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Découvrez le bon calendrier pour l’implantation de système ERP

Implantation - Toutes les industries

Avez-vous toujours voulu savoir le calendrier que vous devez suivre pour un mise en œuvre réussie de votre projet d’implantation de système ERP ? Dans ce webinaire, nous vous montrerons les étapes à suivre lorsque vous sélectionnez un système ERP pour votre entreprise ainsi que la manière d’établir les bonnes dates de début et de fin pour votre implantation.

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Bonjour tout le monde. Encore une fois, mon nom, c’est François. On a Étienne, un expert de contenu aujourd’hui qui est avec nous, consultant chez Genius depuis plus de huit ans et moi aussi d’ailleurs. Encore une fois, bienvenue. Je ne suis pas Étienne, si tu fais là l’agenda, de quoi on va parler aujourd’hui.

Certainement. L’ordre du jour aujourd’hui est assez simple. On va commencer par une brève présentation de Genius Solutions. François va nous faire le tour de la compagnie et de quelques métriques. Ça devrait prendre 5 à 10 minutes, disons. Ensuite de ça, on va passer dans la vue d’ensemble du processus d’achat d’un ERP. On va descendre ensuite dans le détail de vraiment la définition des étapes une à une, comprendre qu’est-ce que ça implique. C’est quoi le temps qu’on alloue à ces étapes-là? C’est quoi l’étape qui vient par la suite. Donc vraiment débattir si on veut le processus en 10 étapes. Ensuite de ça, récapitulatif des étapes, comprendre c’est quoi l’étape suivante, période de questions et après, on va un peu de nos prochains webinaire, si c’est OK.

Parfait. J’ai déjà répondu à une ou deux questions sur la plateforme. Merci de l’utiliser. Je vais partir avec les introductions. Genius, qui nous sommes. Dans le fond, on est une compagnie qui a 30 ans et plus dans le domaine manufacturier. On a une centaine d’employés, je dirais même 120 quelque chose aujourd’hui d’employés et on a des dizaines de milliers d’utilisateurs au travers le Nord-Amérique qui est notre marché. On le voit d’ailleurs sur la map ici à gauche, notre empreinte en rouge. Même s’il manque pas un ou deux États aux États-Unis qui n’a pas été rajoutée, on a une belle empreinte à ce niveau-là. Notre parcours se fait bien partout en Nord-Amérique. D’ailleurs, on a des beaux chiffres qui me tiennent beaucoup à cœur. 96 pour cent de rétention clients, c’est jamais vu dans le marché. On est très apprécié. Vous allez voir nos réseaux sociaux. D’ailleurs, on a gagné des prix. On est un des logiciels canadiens, un des seuls logiciels canadiens qui étaient reconnus par différents sites de sélection d’ERP. Ça va être classé très haut dans ces classifications-là. On va en reparler tantôt. Et on a une belle croissance annuelle qui est quand même soutenue au travers des années, malgré les dernières années de récession.

Pas de récession, qu’est-ce que je dis là? Mais de défis. C’est des gros mots aujourd’hui. Puis peut-être ce qui est à dire, c’est qu’on est vraiment dans un marché manufacturier depuis longtemps. Ça va la prochaine slide. Merci. Ça, c’est ce qui soutient un peu ce que je disais par rapport à notre classification. On a différents sites qui aide à sélectionner un ERP qui sont sur le marché, qui existent et on se classe très bien dans ces différents sites-là. Les reviews, les commentaires sont très bons. Un qui est très connu, c’est Gartner. Et on voit la charte Gartner ici en haut à droite. Et si ça c’est à ce qu’il y ait la facilité d’utilisation et la satisfaction client, dans le fond. C’est ce qui fait qu’on vient se positionner en abscisse ou en ordonnée ici. On voit que Genius se démarque à travers des gros joueurs dans le marché. On peut passer à la s’il te plaît. Comme je disais, on est dans le marché manufacturier depuis 30 ans. On a commencé chez Genius, ça a été trois fondateurs qui étaient des ingénieurs qui faisaient de la consultation industrielle et ça a évolué à devenir un logiciel rapidement.

Les gens avaient besoin d’outils, on a développé des outils et on a pris un virage très rapidement dès le début à avoir un logiciel ERP qui était très core dans le manufacturing au début, qui était basé, le cœur étant dans le manufacturing. Puis, ce qui a fait qu’on a pris aussi une approche très ciblée par des gens qui sont dans la fabrication sur-mesure, sur stock, sur-mesure. Et à ce moment-là, on était avec des outils. Donc, on a l’intégration à Cat2Bom, on a l’intégration à des logiciels de dessin comme SolidWorks, d’adventure. On a la planification très poussée comparé à d’autres logiciels parce qu’on est dans un milieu où est-ce que les gens ont beaucoup de produits différents d’une fois à l’autre. Donc, on veut être réactif, flexible à ce niveau-là. On a beaucoup d’outils dans la solution qui est offerte. L’intelligence d’affaires, ça a été rajouté récemment aussi. On a fait une grosse amélioration à ce niveau-là où est-ce que dans le logiciel, on va avoir une façon très, très aisée d’aller chercher de l’information. J’appelle ça du quick data. On drag, drop et on a de des informations facilement accessibles où on peut se faire des beaux tableaux de bord.

C’est très, très, très aisé dans notre solution aujourd’hui. On peut continuer. Pour ceux qui ne nous connaissent pas, chez Genius ERP, qu’est-ce qu’on offre? Oui, c’est un logiciel de gestion manufacturiable, mais c’est un logiciel de gestion d’entreprise, un ERP. Donc, on couvre du devis, de l’estimation, de la soumission et on descend jusqu’à la suite comptable. Ça fait toute partie du logiciel. C’est un peu ce qu’on veut mettre avec notre petit engrenage, avec l’image d’une base de données à l’intérieur pour dire que tout est dans un pain, donc on accède à notre information, elle va se parler. Tout le monde va agir sur les mêmes informations. Donc, beaucoup de visibilité et de relations. Un bon exemple que j’aime souvent quand on parle à des nouveaux clients, des nouveaux prospects, on va parler du fait que je regarde une transaction puis je peux remonter à la source de cette transaction-là. Je vais avoir du forage qui est possible dans le logiciel vu que tout est dans la même structure. On continue à investir dans le logiciel, c’est un peu ce qu’on voit à gauche avec les lancements récents. Probablement trois ans, par exemple, cette slide-là, mais bon, pour dire qu’on continue à réinvestir.

