP, c’est quoi les bénéfices d’une intégration? Pourquoi on l’utilise? Vous êtes à la bonne place. Mon nom, c’est François Doyon. Vous voyez peut-être Frank. Je fais beaucoup de démo en français aussi, fait que les gens m’appellent Frank en anglais. Je m’appelle François. Je vais être avec vous aujourd’hui. Ça fait presque huit ans que je suis avec genius. J’ai occupé plusieurs postes. Tout à fait la personne à répondre à vos questions, si vous en avez, n’hésitez surtout pas à les écrire. On va s’assurer de répondre à tout le monde. Si ce n’est pas pendant la session, ce sera après. Donc, passons aux choses sérieuses. Donc, le menu ou l’agenda pour aujourd’hui. On va faire une petite introduction à Genius.

Je vois qu’il y a quelques personnes récurrentes, ce qui fait que ça ne devrait pas prendre trop de temps. C’est quelque chose de deux minutes à peu près. On parle un peu de c’est qui Genius? Qu’est-ce qu’on amène à la table. Avec Genius ERP. Après ça, on va parler de c’est quoi le CAB to BOM? Pourquoi on voudrait l’utiliser? Puis après ça, on va aussi parler de tout un aspect technique, des gens qui ont des longs projets techniques, où est-ce qu’on fait du design, de la conception en plusieurs jours, voire semaines, voire mois, et que ça nous laisse parfois peu de temps pour la production ou même que les gens doivent arriver en même temps. Donc, on va retrouver des avantages, évidemment, avec notre intégration au cadre. Donc, on va vouloir en parler un petit peu, vous vous focusser sur ce genre de sujets-là vers la fin aussi. Et bien sûr, une section de questions. On prend vraiment le temps de répondre à toutes vos questions, mais sinon, comme je l’ai dit, on va prendre en note vos questions et vous revenir. Donc, soyez sûr de bien les écrire et les documenter dans la section de questions.

Ok, on se lance. Donc, un peu d’historique, c’est qui nous sommes chez Genius. Oui, notre marché, c’est le Nord-Amérique. Ça fait 30 ans qu’on agit avec les manufacturiers. Au début comme consultant, puis maintenant plus, évidemment, maintenant, depuis Depuis des années, le plus gros historique est comme fournisseur de logiciels avec le Genius ERP. On a des centaines d’employés, plus de 100 employés depuis au moins trois ans. On a des dizaines de milliers d’utilisateurs. Le chiffre qui me tient à cœur ici: de 15 à 16 pour cent de rétention. Les gens qui viennent avec nous restent avec nous, on écoute nos clients, on est fiers de nos clients, on est fiers de ce qu’on fait. Donc, ça paraît le taux de rétention de clientèle qu’on a. 25 pour cent de croissance. Je vais faire un petit peu attention, c’est vraiment 23, quelque chose, ou 24 cette année. Avec la Covid, on était chanceux, on est tout le temps restés au haut des 20 pour cent. Ça fait plus de cinq ans que je vois ce chiffre-là sur les slides qui se confirment à chaque année. Donc ça donne quand même une idée de la grandeur avec genius.

Bon, on va se vanter un petit peu. On est là pour ça un petit peu. Je pense qu’il y a beaucoup de nouvelles personnes qui nous connaissent pas, qui participent aujourd’hui. Merci d’ailleurs de vous joindre à nous. Et vous voyez ici qu’il y a plusieurs sites qui aident les gens à se trouver un logiciel ERP, nous reconnaissent. Et un populaire, la charte de Gartner, où est-ce qu’on se situe très, très bien côté satisfaction client et couverture du logiciel. On compétitionne très bien contre des gros joueurs ici. Vous pouvez voir ça sur ces différents sites-là. Mon clavier ne fonctionne pas. Ça va bien aller. Ok. Qu’est-ce qui nous rend unique? Qu’est-ce qui nous différencie de notre ERP? Si vous êtes à la table, probablement que vous peut-être regardez des différentes solutions qui pourraient vous aider. Si c’est le cas, on est vraiment à l’échelle manufacturier. On accompagne des gens qui fabriquent des composantes, des équipements. Et pour faire ça, évidemment, on va avoir le RP complet. On va passer du devis de l’estimation d’ingénierie et puis le radicale toubam, jusqu’à l’encaissement. Donc, évidemment, on va aussi avoir une portion qui est très forte. D’ailleurs, c’est le sujet de notre prochain webinaire en octobre, qui parle de la planification intelligente.

Donc on va amener toute la théorie des contraintes, ce qu’on appelle le DBR, je ne connais pas la tradition, drum, buffer, rope. Beaucoup de concepts par rapport à la planification, planification globale, replanification aux priorités. On a beaucoup de choses qui ont été améliorées dans le genius, comme si ça ne fait pas longtemps, mais ça fait quatre, cinq ans de tout ça, depuis qu’on roule notre notre boss avec ça. L’intelligence d’affaires, évidemment, on a amené des tableaux de bord, on en avait déjà beaucoup. Étant sur une base SQL, c’est très simple d’aller chercher l’information, mais on a amené des nouveaux outils. Bientôt, il y avoir des petites vidéos qui vont sortir par rapport à ça, nos analytiques. Et vous verrez qu’on a encore pu faciliter l’approche ou rendu accessible des choses, même remote, même à distance, pour avoir des tableaux de bord, de l’intelligence à faire, des indicateurs. Notre couverture fonctionnelle. Ici, il y a plusieurs choses, mais encore une fois, c’est pour vous dire que tout est dans le genius. On a une belle offre qui est complète, qui va se couvrir justement du devis jusqu’à l’encaissement. Là, je vais aller un petit peu plus loin, parce que dans les deux ou trois dernières années, on a ajouté des choses comme le service terrain.