Je viens de parler des analytiques dans le fond et on a aussi fait des améliorations côté interface de plancher, des choses comme ça. On voit ici à gauche, on a parlé justement du service terrain, on a un portail maintenant pour que les gens puissent se connecter, faire des demandes en ligne. Gestion de garantie, contrôle qualité. C’est toutes des améliorations qui sont apparues dans les dernières années. On peut poursuivre. Si vous êtes Si vous êtes intéressé à aller plus loin avec nous, si vous êtes intéressé de prendre un logiciel comme le genius, comment on l’installe, comment on le déploie? Pour votre utilisation, vous l’installer sur vos propres serveurs. Donc, à ce moment-là, on peut acheter ou louer le logiciel. Et on a aussi une solution nuage qui veut dire qu’on va aller faire l’hébergement pour vous et vous allez avoir des accès, ce qui vous permet de ne pas avoir à soutenir une infrastructure technologique de votre côté. Je pense… Oui, c’est vrai. À savoir quand vous arrivez avec nous, on parle d’implantation. Justement, aujourd’hui, je pense que c’est important d’en parler. Je ne veux pas trop voler la vedette. Probablement, Étienne, tu vas en reparler tantôt un petit peu, j’imagine, de cette portion-là.

C’est Oui, bien évidemment. Ok.

Mais disons que de ce côté-là, ce qu’on veut vous dire, c’est que Genius a, à travers les années, on a des années d’expérience, vous le voyez, beaucoup de gens, ça fait longtemps qu’ils sont avec nous et on a voulu bâtir un savoir juste avant la Covid, c’est un addon, on ne l’avait pas prévu, mais on a développé une plateforme d’apprentissage en ligne. La plupart des cours de base se retrouvent dans cette plateforme-là. On a fait des parcours d’apprentissage qui fait que quand on fait une implantation, par exemple, ça permet aux gens d’aller apprendre à leurs à leur vitesse, suivre des formations en ligne à leur propre disponibilité. C’est très flexible. On peut aller poser des questions à nos consultants en même temps. C’est très hybride. On va faire la base de formation avec la plateforme, puis on va avoir un consultant qui va venir aussi à citer pour venir vraiment finaler vos processus avec l’utilisation du logiciel. Ça va un petit peu plus loin. Si on va à la prochaine slide. Au travers de cette plateforme-là, on a beaucoup de cas particuliers, des choses qu’on va pouvoir à aller poser des questions. À l’intérieur de cette plateforme-là, on va donner un accès à trois fois par semaine, ce qu’on appelle une cantine.

Vous allez une heure de temps parce que les gens peuvent se connecter, poser des questions, avoir un expert. Par exemple, je faisais lundi, Étienne, tu es déjà venu quelquefois aider aussi quand quelqu’un était absent. Donc c’est vraiment des sessions où est-ce qu’on n’a pas besoin d’attendre, de poser une question, essayer de boucler un consultant, quelque chose comme ça, trois fois semaine, lundi, mercredi, jeudi, vendredi. Nous avons accès, vous vous connectez puis posez une question. Souvent, on a plusieurs clients Jusqu’ici, ça va très bien. On a le temps de répondre à toutes les questions dans nos sessions. C’est très, très apprécié. D’ailleurs, ça vient achalander, on va peut-être en rajouter dans le futur. Puis évidemment, je pense que ça passe à travers les gens, vous le voyez, des gens comme moi, Étienne, ça fait longtemps qu’on est là, une équipe qui a comme mission et comme vision d’avoir la réussite à faire croître nos clients avec le logiciel et de suivre les clients. Nos améliorations, on écoute beaucoup nos clients. On fait des sessions un peu comme nos webinaires avec nos clients, par exemple, une fois par quart à peu près, où est-ce qu’on va aller parler d’un sujet, récolter leur feedback, réaligner nos idées de développement de logiciel ou de croissance du logiciel derrière les idées de nos clients, derrière les commentaires de nos clients.

On est très, très proche de nos clients. Je pense que là-dessus, je vais te passer la parole avant d’exploser l’intro à plus que dix minutes.

Pas de problème. Écoutez, avant même qu’on commence faire le tour du processus, je pense qu’on avait bâti une espèce de petit quiz qu’on veut vous faire répondre. Oui. La question est assez simple: à l’échelle du marché, quels pourcentages d’ERP sont considérés comme un échec? On veut savoir quels pourcentages de compagnies, par exemple, vont répondre à: Oui, je suis allé avec un ERP. Soit le gaulage n’est jamais arrivé ou une fois que le go live est arrivé, on n’a pas les résultats qu’on espérait.

Jusqu’ici, j’ai quatre personnes qui ont répondu. Ça va quand même vite. Les gens sont à l’affut. Vous êtes habitués à faire des webinaires parce qu’il me semble que les réponses sont rentrées bien vite. Merci de c’est bien agréable. Je pense que je vais dire… Non, c’est vrai, à chaque fois, je dis: Où est-ce que la réponse ou la tendance s’en va? J’ai plus de réponses qui vont là, je ne le dirai pas tout de suite, mais quand même, on a une belle participation. À vrai dire, tout le monde a répondu. Non, c’est bon. On est à 60 pour cent de participation. Une ou deux réponses de plus, puis je vais alter ça pour qu’on puisse poursuivre avec le contenu, mais on aimerait savoir votre impression, dans le fond, selon vous, les implantations, peut-être que vous avez même connaissance de gens autour de vous qui ont eu des défis à ce niveau-là. C’est bon. Je vais l’arrêter maintenant, mais dans le fond, je vais juste vous partager ce que j’ai comme feedback. Il y a à peu près 70 pour cent des gens qui ont répondu. Puis on a 30 pour cent de les réponses ont dit que c’est 40 pour cent du temps qu’il y a eu un échec, puis tout le reste des gens qui ont répondu sont à 75 100% de la réponse.

Quelque part des gens pensent qu’il y a beaucoup d’échecs au travers des implantations ouvertes.