Des portails pour… Ça dit distributeur, ici, moi, je suis plus ou moins d’accord. Portail client, même portail pour un de vos représentants, peut-être, qui voudra se connecter à distance, avoir de l’information, faire des nouvelles demandes, suivre ses commandes, ces choses-là. Donc, contrôle qualité, Et tout récemment, notre version 14 a inclus aussi une approche shop floor qui est très accessible à travers une interface Web. Les gens peuvent se prenait que leur tablette est toujours connectés dans la shop, faire leur transaction. Donc, on a beaucoup de nouveauté toujours chez Genius et beaucoup de nouvelles fonctionnalités pour couvrir tous les besoins de nos clients. Peut-être un petit mot pour dire comment vous pouvez installer Genius. Pour ceux qui sont peut-être pas au courant, lorsque vous pouvez acheter Genius, vous pouvez aussi louer Genius et l’installer sur un de vos serveurs, que ce soit chez vous, ce qu’on appelle une prémisse, sur site, ou qui soit… Mon Dieu, c’est quoi? Hosté en français, qui soit hébergé sur le nuage. Et on offre aussi une d’hospitalisation d’un projet d’instruction de hosting d’hébergement où est-ce que nous, on gère votre plateforme et vous vous connectez pour utiliser Genius. C’est toutes des offres qu’on peut très bien faire chez Genius pour le déploiement de la solution.

Depuis la pandémie ou depuis peu avant, on ne peut pas compte-tête de 20, puis qu’on était de 20 et qu’on le savait, mais on a fait une plateforme d’apprentissage en ligne. Elle n’était pas du tout ce qu’elle est aujourd’hui, il y a trois ans, pour ceux qui l’ont expérimenté ou deux ans, à peu près. Et c’est une panoplie de vidéos en ligne, mais pas seulement des vidéos, c’est plus complexe que ça. Donc, vous pouvez vous faire un chemin d’apprentissage. Vous avez des gens qui changent de rôle, vous avez des gens qui quittent, vous voulez réapprendre le système, peut-être améliorer votre utilisation, découvrir s’il n’y a pas des nouvelles choses que vous pourriez faire ce système, c’est définitivement la place à aller avec Génieus. C’est une plateforme en ligne. Vous pouvez chercher des sujets, comme je vous dis, vous faire un parcours d’apprentissage. Et il ne faut pas oublier aussi qu’à partir de tout ça, c’est Adopt, vous pouvez aller chercher vous-même du matériel, que ce soit écrit ou vidéo. On a toujours des transcripts, aussi des vidéos qui vous permettent de soit lire ou écouter à votre préférence. Et on va aussi retrouver des cantines ou des sessions demandées à l’expert.

Je ne sais pas comment on l’a appelé dans le passé. Ici, on voit un petit exemple, mon collègue Sylvain qui était avec quatre clients différents dont on a rendu anonyme en mettant à la place de Dominique Vésina notre VP. Et ici, c’est un exemple de session où est-ce qu’on était en ligne et soit Sylvain ou encore le client partage son écran, pose des questions, On a trois sessions d’une heure comme ça par semaine. Lorsque vous êtes sur la plateforme, vous pouvez venir demander vos questions. Je ne sais plus comment faire ça. Quelqu’un a quitté, on faisait cette transaction-là. Comment je la corrige? Comment? C’est tout à fait une fenêtre, un forum de discussion. Et souvent, les clients entament des discussions entre eux aussi, guidés par notre expert dans cette session-là. Ça, c’est tout à fait disponible pour vous. Je vois qu’il y a des clients existants sur la ligne aussi. C’est tout à fait à votre disponibilité. Partons dans notre sujet. J’avais dit deux minutes, ça m’a pris plus cinq de s’en porter. Jeanne Le mieux, je pense que ça paraît. C’est quoi le CAD 2 BOM? Pour commencer, on va définir c’est quoi? Après, on va voir pourquoi on l’utiliserait.

Premièrement, le CAD 2 BOM, ça le dit dans le nom. Cad 2 BOM, en anglais, par contre, le CAD, c’est un logiciel de dessin. Dans ce cas-ci, nous, on va parler de… C’est Computer Assisted Design. En français, je pense que c’est… Je ne ferai pas le français pour ça. Dans le fond, nous, ce qu’on couvre ici, c’est SolidWorks Inventor 3D Mecanic. On va aller avoir un plugin dans ces engins-là qui va nous permettre d’amener l’information, donc Cal to BOM, au BOM qu’il y a dans le genius. Et attention, BOM ici, oui, je pèse mes mots, Bill of Manufacturing, donc nomenclature de fabrication. Souvent BOM, les gens vont dire c’est un bill de matières Bill of Material. Dans le genius, on va un petit peu plus loin parce que ça couvre la matière, les opérations, la sous-traitance, les services externes. Donc, tout ça peut être amené à travers cette intégration-là. Et oui, je pèse mes mots, s’il y en a déjà des utilisateurs de Cap2Bom parmi vous, la sous-traitance a vraiment fait une intégration complète à notre logiciel dans les dernières versions. Qu’est-ce qu’on couvre aussi qui est important à dire, c’est que ce n’est pas unidirectionnel.

Ça revient aussi vers le logiciel. Le dessin. Donc ça nous permet, s’il y a des choses qui ont été mis à jour dans le genius ou dans le RP, de ramener l’information aussi vers le dessin. On en parle un petit peu plus en profondeur dans Paris. Qu’est-ce qu’on couvre aujourd’hui? On a un partnership, évidemment, et notre plugin est à l’intérieur comme on disait, de l’outil StartedWorks ou de l’outil Inventor. C’est vraiment ceux qu’on cible par notre plugin et c’est ceux qu’on couvre. On tombe dans le pourquoi. Qu’est-ce qui ferait que vous pourriez être intéressé et que vous auriez un bon un bon candidat à utiliser SolidWork? Je vois des bonnes questions qui rentrent. Continuez à les écrire. Tantôt, j’ai une session de questions et réponses. On pourra en parler tantôt, Fabienne. C’est bien noté. Merci de l’utiliser. Ici, qu’est-ce qui fait que j’utiliserais ou que je serais un bon candidat à utiliser l’intégration de CanDuba? Premièrement, on va amener l’information, parce que tout le monde s’y attendait, de ne pas avoir à retaper l’information dans le ERP. Combien d’entre vous vont exporter, donner de l’espace à quelqu’un ou un ingénieur qui se retourne, qui va dans le système actuel, que ce soit un Excel, un système de gestion manufacturière, peu importe ce que vous avez, qui va retaper l’information.

Aujourd’hui, nous, c’est le contraire. Quand le dessin est fait, on part le plugin, on clique sur un bouton et l’information s’en va directement dans le ERP sans avoir ce retapage-là, cette administration-là. On peut avoir d’autres raisons comme peut-être ramasser souvent des duplications de composants. C’est sûr que l’outil, c’est un outil de synchronisation. Si vous essayez de pousser des choses qui sont différentes de ce qu’il y a dans le système, il va vous le dire. Ou qu’il y a quelque chose qui existe déjà, mais vous poussez peut-être une arborescence différente. Donc, tout ça va faire partie du plugin de CAD to BOM, qui va vous permettre de monitorer si vous qui est en train de modifier quelque chose ou de pousser quelque chose qui existe déjà. Les piles de papier, on peut aider avec ça tout à fait, parce qu’au travers de cette synchronisation-là… Je ne sais pas si ça vous arrive, des fois, on a des ingénieurs qui impriment une pile de dessins, qui passe le paquet de dessins à quelqu’un à la production, qui veut mettre ça en production, mais là, qui doit rapatrier les documents, les fiches Weavers ou les work orders, les bons de travail.

Remettre ça avec les paquets de dessins, après ça, de donner ça. Et sans rire, j’ai interviewé moi-même une compagnie qui avait une salle grande comme ma chambre, probablement, où est-ce qu’il y avait des murs de filières et de papiers que c’était seulement pour la production de la semaine et de ramasser tous ces papiers-là. Ça peut devenir assez impressionnant, je peux vous le dire. Dans notre intégration, on a des solutions à proposer pour ça. On en repart tantôt, on a évidemment des liens directs dans les dessins. Il y a des outils sur le plancher qui permettent d’ouvrir les dessins directement de l’outil. Donc, à ce moment-là, oui, on aurait une solution qui pourrait permettre d’aller complètement Le terme c’est paperless, on met ça en papier. Bon, moi j’aime cette petite image-là, ça me fait penser à ça. Oui, j’ai des jeunes enfants. Donc on voit ici qu’on se retrouve avec souvent des versions différentes. Soit qu’on se ramasse avec deux papiers sur le plancher de production C’est quoi la différence? C’est quoi la bonne version? Ou on a déjà mis celle-là? C’est une ancienne? Je suis en production sur ces deux-là. Nos deux jobs sont tous pareils.

Qu’est-ce qui a changé? Quelle version on gère en ce moment? C’est sûr qu’à travers l’intégration, on va être capable de pousser au bons endroits l’information, mettre à jour les bons documents et aussi de gérer des numéros de version au niveau de révision. Au côté aussi, et là, ça pousse un petit peu la donne vers le sujet de l’ingénierie complexe, ceux qui ont beaucoup de conceptions qui s’étire sur un long moment. Souvent, on va se retrouver avec du design qui est simultané avec la production. J’ai donné 10 semaines de livraison à mon client. Mon ingénieur en prend toujours huit, puis je cours après ma queue les deux dernières semaines. Si ça sonne familier, là, on peut peut-être vous aider. Parce que l’outil ou la façon que le genius fonctionne, on va pousser dans une ingénierie où est-ce que je fais de la gestion de versions et de relâche. Je vais être capable de synchroniser la nouvelle information et de décider quelle portion je pousse en production, même si ma job, mon travail est déjà commencé. Ça, c’est un très gros différenciateur. En tout cas, moi, je travaille avec d’autres RP, là, dans le passé, puis ces RP-là, dès qu’on commence à mettre des coups, à puncher du temps, à rentrer des consommations, par exemple, sur une job, qui est souvent bloquée, qui ne peut plus la changer.

Mais dans le business, au contraire, on est habitué, nos clients font souvent des changements d’ingénierie, poussent des nouvelles portions de dessins. C’est tout à fait quelque chose qu’on veut pouvoir adresser avec notre façon de fonctionner dans le business. Et là, on parle dans le sens inverse, qu’est-ce qui peut arriver? Pourquoi je voudrais ramener de l’information du ERP vers le CAD? Nous autres, on s’est posé la question la première fois quand nos clients nous ont approchés avec… C’est bien beau, mais on aurait besoin de… Les situations, pourquoi? J’imagine que vous avez souvent des dessins qui ont beaucoup d’informations. Peut-être pour la plupart d’entre vous, c’est votre dessin qui est carrément qui sert de bon travail dans l’usine. Là, j’ai une description, j’ai une spécification, quelque chose qui change pour les gens en révision d’un Puis parfois, ça n’affecte pas du tout le… Comment on dit ça en anglais? C’est formfit function, mais la fonctionnalité ou la forme du dessin, c’est tout simplement des propriétés qui changent ou des types de données qui n’ont pas nécessairement à créer une révision d’ingénierie. Ça, c’est le genre d’informations qu’on va voir circuler en retour de genius. J’ai juste changé une appellation, j’ai changé une spécification.

Ça ne change pas l’allure de mon dessin du tout, mais la propriété change. Je vais pouvoir la ramener, la ressynchroniser vers le dessin. Ça, en gros, c’est qu’est-ce que ça fait ou pourquoi j’en aurais besoin. Les situations classiques, je me tire un peu dans le pied, comme on dit, je suis un ingénieur moi-même, puis ça m’est arrivé dans le passé, mais on va se dire, des fois, on vit sur notre style, les ingénieurs, on a notre propre terminologie. Puis tout le reste de l’industrie, on parle avec un autre langage. Je ne sais pas si vous avez ces petits îlots-là chez vous, mais ça peut arriver que le dessin se fait, que quelqu’un fait du nouveau design, vous pose l’information, puis quand on se retourne, votre acheteur et les fournisseurs ne comprennent pas c’est quoi la description ou la terminologie de l’énergie qu’on a utilisée. Souvent, les fournisseurs vont arriver et dire: On a identifié ce que tu veux, c’est ça. Donc peut-être que tu devrais l’appeler comme ça. Tout le marché appelle ça comme ça, une flange, peu importe. Et là, on pourrait ramener cette mise à jour-là dans le dessin. Si vous réutilisez le dessin dans le futur, vous faites une révision, vous le copier pour partir un nouveau projet, le dessin est à jour.

Puis évidemment, tous les changements d’ingénierie ou toutes les modifications dans le futur, il puisse se passer des choses dans le système et on ramène l’information vers le cadre, ça va de soi. On va couvrir aussi ces choses-là. Et on tombe dans la démo. Là, je vais aller dans une portion parce que je m’en vais dans le logiciel et je vais vous expliquer un petit peu à quoi ça consiste, c’est quoi la solution qu’on vient vous présenter. Merci de rester avec moi. Je vois bien qu’il y a une belle participation aujourd’hui. Je vois qu’il y a des gens qui ont joint et quitté. Je vais juste m’assurer de répéter: si vous avez des questions, vous voulez un suivi de notre part, n’hésitez pas à écrire dans la section Questions et réponses et je vais m’assurer de couvrir tout ça. Si je ne le fais pas à la fin de la session, ce sera en communiquant avec vous par courriel et par la suite. Si on va dans le Genius, dans le fond, ici, je vous présente, j’ai amené un petit dessin à l’écran. Je l’ai fait dans le solidworks aujourd’hui, mais sachez qu’on a le même plugin.