La majorité de vous a raison. La réponse est 75%. Sur notre site Web, on a de la documentation qui va vraiment passer au travers de ce chiffre-là. Par contre, 75 Pour ça, on peut voir que c’est un nombre qui est très élevé. Nous, on est d’avis chez Genius que la sélection, c’est l’étape 1. Une mauvaise implantation ou une implantation qui est un échec à la fin peut venir, oui, d’un produit qui a été mal sélectionné, mais peut être vu aussi par une mauvaise préparation à l’interne d’un projet comme ça. Parce que bon, un ERP, ce n’est pas un logiciel qui est simple, c’est un logiciel qui touche des processus, beaucoup de gens. Donc c’est quelque chose qui se prépare à l’avance. Je crois que c’est un assez bon segway vers la présentation du processus. Nous, chez Genius, on est d’avis en fait que l’achat d’un ERP, c’est un projet. C’est quelque chose qui devrait être géré en conséquence. C’est une étape, vous voyez, on a fait un beau logiciel GEN qui va vraiment aller d’une à l’autre. Par contre, je vais vous montrer même la source de ça. On a carrément bâti nous à l’interne un fichier Excel qu’on utilise.

Comme vous pouvez voir, c’est un fichier Excel qui est assez simple. On commence avec une date de mise en service, puis l’ensemble des activités vont découler, vont nous donner une petite visibilité sur en thèse, est-ce qu’on devrait commencer finalement chacune des étapes ou comment chacune devrait imbriquer une dans l’autre. On vous recommande fortement, à la suite de notre rencontre d’aujourd’hui, de vous bâtir quelque chose qui est semblable, parce que c’est quelque chose qui va être utilisé tout au coup. La première question qu’on va avoir quand on va parler avec quelqu’un qui est à la recherche d’un ERP, nous, on a plusieurs questions, mais une des premières qu’on va toujours poser, c’est: Qu’est-ce que vous cherchez? Pour quelle date est-ce que vous cherchez ça? Puis là, les réponses peuvent aller de A à Z. On veut signer un contrat à cette date-là, on veut être live à cette date-là, on veut commencer à utiliser le logiciel, on veut commencer des formations. Nous, on l’a vraiment bâti sur une date de mise en service parce que souvent, les gens vont dire: Moi, j’ai une hausse saison, par exemple, dans le mois de juin, juillet, je veux que mon logiciel soit utilisé pour le 1ᵉʳ février 2024, donc mis en place.

En travaillant comme ça, on peut vraiment venir voir qu’on va mettre une date et on va voir l’ensemble qui va bouger en disant: L’étape de recherche ERP, il faut absolument la commencer pour le 13 mai, par exemple. Dans ce cas-là, si je voulais aller live le 1ᵉʳ février, c’est quelque chose qu’il faudrait que je commence dans les prochaines semaines, comme on peut le voir. Si on retourne à la présentation, le but va vraiment d’aller dans ces étapes-là une à une, puis de vous expliquer ce qu’on devrait faire, c’est quoi les attentes, c’est quoi la préparation et le temps qu’on devrait à l’autre. La première étape, c’est vraiment l’étape de recherche ERP. Vous trouvez 5 à 10 entreprises, disons, qui vont répondre à haut niveau via le site Web, via les informations que vous allez réussir à trouver, répondre aux besoins que vous aviez. Si vous êtes à recherche d’une fonctionnalité qui est très spécifique, par exemple, ça se peut que 5 à 10 entreprises n’ayent pas ça sur le marché, il faut que vous réduisiez ce nombre-là. Par contre, c’est une règle du pouce qui fait du sens de notre côté. En disant de 5 à 10, on va être capable après ça de décrémer vraiment les compagnies avec qui on veut continuer, mais ça donne une assez belle visibilité sur l’ensemble du marché.

On va essayer de trouver des entreprises qui sont vraiment spécialisées dans votre industrie. Si vous allez, par exemple, sur le Web et puis vous cherchez ERP, vous allez trouver énormément de contenu. Par contre, il y a beaucoup de ce contenu-là qui va être non applicable. Vous allez voir qu’il y a des fournisseurs d’ERP qui ont leur logo sur des voitures de Formule 1. Nous, on est une compagnie, comme François expliquait, qui est une centaine d’employés, donc on est très niche dans notre marché. De là, la recommandation de dire: Si vous allez faire de la recherche, recherchez logiciel ERP pour fabrication sur mesure. Déjà là, on va avoir des logiciels qui vont s’écrire d’arté, parce que ce n’est pas le marché qu’ils vont s’assurer de servir. J’ajoute aussi un point là-dessus. Faites attention, Google peut être utile, mais il introduit un billet de contenu sponsorisé. Vous le savez probablement mieux que moi, on ne fera pas une classe complète là-dessus, mais Google va vous montrer des compagnies qui sont prêtes à payer pour apparaître en haut de la page. Ce n’est pas toujours l’outil de recherche qui devrait être priorisé à ce moment-là. On s’est assuré de mettre à gauche, nous, des…

Oui, François?

Je m’en allais dire, j’ai déjà fait des recherches sur des sujets que je sais qu’on n’est pas bons et le genius est sorti en avant-plan et on n’investit pas dans des advertisements Google. C’est juste pour dire à quel point, des fois, Google peut être très biaisé dans ses réponses.

Exactement. Puis, un peu comme François disait, il y a des logiciels, nous, c’est certain que ça nous met de l’avant parce qu’il y a des compagnies spécialisées en sélection ou en définition de logiciels ERP, si on veut, qui sont listés ici à gauche. On a Capterra, on a Software Advice, on a plusieurs de ces sites Web qui sont spécialisés. On vous recommande fortement d’aller voir des sites qui sont spécialisés comme ça parce qu’eux vont vous permettre de voir du feedback, de de clients, de personnes qui utilisent ce logiciel-là, carrément, après quelques années, d’avoir un feedback positif, négatif, point fort, point faible, mais aussi de voir des évaluations qui sont faites de façon non sponsorisée, qui sont vraiment faites avec un détachement et qui permettent de voir un peu comme un restaurant. Quand un restaurant dit: L’ensemble du menu est ma spécialité, souvent, ça peut être quelque chose qui est plus difficile à comprendre, alors que quand quelqu’un travaille sur des créneaux qui sont particuliers, qui sont le vôtre, là, ça donne une meilleure visibilité. Nous, à l’interne, ce qu’on voit dans le marché, la recherche ERP, c’est quelque chose qui va durer environ deux semaines.