Voyez ici, geniusETM, c’est le fameux tout le monde, qui vient comme un nouvel onglet, ici à l’intérieur. Même chose dans Inventor, cet onglet qui se rajoute. Je ferais une ou deux parallèles par rapport à comment ça marche dans Inventor versus solidworks, mais c’est quasi identique comme fonctionnalité. Donc, La portion dessin fonctionne comme avant. On fait nos dessins et qu’est-ce qui va arriver, c’est qu’on va faire une correspondance entre les propriétés, les custom properties de solidworks, ce qui serait les high properties, les propriétés i dans l’Inventor et c’est là qu’on va se retrouver avec une correspondance entre les champs qu’on veut synchroniser. Quand j’appuie sur le bouton ETM, c’est Gynius. Ce qui se passe, c’est que Gynus va lancer notre plugin. On va avoir une fenêtre qui ensemble, pour les utilisateurs de Genius qui l’ont vu, beaucoup à notre interface Genius, mais elle vit vraiment dans l’interface de SolidWorks. Là, ce qui se passe ici, c’est que notre calto bomb fait une représentation, comme vous voyez à l’écran ici, des différentes composantes que j’avais dans de dessins qui sont apparues ici dans une arborescence. Pourquoi on fait ça? Peut-être qu’on ne veut pas tout pousser dans Genius.

Peut-être que j’ai simplement modifié une composante, je pourrais juste sélectionner une composante et lire synchroniser l’information, la mettre à jour dans Genius. C’est tout à fait une possibilité. Je peux prendre tout un sous-assemblage qui est très populaire. On en parlait tantôt, pour ceux qui font du design de longue haleine sur une longue période, parfois, ils vont mettre une arborescence d’une structure, un work breakdown. Qui est vide. Là, des fois, je vais avoir un sous-assemblage qui n’est pas encore apparu dans le genius. Je vais avoir terminé ce design-là. Je vais cliquer juste sur ce sous-assemblage-là, le pousser, continuer à travailler sur les autres jusqu’à ce que ça soit approuvé pour les pousser plus tard. C’est tout à fait possible. Ici, je vais le prendre au complet, puis on va lancer la portion Matériels. Je vais mettre ça en plein écran dans un petit instant, qu’on voit un peu les résultats qui apparaissent. Ici, dans le fond, je demande maintenant à mon plombeien, à Kaltubon, d’aller voir dans le Genius et me mettre une représentation graphique de qu’est-ce qui se passe. Vous voyez ici, j’ai un item qui serait mis à jour, qui existe déjà. On va aller voir aussi dans l’onglet de Genius.

En effet, c’est vrai, mon item de tête, qui est le padet card, mon petit card que je suis en train de fabriquer. Il existe déjà dans dans le Genius, mais il n’y a pas d’arborescence en dessous. Il n’y a rien du tout. Et comme on voit, on voit des petits plus de choses qui vont être ajoutées. Je vois ici qu’il y a certains sous-assemblages qui existent déjà dans le Genius, qui vont être rajoutés avec le reste de qu’est-ce qu’on voit à l’écran. J’ai amené votre attention sur une petite valeur ajoutée en plus. Dans vos propriétés, on est capable de gérer les composantes qu’on va avoir besoin pour pouvoir fabriquer ces produits-là. Ici, on voit, ici, j’ai de la plaque, par exemple, avec une certaine surface. On pourrait avoir aussi des flanges ou des pipes, des barres avec une certaine longueur à pied, par exemple, ici. Vous pouvez aller spécifier les pièces de matières rots, on recherche mes mots en français. Et quand vous êtes prêts, on peut tout simplement synchroniser l’information dans Genius. Quand je vais venir faire ma sauvegarde, toute l’information va se pousser à l’intérieur du bon d’Angeus. Je viens de dire un mot BOM dans Genius.

Oui, Genius a une librairie de BOM. On va en parler tantôt, une bibliothèque de BOM. Où est-ce qu’on va retrouver ces arborescences-là? Si je cherche mon fameux card, je vais retrouver la structure qu’on voit là, que je viens de pousser. Il n’y en avait Avant, maintenant, je vais être capable de l’utiliser pour faire une nouvelle solution aux commandes, lancer de la production, aucun problème. Comment ça fonctionnera? Comment j’ai pu amener toute cette information-là ici à l’écran? Je pense que ça vaut la peine que je vous montre un petit peu comment les propriétés sont faites et comment le mapping est fait entre la correspondance et le fait entre les deux. Si je referme cet écran-là. Je vais aller voir une composante en particulier, mettons la Un des rollers ici. Maintenant qu’on va voir ici cette composante-là. Si j’ouvre cette composante-là, c’est un des petits rollers qu’on avait dans le design. Puis, si je vais voir les propriétés dans le SolidWorks, on va retrouver nos propriétés, justement, pour la matière première, pour la famille de produits à utiliser. Là, vous me pardonnerez, on voit de l’anglais et du français. Parfois, mon SolidWorks est en anglais et mon usager est en français.

Ça crée un petit peu un comportement spécial à l’écran côté franglais qui s’affiche. Donc, j’ai des propriétés à l’intérieur de SolidWorks et comment on est venu mapper tout ça ensemble? Mais, originalement, au début du projet, quand vous allez commencer à utiliser l’outil, on va venir faire des settings, évidemment, et faire des mappings. La correspondance des champs. Vous allez voir ici dans l’écran, on voit qu’est-ce qui va aller dans l’ingénierie d’item. Parce que oui, cet outil-là peut non seulement juste créer le build de matière, mais il va être capable de créer des nouvelles composantes. Si j’ai une nouvelle pièce que je dessine, il va être capable d’aller créer le numéro d’item, la structure en arrière et il va être capable après de l’ajouter ou d’imbriquer des choses dans le build de matière. On va aller plus loin. On va être capable aussi de créer des systèmes pour la matière première et d’amener, je vais en parler tantôt, des opérations mêmes, directement. Comment ça fonctionne? Au minimum, dans le Genius, on va créer moins une famille. Pourquoi? Parce que c’est la famille qui va amener tout le comportement. Ça, c’est une pièce à acheter. Ça, je le compte en plénière.

Ça va être tracé par numéro de série, par exemple. C’est le comportements-là peuvent tout être hérités de la famille. Ce qui vous permet, vous, dans le logiciel CAD, d’avoir un minimum de propriétés à spécifier pour être capable de faire la synchronisation. Le classique, ça va être un numéro de pièce, la famille et C’est vraiment une description. Après ça, ça ne nous arrête pas. On va pouvoir aller trouver des choses comme les paissons, l’argent, le poids, la spécification matière. Donc, toute cette information-là va pouvoir être aussi amenée à travers les mapper. On fait ça une fois. J’oubliais, mais vous Vous n’avez peut-être pas remarqué, il y avait une colonne qui disait: Ajouter la propriété. Comme je disais, je sais pas si j’en ai parlé auparavant, j’ai oublié un petit peu par où je suis passé. Quand vous allez commencer à utiliser le cas de tout le monde, une question qui se pose souvent, c’est: Ça doit être tough à implémenter. Pas On va passer dans un dessin, lorsqu’on va partir le plugin, le cat to bomb, automatiquement, il va venir créer les propriétés qui nous manquaient. On peut même avoir des valeurs par défaut qui viennent s’indiquer.

Et à ce moment-là, tout ce qui nous reste à faire, c’est parfois changer la famille sur quelques composantes et voilà, le dessin est passé. Quand j’arrive au prochain, la première fois que je fais la même chose… Normalement, on les fait au compte-goutte au fur et à mesure qu’on rencontre des nouveaux dessins, on va les amener dans le champ avec le cat to bomb. Ces dessins-là vont être prêts pour la prochaine utilisation. C’est quand même très smooth comme transition avec comment vous le faisiez avant et comment ça va être fait dans le futur. Qu’est-ce que j’ai oublié de montrer ici? Oui, évidemment. Maintenant, je vais vous montrer un peu les propriétés de quand on fait une synchronisation. Une chose que je voudrais spécifier aussi, C’est: il y a une partie où est-ce qu’on peut venir aussi synchroniser les activités. Là, je ne sais pas si dans votre monde, c’est une réalité. Chez certains de nos clients, on n’a peut-être pas un logiciel, on l’a peut-être, mais dans la structure du dessin, des fois, on va Je vais dire: Quand je fais ça ici, on va le couper, on va le rouler, on va l’ébavurer. On a déjà une séquence d’opération qui est connue.

Dans le Genius, je vais être capable de mettre une séquence d’opération. Si je retourne à mes propriétés, j’ai un template d’opération, ce qui est ici, routing template, ici. Donc, un gabarit d’opérations. Dans ce cas-ci, je me suis pas compliqué la vie. Il va à travers la découpe, puis sur la CNC. Ça, c’est mon template. Comment ça marche? Là, je vous amène dans le Genius. Pour certains, c’est la La première fois, petite patience ici, je rentre dans ma bibliothèque de Bomme et je vais aller voir… En premier, on peut peut-être aller voir ma pièce, là. 106, celle qu’on regarde. Tu vois, j’ai un roller. Il y a déjà la pièce, il y a déjà la matière derrière dessus. C’est le push qu’on vient de faire qu’il a mis. Puis, si je m’en vais voir mon fameux gabari Code CNC, vous allez voir que dans le fond, mon gabari, c’est une séquence d’opérations. Je vais en premier à la découpe, après je m’en vais au machinage. Si on le en mode gris, ici, vous allez voir que chacun des opérations ont déjà un certain temps standard qu’on va mettre à chaque fois qu’on va utiliser ce gabari-là.

Là, ça vous permet de dire chaque fois, je pars dans des dessins, je mets déjà des gabarits et ça va déjà pousser dans le disqueus des séquences d’opérations pour que la shop peut suivre. Peut-être que ce ne sera pas les bons temps, mais au moins, on aura une séquence d’opération et vous pourriez aussi mettre à jour les temps vous-même à travers la synchronisation. Donc, je suis capable de venir dans le Genius et si on va regarder cette fameuse pièce-là dans dans mon outil de synchronisation. Cette fois-ci, on va aller du côté opération au lieu d’aller du côté synchronisation des matériaux. Ici, on est en train de détecter ce qu’il y a dans l’aborissance cadre. Vous voyez que dans le Genius, il faut que Je le sélectionne avant. Dans le genius, on va être certain de suivre ça. Je vais aller dans ma gamme de fabrication. Puis, on voit, si je mets ça sur un écran, dans le Genius, on voit qu’il y a simplement le raw material encore. La matière première, elle me l’a Je vais me retrouver. Et si j’explose aussi la section, on voit que Genius nous suggère ou le cal to bond nous suggère de rajouter les deux opérations avec les temps.

C’est le fameux template qui est venu se détecter tout seul. Je peux tout simplement venir faire éditer, sauvegarder Regardez. Et là, cette information-là est poussée dans ma fameuse bibliothèque de BOM. Je refais le parallèle, si je reviens dans le Genius, je suis dans la bibliothèque de BOM. Si je reviens sur ma pièce… Ça, ce n’est pas le BOM. J’ai perdu 0, 9, 3, 4, 7, 8. Je pense que c’est ça le code. Je vais choisir une facile. Voilà. On voit bien que mes deux opérations se sont rajoutées dans ma bibliothèque. Tantôt, j’avais juste la matière première. C’est un petit peu comme ça que ça se fait. Ça peut se faire à multi-niveaux d’un coup. Tout mon assemblage aurait pu synchroniser toutes mes gabarries à chacun des niveaux pour amener toutes les opérations nécessaires directement dans le Genius. On fait le plus possible à travers la synchronisation du dessin vers l’ERP pour que ce soit facile de passer et transiger vers la production rapidement par la suite. Vous avez d’autres choses à mentionner ici qui seraient intéressantes? Oui, l’autre chose qui est intéressante, on va retrouver aussi un lien vers les pièces jointes. Parce que j’ai fait une poussée à travers mon outil, je me retrouve avec un lien vers mon fichier CAD directement dans Genius.