On se donne un bon deux semaines, pas un deux semaines qui est faite dédiée, on s’entend. Par contre, le temps de faire vraiment le tour du jardin, puis de voir les 5-10 compagnies, de les lister, c’est quelque chose qui prend environ ce temps-là. Une fois qu’on a fait nos recherches, c’est le temps de faire les appels d’introduction. Encore là, l’appel d’introduction, c’est quelque chose qu’on va assigner, allouer un deux semaines. Le but, c’est assez simple. Ça va être vraiment d’être un livre ouvert de votre côté, de travailler avec les fournisseurs ERP, puis de leur expliquer qu’est-ce qui vous pousse finalement? C’est quoi la motivation derrière le projet ERP? Il y a quelque chose qu’on va appeler la douleur superficielle. C’est là, on rentre une commande cliente Il y a des points, par contre, qui sont vraiment plus complexes que ça. Il faut installer un ERP à ce moment-là parce que ce projet-là ou ce point-là, particulier, nous fait très mal à l’entreprise. C’est celui-là qu’on va calculer finalement notre ROI à la fin de tout ça, si on veut dessus. C’est quelque chose qui va être poussé par le fournisseur ERP. Nous, par exemple, quand vous allez faire un appel d’introduction avec nous, on va s’assurer de travailler sur ces points-là, de comprendre c’est quoi votre échéancier, quelles raisons vous décidez d’acheter un ERP aujourd’hui, pas l’année prochaine, pas l’année passée.

Vraiment de comprendre d’où la douleur vous en souffle.

On va avoir beaucoup plus de succès dans une implantation avec une mission claire à vos fournisseurs de services. D’arriver à table avec quelque chose qui dit: Il faut vraiment que je règle telle problématique qu’on a chez nous. Ça va beaucoup aider votre sélection en ciblant des points comme ça qui sont névralgiques pour vous.

Exactement. Les questions, ça va être simple. Ça va être par rapport à votre budget préliminaire, qu’est-ce que vous avez en tête en termes de budget, votre processus de décision. On On veut comprendre à quelle étape on est. Est-ce qu’on est les premiers, les derniers? Est-ce qu’on est trop tard? Puis vous nous utilisez comme un à la fin d’un processus ou est-ce qu’on est vraiment en compétition, puis on fait le processus au complet? Quel échéancier vous avez? Etc. Et puis, le but de ça, c’est très simple. Est-ce que notre solution est bien adaptée pour vos besoins? Vous voulez éviter de gaspiller votre temps si ce n’est pas le cas. Vous avez lu de la documentation en ligne, vous voulez confirmer que le logiciel, est-ce qu’il y a des lacunes qui sont inacceptables? Est-ce que c’est un logiciel qui est axé sur les besoins que vous avez définis à l’avance ou les problèmes ou les douleurs internes que vous avez identifiées. Est-ce que ce logiciel-là a une solution pour vous aider, oui ou non? Si ce n’est pas le cas, c’est dommage, ça arrive. Par contre, on va être nous, francs avec vous. On va vous dire: Écoutez, ce n’est pas quelque chose qu’on peut vous aider.

Par contre, bonne chance dans votre recherche. Voici le logiciel avec qui vous pouvez travailler à ce moment-là.

Ça fait partie de notre succès chez Genius, le 96% de rétention. On est très francs aussi en première approche avec nos clients. Pour nous, l’implantation est un peu déjà Notre succès a déjà commencé en disant aux clients une vérité. Donc en partant, s’il y a des choses qui ne marchent pas, on va, si on est au courant, si on les identifie, on va tout de suite en parler. Si on signe, on va aller de l’avant avec quelque chose qui va être… On ne veut pas découvrir ni vous ni nous, en cours de route qu’il y a des choses qui ne sont pas un bon fit dans nos compagnies. On est quand même très… On a des gens comme Étienne et moi qui ont été consultants longtemps, qui sont à la table aussi, qui ont fait un processus de sélection de notre côté pour aider justement à avoir un bon fit quand on amène du nouveau prospect à la table.

Comme je disais, environ deux semaines, on fait les appels d’introduction. Ça vous permet aussi de garder une liste de qui est disqualifié ou avec qui on veut continuer à traiter à ce niveau-là. Une fois que cette étape-là est faite, on va travailler avec l’étape trois qu’on va appeler la lettre budgétaire. La lettre budgétaire, c’est assez simple. Vous allez retourner auprès du fournisseur, le fournisseur va revenir vers vous, il va vous demander d’identifier les trois, quatre problèmes qui sont les plus importants à résoudre. Comme je vous disais, il y a un peu de travail qui doit être fait en amont de ça. Vous êtes assis à l’interne les avoir définis. Par contre, vous allez vous assurer que le fournisseur est au courant clairement de: Voici quatre problèmes majeurs qu’on a. On recherche une solution pour les régler, donc on s’attend à ce que ce soit livré dans le cadre de cette lettre budgétaire. On va demander une lettre de budget basée sur les informations qui ont été partagées pendant l’appel d’introduction aussi. Donc, cet appel d’introduction-là, il y a beaucoup d’informations qui ont été transférées. Tout ça est pris en compte dans l’établissement d’un budget au niveau.

Un petit étoile, un petit astérisme. Assurez-vous de partager assez d’informations pour pouvoir établir un budget au niveau. Donc d’avoir un deuxième entrepôt, d’avoir une ligne d’affaires qui vend des pièces de rechange, mais on a oublié d’en parler initialement. Je crois que c’est le genre de choses qu’il faut qu’il soit partagé parce que vous comprendrerez qu’au niveau, oui, des licences, mais surtout au niveau de l’effort de mise en place, ça va avoir un impact. Par exemple, vous faites de la machinerie sur mesure, vous vendez des pièces de services, vous offrez aussi un service d’installation sur chantier. Il faut que l’ensemble de cette information-là soit partagé parce que ça va avoir un effet sur la lettre de budget. Puis on aurait la gagnée à être…

Je l’allais dire, à savoir, je pense que les fournisseurs ERP n’ont pas tous la même structure de prix. Certains sont basés sur licence, certains sont basés sur ajouter des modules ou des choses qu’ils ont besoin de… Des tiers, des third party dans le fond, des choses qui vont venir aussi rapiaisser des fois pour avoir certaines fonctionnalités. Et peut-être d’échapper une partie du scope va jouer en faveur ou pas d’un logiciel au début dans le budget, mais finalement, qu’on arrive en fin de route et qu’on va plus en détail, des fois, on va découvrir des mauvaises surprises. C’est bien de lister un petit peu ces comparables-là. Fonctionnalités, nombre de compagnies, scope de travail, ça fait partie un peu de tout ça, qu’il faudrait être des tours pour fournir à vos compétiteurs. Je vais appeler ça de même, vos compagnies d’usurels. Pour fournir ça.

Une chose qui est importante, c’est on ne cherche pas un prix final, on cherche un ballpark, un estimé à assez haut niveau pour être capable quand de mettre les logiciels un à côté de l’autre. Demain, si le money was not an object, ou si le budget n’existait pas, on serait capable d’aller voir deux ou trois compagnies ERP qui sont des SAP R2 de ce monde, qui sont des immenses ERP, puis tous y aller avec ça. Par contre, vous allez comprendre que le budget vient avec un coverage de fonctionnalités. Plus un logiciel est complexe, puis il va pouvoir faire de fonctionnalités. D’habitude, le prix vient en conséquence. On n’a rien à gagner à être optimiste en tant que compagnie à ce niveau-là. Je pense qu’il faut s’attendre à ce que des gens soient réalistes. C’est un peu pour ça qu’on devrait le demander initialement après avoir donné assez d’informations pour que ce soit mis en place. L’étape quatre, après avoir reçu, fait un appel d’introduction, D’avoir fait nos recherches, l’appel à l’introduction, avoir reçu un budget au niveau, c’est la préselection. On est partis avec 5 à 10 compagnies. On s’attend à passer une semaine pour travailler dans une grille, puis dire: De ces 5 à 10 compagnies-là, voici deux ou trois partenaires potentiels avec qui on peut faire à faire.

Ils ont un coverage de fonctionnalités qui est décent. Ça attaque nos problèmes. On a eu la confirmation que ça réglait nos problèmes majeurs ou la raison pour quoi on recherche un ERP. On a eu une idée du budget, donc s’il y a quelqu’un qui est très cher, c’est hors de nos budgets, par exemple, on peut le sortir. Le contraire peut être vrai. Si un budget est très, très, très bas, on peut poser un petit peu plus de questions à comprendre. Ok, pourquoi est-ce qu’il est aussi bas que ça? On ne croit pas en les cadeaux nécessairement, de comprendre l’écart entre deux fournisseurs, ça peut être assez intéressant avant de continuer plus loin. Une fois qu’on a vraiment réduit ce nombre de partenaires-là à deux, trois, on va mettre en place ce qu’on appelle un comité de sélection ERP. Ça, c’est quelque chose qui est fait dans votre compagnie à l’interne. Vous avez été le champion du projet où la personne contacte tout jusqu’à ce niveau-là. Par contre, c’est là qu’on va mettre en place vraiment un groupe de travail. On espère avoir des gens avec des compétences ainsi que des responsabilités de la compagnie qui sont différentes, parce que ces gens-là vont avoir à travailler dans les futures étapes, à partager de l’information.

Ils vont jouer un le rôle finalement de chien de garde de leur département ou de leur groupe de compagnie, s’assurer vraiment que ces gens-là, leurs besoins sont rencontrés et qu’ils sont au courant de l’effort qui va être à mettre en place. Gardez en tête que ERP signifie normalement compromis, pas compromise, mais compromis. C’est quelque chose qui va être assez important aussi. C’est certain qu’on va travailler à partir de systèmes initialement qui sont déconnectés. Souvent, on va dire: On utilise un comba puis des fichiers Excel. La journée où, par exemple, tout va être connecté, il va y avoir un flot d’informations qui va être important. Si la personne qui fait ses achats ne met pas ses dates à jour, ça va impacter la personne qui fait le scheduling, etc. Ça va être à comprendre, ça va être à partager avec le comité de savoir qu’on met un ERP en place, oui. Il faut comprendre qu’est-ce que vous allez avoir à faire ou comment ça va toucher votre département, quel est l’intran, l’extran, quelle information vous allez maintenant avoir accès, puis laquelle vous allez maintenant passer aux autres départements de cette façon. On s’assoit. D’habitude, on joue carte ouverte.

On va s’asseoir avec ces deux, trois fournisseurs-là. On peut faire un petit recap aussi, à savoir voici pourquoi on les a choisis en ce moment ou leur donner un accès au site web au moins pour qu’ils prennent un petit peu connaissance avec qui ils vont avoir à travailler.

Vraiment, à cette étape-là, je ne me trompe pas Étienne, on sait que les gens commencent à se faire on dit comme D sur la facilité d’utilisation de ce logiciel, le look and feel. Ça peut prendre jusqu’à cette étape-là avant d’avoir vraiment une vision du logiciel. Il faut voir le logiciel, mais avant de dire pourquoi vous voulez utiliser le logiciel, probablement que vous allez avoir du pushback d’une compagnie comme nous, qu’on veut comprendre comment vous voulez l’utiliser.

C’est un peu ce qu’on va parler par la suite. Souvent, les gens, par exemple, dans l’appel d’introduction, vont dire: Je veux voir la logicielle, je veux voir la logicielle. Il y a beaucoup d’informations à partager, mais on va en reparler un petit peu plus tard. Une fois qu’on a fait la préselection de ces ce tonnerre-là, c’est là qu’on va tomber vraiment dans l’étape qui s’appelle les entrevues. Celles-là, c’est l’étape qui va commencer à demander du temps en interne, qui va commencer à bouger un petit peu les choses pour le comité de sélection. C’est un peu pour ça qu’on veut s’assurer de faire la préselection pour éviter finalement d’asseoir chacun un des membres du comité avec 10 compagnies, alors ça ne fait pas particulièrement de sens. Puis, on veut juste un prix, par exemple, d’une des compagnies. Ça ne fait pas vraiment de sens. Ce que je dis là-dedans, c’est quelque chose qui doit être fait dans une semaine. Un logiciel ERP, ça va au-delà de trouver le bon logiciel. Le vrai succès vient de la motivation des utilisateurs, puis de leur réutilisation de celle-ci. Si on a le meilleur des ERP qui fait un scheduling hors pair, par contre, les gens n’entrent pas les dates de clients, n’entrent pas les dates de matériel, n’entrent pas la capacité à employer, on comprendra qu’on a une Ferrari, mais on ne met pas de gaz dedans.