Là, c’est le cas pour tous les petits assemblages que j’ai poussés tantôt. Si j’allais chercher un parrain, on verrait qu’ils ont chacun un lien vers le dessin de source. Là, évidemment, c’est là qu’on va y retrouver de la force. Je m’en vais tantôt sur mon outil Web, je suis capable de cliquer voir le dessin. Mon outil plancher, pardon. Cliquer voir le dessin, si vous avez un eDrawing ou eViewer, je me souviens plus c’est quoi le nom exactement. Il y a un bechin gratuit pour utiliser du 3D. Ça vous permettrait ou ça permettrait à vos gens de plancher pour aller voir directement les dessins. Je pense que là, ça fait pas mal le tour grossièrement un petit peu, pour vous donner une compréhension de comment le cap to gomme fonctionne. Si on retourne à notre présentation. Donc, en résumé, pourquoi je voudrais l’utiliser? Pourquoi j’aurais besoin de cal to bomb? On l’a dit, je pense que la première chose qui ressort beaucoup, c’est: je ne veux pas me retaper l’entrée du BOM au complet dans mon ERP pour que l’information puisse suivre tous les autres départements: production, achat, inventaire. Je veux être capable de pousser l’information directement et qu’elle soit utilisable.

Du même coup, il y a des bénéfices, il y a des liens vers des dessins, on en a parlé, donc on va y éliminer peut-être beaucoup de papier. Il y a de la possibilité là. Avec la synchronisation, puis avec la visualisation des différences, je vais être capable d’éviter de faire des duplicatas, de m’assurer, de bien gérer qu’est-ce que je pousse ou qu’est-ce que je veux ramener dans le dessin. Je vais voir les différences dans mon écran aussi. Du même coup, on en parle dans un instant, c’est mon prochain sujet. Ça va pouvoir aussi m’aider dans les cas où est-ce que je me retrouve à être un peu pressé à partir de ma production, mais je suis encore en design, alors je suis capable de lancer des projets et de voir concurremment ou simultanément l’ingénierie de la relâche de dessin en même temps. Puis évidemment, oui, je vais pouvoir ramener de l’information. Donc, ceux qui ont un peu de la problématique, parce qu’il y a beaucoup d’allers-retours ou de modifications dans les dessins à cause de certaines choses Ça, ça n’affecte pas nécessairement le Form Fit Function. Je dois être capable d’avoir cette synchronisation-là en retour du ARP vers le dessin cadre.

Les projets complexes. Donc, ici, là, j’ai parlé du temps. Donc, si vous faites de la production sur plusieurs semaines, plusieurs mois et que dans cette période-là, vous voulez commencer la production très tôt, ou peut-être même juste commencer les achats très tôt, mais que vous savez que vous allez faire du design sur la plupart de la période que vous avez en délai avec votre client, vous êtes ciblé par ce que je vous parle ici. Là, on va parler un petit peu du concept des projets complexes en Genius. Jusqu’ici, je vous ai parlé des librairies de bonne, la bibliothèque de BOM. On amenait l’information de cadre des logiciels de dessin dans cette librairie-là. À quoi elle me sert cette librairie-là? Évidemment, quand je fais une commande ou une soumission à un client, je peux tirer de cette librairie-là pour créer un document d’ingénierie. Ici, je suis dans le Genius, dans les fonctionnalités qui sont cœur à Genius. Certaines industries font des choses standard. Je fais une soumission, une commande, je sélectionne un item ou une pièce Je prends juste ce que j’ai dans ma librairie et je l’envoie en production. Ici, vraiment, on cible des gens qui font du design, la conception sur commande.

Donc, qu’est-ce qui arrive dans le Genius, c’est que quand je vais spécifier quelle pièce ou quel projet je commence, je vais être capable de tirer sur ces librairies de bonnes, sur ces gabarits-là de build, de nomenclature et de les amener dans ma version d’ingénierie. Et là, par la suite, peut-être même très tôt, avant même d’avoir une belle structure, je suis poussé à commencer ma Donc, peut-être que j’étais à ma version 1, peut-être même qu’il n’y a rien encore dans mon build de matière et je vais devoir le pousser en production pour créer un bon travail, créer une place où les gens vont pouvoir commencer à rentrer tout le temps, commencer à rentrer des dépenses, des choses comme ça. Et surtout, ce que je vois en premier lieu, c’est les achats à long délai. Je besoin d’un moteur. Je ne sais pas encore comment il va fitter dans mon ingénierie, mais je sais que j’ai besoin d’un moteur, je sais que ça prend six mois à l’avoir, puis on est dû dans six mois. Qu’est-ce qu’on fait? Il faut tout de suite aviser l’acheteur. Aujourd’hui, c’est un courriel. C’est tel projet, achète donc ça. Un fichier Excel, je ne sais pas comment vous vous débrouillez, mais nous, c’est possible dans l’ERP de venir spécifier, avant même qu’on vient pousser du cadre.

On va pouvoir faire une liste d’achats préliminaire. Donc, dès le document d’ingénier, dès la l’âge initial, je pourrais déjà, même si je n’ai pas l’information, spécifier aux acheteurs, spécifier le requis matières d’un moteur. Plus tard, quand la portion du dessin où le moteur allait, peut-être c’est un sous-assemblage, une section dans mon ingénierie, je vais être capable de pousser la synchroniser. Encore là, je pourrais gérer des versions. On en a parlé tantôt. Je vais être capable de faire une copie et de comparer ma version avant/après d’avoir poussé la section auquel le moteur. Et là, je vais être en mesure en plus, de synchroniser cette version-là avec la production. Ça, c’est gros ici, c’est un différenciateur pour nous. Pas beaucoup de RP sont capables de faire ça. Après que la production ait commencé sur un bon travail, on est capables de venir ajouter, de venir bonifier, changer une production en cours. Là, ça me permet de dire: Je donne la version 2, je vais avoir la version 3 et je pousse les nouveautés de la version 3 à ma production. Là, le Genius va dire: Oh, tu avais un moteur, il y a déjà un PO, il a peut-être même déjà reçu.