Donc c’est quelque chose qui est important. C’est un peu pour ça qu’on veut s’assurer de s’asseoir en entrevue avec chacun des joueurs. Puis de planifier une trentaine de minutes, personnellement, avec chacune de ces personnes-là. On peut faire en format de groupe, en format one-on-one, c’est vraiment quelque chose qui sera à déterminer selon ce qui est le moins disruptif. On veut s’asseoir avec les personnes clés en tant que fournisseur dans votre organisation, s’assurer qu’ils partagent leurs connaissances au niveau ERP. Est-ce qu’ils ont travaillé avec des logiciels dans le passé? Est-ce qu’ils comprennent ce que ça implique? On veut voir c’est quoi leurs besoins par face à un système, puis des interactions avec les autres départements. C’est souvent à ce moment-là que quelqu’un va nous dire: Moi, je travaille, par exemple, avec un outil externe, avec un fichier Excel, laisse-moi te le montrer. Laisse-moi montrer ce que les gens mettent dedans, ce que je ressors, ce que ça fait. On peut s’assurer finalement de prendre ça puis d’intégrer ça dans notre processus de démonstration. S’assurer que les gens vont trouver leur compte finalement dans le logiciel. S’il y a quelque chose qu’on est complètement off, on va être capable de l’identifier.

On n’a pas ça, par contre, voici une solution que nous, on offre. C’est là où je parlais de compromis préalablement. Ça peut arriver à ce niveau-là.

Je m’ajusterai plus aux participants si vous avez des questions, au fur et à mesure qu’ Étienne présente, qu’on a notre présentation, d’utiliser la section questions et réponses de Zoom. Ne gênez-vous surtout pas. J’ai déjà répondu à quelques questions directement par le chat, mais possiblement qu’on pourra aussi répondre à la fin si on laisse de côté. Parfait.

La dernière chose que je vais dire pour les entrevues, ça représente une opportunité d’avoir l’ensemble des équipes connectées. Avoir quelqu’un qui est opposé, qui ne voit pas de valeur à ce projet-là, ça va affecter définitivement la qualité des entrevues. Il faut s’assurer de coacher les ressources, les préparer au changement, de les avertir que c’est quelque chose qui s’en vient. Trop souvent, c’est quelque chose qui arrive, par exemple, où on va aller dans une entrevue, puis on va avoir quelqu’un qui dit: J’ai déjà parlé. On a fait ce cycle d’achat-là trois fois déjà dans le passé. Je ne vois pas la valeur de partager ça avec vous ou encore de dire: On a gardé cinq compagnies, ça fait cinq fois que je répète les mêmes trucs. C’est un peu là où c’est important de garder un nombre restreint de compagnies, puis s’assurer que les gens sont préparés ou coachés à ces rencontres-là, parce que ça va affecter directement la qualité de la démo, puis la compréhension aussi du fournisseur de c’est quoi vos processus, puis c’est quoi vraiment que ce joueur qui a été identifié, clé-là, a besoin finalement J’ai une belle question ici.

Je ne sais pas qui, ce n’est pas important, mais on me demande: si on envoie une liste de douleurs, est-ce que ça peut éliminer la partie entrevue du processus? À mon avis, là-dessus, Étienne, moi, j’en ai un, mais je peux voir ta réponse.

C’est quelque chose qui est très utile pour travailler, si on veut, pour utiliser comme un ordre du jour un petit peu de l’appel, si on veut. Par contre, on va quand même vouloir s’assurer d’avoir une entrevue. L’entrevue, c’est malheureusement ou heureusement quelque chose qui va être requis. Par contre, d’avoir une liste de douleurs, ça permet souvent de dire: plutôt que m’asseoir avec 30 minutes avec six personnes, on va prendre une heure avec l’ensemble de ces six personnes-là dans une salle, puis on va les attaquer un par un. Juste s’assurer que ce que vous dites: J’ai des problèmes de nesting, je veux comprendre c’est quoi qu’on Ça m’appelle un problème de nesting, je veux aller plus en profondeur là-dedans. Donc, ça peut streamliner, réduire l’impact de la business. Par contre, ça va toujours être requis pour nous, en tout cas à ce niveau-là. Je crois que c’est quelque chose que vous voulez aussi faire. Je pense que les entrevues, c’est une belle discussion back and forth à ce niveau-là.

Je pense que la liste des douleurs, c’était la mission un. Établissez vos besoins, définissez quelles sont vos douleurs majeures. Peut-être qu’il y en a des importantes, moyennes. Vous allez probablement mettre un poids là-dessus parce que vous commencez par faire une grille de sélection à un moment de savoir éliminer les fournisseurs éligibles, vous les gardez. À ce moment-là, il va falloir vous mettre un certain poids, une intensité à vos besoins ou à vos douleurs pour pouvoir les identifier. On s’entend qu’on en va beaucoup passer chez nous, des gens qui nous envoient une grosse liste, des fois, c’est 800 lignes de: C’est ça mes douleurs ou c’est ça mes besoins. L’avez-vous ou pas? Moi, si je vous dis: Oui, est-ce que j’ai bien compris votre énoncé de 10 mots? Est-ce qu’on s’est compris? Moi, j’ai peut-être présumé que c’était du métal, mais vous faites du PVC. Je n’ai pas le contexte. Mais cette liste-là, ne partez pas 800 lignes, vous allez faire peur à la plupart des fournisseurs. Mais ce que je voudrais, c’est garder, mettez vos essentiels. Il faut qu’il y ait une mission principale. Et à ce niveau-là, oui, par contre, ça va réduire la durée de l’entrevue.

Le scope va être mieux connu de notre équipe avant de vous rencontrer. Et comme Étienne disait, au lieu de rencontrer chacun du comité, par exemple, on va peut-être amener juste deux, trois joueurs clés qui vont être au courant des vouloirs principaux, qui vont avoir une discussion qui est un petit peu plus haut niveau. Et là, après ça, on va être en mesure de partager le logiciel, partager ce qui est en lien avec vos besoins plus rapidement. Je pense que oui, vous allez courter beaucoup ce processus-là en ayant déjà un peu fait votre devoir de mettre vos douleurs sur papier, de les prioriser, je pense que ça serait le bon mot.

Et puis, une des choses aussi qu’il ne faut pas oublier, je parlais de la gestion de changement ou de préparation. L’entrevue, ça a aussi un bel effet à l’interne. Souvent, les gens vont s’approprier la décision du logiciel, vont aussi s’approprier le processus. Donc, c’est un petit peu des fois un pas en avant pour faire deux pas… Un pas en arrière, faire deux pas en avant, si on veut, dans le sens où quand c’est la solution que vous allez choisir, vous allez aller à l’avant, la personne qui a eu un interview va vraiment sentir que mes douleurs ont été écoutées. J’ai vu dans les entrevues quelque chose qui était spécifique à moi. Ça permet un peu de faire de l’appropriation du logiciel ou de donner un coup de pouce à ce niveau-là pour la gestion du changement plus tard. Ça, c’est la partie simple, vraiment la partie de l’entrevue. Ensuite de ça, on va tomber à la présentation au comité. Tout à l’heure, ça prenait une semaine. Maintenant, la présentation au comité, on va dire deux semaines. Vous allez avoir besoin de l’ensemble de l’équipe décisionnelle pour assister à cette présentation-là. C’est quelque chose qui est assez simple.