Et maintenant, il apparaît dans l’Arborescence. Si on va dans cette section Là, il y a un bouton qui dit: Oui, réassigne. Et là, tout ce qui se passe par rapport au moteur vient s’assigner au nouveau relâche d’ingénierie. On ne recommande pas le moteur en double. S’il y avait déjà des frais, des coûts sur ce job-là, ils vont être impactés à l’avoir à sens où le moteur se trouve. On a toute cette fonctionnalité-là qui est prévue en conséquence des clients qui font l’ingénierie concurrente ou simultanée avec la production. Elle fait le capat de faire des relâches, de gérer des versions d’ingénierie, ou est-ce que je suis capable de pousser avec Inventor SolidWorks à travers le cap to bomb et de synchroniser ces versions-là avec la production en cours. Et une démo. Yes. Ok. Donc, je vous montre rapidement. Je vais vous montrer une job que j’ai déjà relâchée, qui est déjà en cours de production. Ici, on va sortir de la bibliothèque de Bomme. Je vais sortir de la bibliothèque de Bomme, je vais m’en aller dans mes bons de production. Vous vous souvenez, j’avais trois carrés. J’étais à la bibliothèque, je suis allé dans le carré du bas où est-ce que je suis dans ma job, dans ma production.

Ça, c’est ma job 311, vous voyez ici, job. J’ai des bons de travail en cours, j’ai des sous-sections à produire. C’est quand même assez complexe. J’ai un produit fini où est-ce qu’il y a un assemblage final, du shipping. J’ai un frame à monter, j’ai un bearing tube à faire, une assemblée de clutch, quelque chose comme ça. Pardon. Donc ici, ce qu’on va faire, c’est qu’on va aller dans le document d’ingénierie, on va pousser quelque chose de solid work sur la structure, puis je vais venir la relâcher dans la production en cours pour vous montrer comment ces étapes-là peuvent être faites. Vous voyez, j’ai un lien en plus dans le mode dans mon document d’ingénierie, ce qui fait que je ne vais pas courir après. Je vais remonter dans mon document d’ingénierie. Remarquez ici, c’est presque identique à ce que j’avais au niveau de la librairie de Bomme, de la bibliothèque de Bomme. Mais là, au lieu de voir l’item, c’est un numéro. J’avais un lien vers ma production qui était le document d’ingénierie 81. Et voyez-vous, là, je suis dans une version 103 de ma machine que je suis en train de produire. On reconnaît ici la structure de l’assemblage final, le shipping, le frame, le bearing.

C’est ce que je voyais dans ma production, c’est ce qui avait déjà été poussé. Là, je veux pousser dans le 103 une nouvelle composante ou quelque chose que je vais devoir synchroniser avec la production. Faisons ça. Je vais retourner dans le Genius. Je pense que je vais utiliser ce que Je vais aller dans le build de la matière en premier. C’est ici que je peux configurer où est-ce que je pousse l’information. Vous voyez, jusqu’ici, je poussais dans ma librairie. Et là, on va aller pousser dans nos documents d’ingénierie à la place. Je vais aller pousser dans mon document. C’est en trois. Là, il charge la structure du document parce qu’évidemment, il y a plusieurs parents possibles. Je peux pousser à la racine, je pourrais même la remplacer. Ou moi, dans mon cas, je vais pousser sous une des sections. Je vais Je vais venir pousser à l’intérieur du… Du 101, tiens, c’est 501. C’est un des premiers en haut. Je vais pousser sous un des pareils. Vous voyez l’aboratrice complète apparaît, le Qu’est-ce que j’ai dans le Genius dans cette version-là. Je viens de dire que je vais pousser sous le sous-assemblage 101, le petit roller dont on parlait tantôt.

Edit. Save. Voyons. On voit ici que la matière première s’est ajoutée et va devenir un peu un enfant de l’assemblage que je pousse. C’est apparu ici dans mon arboratence de Genius. Et là, on pourrait aussi venir faire comme on en a parlé tantôt. Je vais le faire, tant qu’on va aller dans la gamme pour pousser les opérations en dessous du même coup. On confirme qu’on pousse toujours au même endroit. Pourquoi le VGenius fait ça, entre autres? C’est parce qu’on veut vérifier l’information qui est à jour, ce qu’on rafraîchit à l’écran pour vous montrer les différences entre le cadre et le ERP. C’est pour ça qu’on voit une petite étape de synchronisation ici. Et mon template qui a bien été détecté, si je fais Edit et Save, je pouvais changer les temps ici. Par exemple, tout ce qui est orange, je peux venir le mettre à jour manuellement. S’il y a des temps qui changent, qui ne sont pas comme le gabarit pour cette production-là, j’aurais pu le mettre à jour rapidement ici à l’écran. Oui, je pose au même endroit et voyez-vous, les étapes sont apparues ici. Donc, si je retourne dans le Genius, dans mon cycle d’ingénierie, dans ma version 103, si je la mets à jour, on va bien voir qu’est apparu ces sous-sections-là.

Là, je n’ai pas Je l’aurais fait de version, j’ai oublié dans mes étapes. Mais j’aurais pu dire: On est à une version et je veux vraiment voir chacun des changements entre mes révisions. J’aurais pu copier, décider de garder ou de recommencer à neuf. Je pourrais dire: flush les matières, flush la fabrication. On peut le faire pour donner un exemple. Puis là, si je dis: OK, il me fait une version 1003, que je suis rendu. Toujours rattaché au webdesign, mais voyez-vous, là, j’ai tout enlevé: opération, gamme, etc. Je repars à neuf. Ça, ça arrive souvent à la première étape, quand on passe des ventes à l’ingénierie, les ventes sont arrivées à une façon d’avoir un prix, des fois, pas toujours catholique, pas toujours dans les bonnes pratiques. Ce ne sont pas des choses qu’on veut pousser en production. On peut se faire une nouvelle version vanille, où est-ce qu’on va venir pousser nos informations ou encore venir chercher dans les bibliothèques de Bomme pour construire la structure de base. C’est tout à fait possible. Vous voyez, je peux avoir plusieurs versions et je vais décider de quelle version est ma gagnante. Vous voyez, j’ai une version gagnante, finale des ventes, une version d’ingénierie.