De faire cette présentation-là trois fois en tant que fournisseur, on ne peut pas garantir la qualité trois fois. Puis souvent, il y a une belle interaction entre les gens. Par exemple, si la personne des achats a une question, ça va impacter la personne de l’ingénierie. À ce moment-là, on veut vraiment s’assurer que les gens qui sont décisionnels sont tous dans la salle. On vous recommande fortement l’ensemble des présentations dans la même semaine. Il y a un petit jeu dans le monde du ERP, si on veut, on veut tous être le dernier à présenter parce que la mémoire humaine a escalé. Puis quand on est le dernier, on est celui qui est le plus frais. En gardant les présentations vraiment faites de façon groupée, ça permet de réduire un peu cet impact-là, si on veut.

J’aime ça dire ce moment-là, mais on a même un mot pour les gens qui étalent les présentations. On présente un mot après: Puis avez-vous fait votre sélection? Ça, tu étais celui avec l’écran vert ou bleu? On appelle ça du démo blurriness, quand ça se fond tout ensemble après un bout de Si vous les êtes allés trop, ça va être plus difficile pour vous aussi de revenir. Si vous n’avez pas votre gré de sélection, ça va être très difficile de venir les comparer un avec l’autre.

Une des choses qui est assez simple, mais il faut en parler: assurez-vous de revoir et de faire le récapitulatif avec l’ensemble de l’équipe tout de suite après présentation, planifier ce temps. Vous allez avoir beaucoup d’argent autour de la table. Vous allez avoir un comité avec la majorité de vos directeurs, VP, les gens qui sont décisionnels autour de la table. Souvent, dès que la démonstration est finie, ces personnes-là vont avoir à courir pour une urgence parce que c’est important de se garder un 15 minutes pour s’asseoir, débriefer ce qui était manquant, ce qui était positif, même de se faire une grille, si on veut, à l’interne, de le faire, le chef-là fait ça, oui, non. Un peu comme François le disait, la mémoire est une faculté qui oublie. Donc souvent, si on attend trop tard pour faire ce récapitulatif ou ce débriefing interne-là, c’est quelque chose qui perd beaucoup de sa valeur. Ça devrait être fait tout de suite après avoir coché la présentation, selon vous.

Négligez pas le côté émotionnel. Ça va être le plus gros de votre votre gestion en allant de l’avant quand vous allez avoir fait votre sélection pour l’implantation. Les réactions émotionnelles à ce moment-là, notez-les. Gardez-vous une ligne, au pire, dans votre casier de sélection. Les gros positifs, les gros négatifs, pourquoi? Des fois, ce n’est pas très justifié, mais il y a quelqu’un qui était très à brouiller, ça va être des choses qui vont probablement jouer dans votre gestion du changement et votre implantation par la suite.

C’est un petit peu là où cette partie-là est contreintuitive. Il nous arrive, nous, chez Genius, en tout cas, j’imagine que c’est pareil pour l’ensemble des fournisseurs ERP, mais très, très, très souvent de recevoir un appel de quelqu’un qui dit: Je veux voir ton logiciel, je veux une démonstration demain ou la semaine prochaine, qui était l’étape deux, on est rendu à six.

Pas mal, on veut vous le montrer, on veut vraiment vous montrer.

Non, puis le but, ce n’est pas de cacher le logiciel pour personne, je pense, dans le marché. Votre risque à vous, en tout cas, c’est de recevoir une super démonstration générique, la pire des solutions pour vous. Ou encore une mauvaise présentation du logiciel qui, finalement, était le meilleur pour vous. En En ne prenant pas la peine de partager les problèmes réels, il n’était pas compris, il n’était pas défini avec le fournisseur. C’est un gros risque, finalement, de passer à côté de l’attract, si on veut. Puis, si on retourne un petit peu au quiz initial, 75% des implantations sont considérées comme ratées, soit au go live ou ne se rendent même pas jusqu’au go live. On aime penser que c’est parce que la décision a été prise trop tôt. Par exemple, on a pris une décision de logiciel parce que le look and feel de la première démo après une semaine semblait bon. On ne s’est jamais rendu à voir vraiment pourquoi on veut un logiciel, puis qu’est-ce qui fait réellement pour nous aider, ou est-ce que ça attaque vraiment nos problèmes majeurs, ou est-ce qu’on change quatre ans de sous pour un dollar dans le sens où on le faisait dans Excel, puis à, puis maintenant, ça ne nous a pas amélioré du tout.

Il faut continuer à avoir un logiciel sur le côté ou un fichier Excel sur le côté parce que notre logiciel ne le fait pas. On a seulement une chance de faire une bonne première impression. Ça pourrait faire un bon recap, je pense, de tout ça. Donnez-nous, puis vous, la chance de partager beaucoup d’informations et d’avoir quelque chose qui fait beaucoup plus de sens qu’une démo de générique ou qu’une vidéo enregistrée. Suite à ça, décision finale. Est-ce que vous avez tout en main? On parlait présentation au comité plus ou moins deux semaines. On comprend, on dit: On fait tout en une semaine. Ça va vous prendre probablement une semaine pour digérer. C’est quelque chose qui peut être itératif aussi. Ça se peut qu’on a dit: On a planifié 1 h 30. Après 1 h 30, il nous manque de l’information sur ce problème-là qu’on avait identifié. Est-ce qu’on peut faire une deuxième session de 30 minutes juste pour couvrir ce point-là spécifique? Ne gênez-vous pas d’en demander à ce niveau-là. C’est là qu’on est rendu. C’est quelque chose qui fait du sens. Ça nous arrive de faire une session numéro deux.