Je pourrais dire, ça, ça va devenir ma nouvelle version de l’ingénierie et c’est ça que je vais pousser en production à l’avenir. Si je referme ici, on va continuer à synchroniser avec la version 103, en revenant à ma production en cours. On s’entend, on est dans un autre environnement qui est comme un sandbox, une place où je peux avoir plein de versions d’ingénierie, où est-ce que je gère ces changements-là. Et là, je peux décider qu’est-ce que je relâche en production. Donc, l’ingénieur est capable de détecter qu’est-ce qui a été ajouté au document d’ingénierie. Puis, il va nous faire une liste avec un petit code de couleur qui nous dit: Voyez-vous, ça, c’est le nouvel composant qui a été ajouté. Voulez-vous l’ajouter, oui ou non? On peut décider juste de la piquer, de la consommer, peut-être, comme on en a sur les tablettes, ou de la produire. Puis si c’est selon les règles, Ben oui, Genius a des règles qui peuvent détecter pour vous. J’en ai en stock, donc produisant pas. On va juste piger inventaire ou encore: Oui, là, il faut produire un bon travail. Puis on a même des règles qui disent: Non, non, ça, je le gère toujours moi-même.

C’est moi qui déclenche des productions inventaires où: Fais-les toujours sur commande. On a plusieurs règles comme ça pour beaucoup faciliter le travail de gestion de ces relâches-là. Si je fais OK, on vient rentrer la fameuse arborescence supplémentaire et dans ce cas-ci, il y avait un sous-assemblage qui a déclenché lui-même son bon de travail à ce moment-là. Donc je m’avasse avec un nouveau bon de travail pour un petit sous-assemblage qu’on vient de dessiner qui était approuvé. Ça, ça fait le tour du côté un peu gestion de changement, gestion de nouvelles versions, de relâche en cours de production. C’est facile pour moi d’aller écrire une nouvelle version, ajouter des choses, ni les relâcher en production. Je pourrais pousser une coche plus loin et dire aussi que dans toute cette gestion d’ingénierie-là, on va retrouver aussi des statuts qui vont nous permettre de gérer un peu où est-ce qu’on en est avec la production. Je vais être capable aussi d’aller sur mes différents assemblages, par exemple, et gérer des statuts, des workflows qu’on On l’appelle chez nous. Et là, vous pourriez faire des propres, des vôtres. Moi, j’ai fait quelques exemples pour des démos ici, mais peut-être que je suis en révision ou en approbation pour cet assemblage-là.

Et à chacun des niveaux ici, je suis capable de mettre un statut du genre pour être capable de dire: Maintenant, dans mon design, j’ai une section qui est en révision, j’ai une section qui n’est pas prête à relâcher encore ou qui lit. Donc, vous pourriez aussi avoir de la gestion un peu plus micro de tout ce détail-là d’ingénierie. Normalement, ça me prend 50 minutes de faire ce webinaire-là dans le passé. Je l’ai fait en 40. J’espère que vous m’avez suivi, que je n’ai pas été trop roadruner pour vous. Je vais prendre vos questions. Je vous inviterai à les écrire dans le Questions et réponses, on a quand même plusieurs participants, je n’ouvrirai pas les micros nécessairement. Mais s’il vous plait, si vous pouvez écrire vos questions. Je vais passer tout de suite à la prochaine slide parce que je vois qu’il y a certaines personnes qui ont quitté déjà. Je vais juste vous annoncer, on a quand même un webinaire qui s’en vient le 12 octobre sur la planification intelligente, la même heure qu’on fait aujourd’hui, mercredi encore. Et ce sera le sujet du prochain webinaire. Donc n’hésitez pas à nous joindre, à vous joindre à nous, vous vous inscrire.

Vous êtes toujours les bienvenus, on aime bien ça, avoir des gens qui reviennent aussi. Si vous voulez plus d’informations sur d’autres webinaire, on en a sur notre site web. Il y a toute une section de webinaire que vous pouvez aller voir. On a commencé à mettre des vidéos aussi qui vous donnent plus d’informations sur certaines fonctionnalités. Et pour sûr, je vois quand même au moins deux clients existant chez nous N’hésitez pas à aller voir sur l’académie. On a une section Relâche aussi qui montre les nouveautés, les nouvelles versions, des choses comme ça. Il y a beaucoup d’informations à ce niveau-là. Ça me ferait plaisir de vous voir aux cantines si vous avez des questions. Oui, peut-être pas pour téléchargement, mais il va être disponible en streaming sur notre site Web. Je pourrais vous le montrer assez rapidement, j’imagine. Donne-moi une petite seconde, je vais l’amener à l’écran. Si je m’en vais sur le site Web, je vais aller en français en plus, sur le site de Genius ERP. Com, dans la section Ressources, vous allez retrouver un webinaire. Donc dans Apollon, on va mettre l’enregistrement de ce webinaire-ci sur la plateforme et il y a un livre à l’Académie.

Vous allez aussi retrouver bientôt des… Je pensais qu’ils étaient ici, mais des insights, je pense qu’en anglais, ils sont là. Je pensais qu’on aurait ce lien-là. Où est-ce que je vous parlais? On a quelques vidéos qui ont été faites récemment, qui durent à peu près trois minutes chacun, qui vous parlent un peu des différentes fonctionnalités. Puis quand on clique en savoir plus, il y a un petit dépliant. Souvent un lien aussi vers une vidéo pas très long qui vous parle des différentes fonctionnalités qu’on a à offrir. Je vois une autre question ici. Est-ce qu’on peut faire un lien entre le cadre et les machine CNC? C’est sûr que la réponse, c’est oui, en quelques histoires, parce que comme je vous disais, si on passe l’information de comment on veut fabriquer à travers les opérations, on va être capable de dire: Oh, j’ai besoin de 5 heures de la CNC 3, de la CNC 2. Fait que oui, à ce moment-là, l’information va passer à la production, ce qui va devenir des heures planifiées avec des débuts et des fins. Dans tout notre système de scheduling, on va pouvoir être capable de donner cette information-là. Et là, il y a plein de questions qui peuvent débouler de cette question-là qui me viennent en tête.

C’est sûr, Fabienne, si vous voulez en savoir plus, je vous invite, comme c’est marqué ici, vous avez mon contact. Vous parlez déjà de nos représentants. Je peux toujours lui poser cette question-là. Les gens ont accès à moi, ils peuvent m’amener dans des discussions avec vous si vous avez des questions par rapport au CNC ou comment on aide à optimiser la production sur les CNC. On a quand même plusieurs clients qui sont dans le métal, entre autres. Je ne sais pas si je touche mouche avec ce que je dis là. Mais si vous voulez en savoir plus, il y a mon courrier personnel ici aussi, si vous voulez me de l’avoir besoin avec vos questions si je n’ai pas répondu complètement. Il y a une autre question ici. Merci, ça me fait plaisir. Merci pour vos remerciements et je souhaite une bonne journée à tout le monde.