Ce n’est vraiment pas un problème Tu sais, des fois, les gens de la comptabilité ou l’ingénierie, notre intégration avec les logiciels de dessin, ça arrive souvent qu’on ne peut pas passer une demi-heure à la table avec tout le monde pour parler de cette portion-là qui peut être assez différenciateur de notre côté. Ça arrive assez souvent qu’on va faire une présentation assez courte avec tout le monde pour adresser vos grosses douleurs. Peut-être que celle-là, ça en était une, on va la prendre à part avec les joueurs clés. Peut-être amener un ou deux joueurs de plus qui ont ces douleurs-là au quotidien, ça nous permet de cibler certains besoins comme ça sans mobiliser toute votre équipe ou ces dollars-là autour de la table aussi.

C’est un bon point de François, parfois, de dire: J’identifie que mon directeur d’ingénierie était ma ressource clé. Par contre, les questions commencent à être assez techniques, que j’aurais besoin de mon destinataire. De faire une session comme ça permet de dire: On va faire une session d’ingénierie avec deux, trois joueurs qui n’étaient pas sur le comité, dont la personne qui est sur le comité, bien sûr, pour venir l’épauler dans les questions, puis aller un petit peu plus en profondeur dans ces besoins-là. Étape sept, décision finale. Est-ce que vous avez tout en main? Est-ce que vous avez assez d’informations pour prendre votre décision. Encore là, c’est quelque chose qui peut être itératif. Par contre, n’oubliez pas que plus vous regardez le logiciel, plus les allers-retours peuvent être longs. Comme François disait, vous êtes le logiciel vert ou bleu de votre côté. On manque le target complètement quand on commence à avoir ce genre de questions-là. Regarder plus de logiciels de partenaires vont rendre votre vision encore plus floue et non plus claire. Ça retourne aussi au point de dire d’avoir une grille qui est faite de façon vraiment détachée, récapitulative des fonctionnalités couvertes, non couvertes, des des problèmes, c’est quelque chose qui va vous donner un coup de pouce à ce niveau-là.

Puis, une des choses qu’on voit dans le marché qui arrive malheureusement énormément, c’est cette étape-là, certes, souvent, va servir de point pour qu’une compagnie me dise: Laissez-moi y penser, puis disparaître trois, quatre, cinq mois. Mais souvent, quand on va recevoir cette information-là, on va dire: OK, notre appel initial n’était pas bon. Quand on a parlé de l’échéancier des problèmes, la compagnie a d’autres… Les problèmes ne font pas assez mal. Si on veut pour continuer avec le projet, c’est quelque chose qui peuvent prendre de façon délibérée. N’oubliez pas que si vous attendez trois, quatre mois à l’étape sept, vous risquez fort probablement de prendre un pas de recul, puis de retomber en présentation ou de réécouter des vidéos ou de retravailler entre la six puis la sept. C’est quelque chose que si on a fait le travail en amont, vous voulez éviter absolument.

Vous allez sûrement avoir des priorités qui vont changer un petit peu. C’est normal. Je pense que c’est bon de le dire, on arrive souvent dans un cadre, ça nous arrive fréquemment, on fait ça très fréquemment, des processus de sélection comme ça, puis on arrive avec une certaine liste de priorités et on a une habitude. Des fois, il y a certaines côté qu’on va voir dans la liste, puis on dit: On va vous challenger peut-être même un peu. Ça va être la même priorité dans six mois. Vous n’achetez pas un logiciel ERP pour un an. Vous l’achetez pour 5, 10, 20 et plus. On veut rester avec vous, on veut grandir avec vous, vous faire grandir avec notre aide, si possible. Et c’est là qu’on va voir dans le processus, on va vous aider des fois à peut-être revoir un peu vos priorités en conséquence. Ou peut-être à l’étape sept, vous allez faire… Je n’avais vraiment pas les bonnes priorités, vous pouvez même vous ouvrir les yeux sur X, Y Ça peut prendre un petit peu de temps. On peut très bien vous aider à faire ce genre de réflexion-là. Avec les années de services qu’on a ici, c’est sûr que les gens qui vont vous épauler dans la sélection, dans le processus comme Étienne, ça va nous faire plaisir de essayer de vous aider à gérer: Est-ce que j’ai les bonnes priorités?

Qu’est-ce que vous en pensez? Ou est-ce que j’ai peut-être d’autres ROI que je n’ai pas vus? Selon notre discussion qu’on a eue depuis cette semaine, maintenant et plus. Probablement que nous, on va pouvoir aussi vous pointer des choses qu’on voit comme opportunités.

Plus ou moins une semaine, dans le meilleur des mondes, c’est quelque chose qu’on fait en l’espace d’une semaine. Ce qui nous amène à l’étape 8, on s’est assiés avec les fournisseurs, on en a choisi un: le contrat et le dépôt. Est-ce que vous avez choisi votre partenaire? Oui. Maintenant, vous allez vouloir revoir certains éléments de la proposition. C’est là où le contrat complet va vous être fourni avec les instances d’installation, avec tout l’ensemble, finalement, de la façon que le projet va être livré, etc. On se donne d’habitude une semaine pour revoir ça, faire des modifications si requis ou aller chercher plus d’informations si requies. Votre partenaire va vous demander un account pour démarrer le projet. C’est quelque chose qui est standard dans le monde du ERP. On va dire en anglais time to put your money where your mouth is. Donc de faire vraiment un dépôt, de payer une partie. Ça va dépendre vraiment d’une partie des licences, une partie des heures de consultation prépayées à l’avance. C’est vraiment quelque chose qui va dépendre du partenaire que vous sélectionnez. Mais sachez que c’est à ce moment-là où vous allez faire votre premier dépôt, votre premier chèque.

Ça nous apporte une discussion qui est assez intéressante: le financement. Vous comprenez qu’au Québec, il y a beaucoup d’instances de financement, de programmes de financement que vous pouvez aller chercher. Par contre, ces processus-là sont encore plus longs, sinon aussi longs que les étapes que je vous ai montrées Si vous attendez à ce moment-là pour dire: Oui, je vais aller voir Investissement Québec pour avoir un prêt, par exemple, c’est quelque chose qui fonctionnera pas. C’est quelque chose que vous voulez vraiment lancer en amont. C’est quelque chose, à la limite, où vous voulez briser ou attendre à l’étape deux, qui est la préselection. Vous pouvez faire la préselection, mais avant de commencer les entrevues, d’habitude, on va vous dire: Allez chercher votre financement. Le financement n’est pas attaché à un fournisseur ERP, il est attaché à un projet. Donc, peu importe qui vous sélectionnez, à la fin, il n’y aura pas d’impact. Vous avez un budget préliminaire en ce moment.

Je pense que je vous réinsiste. Des fois Les gens partent un peu dans la lune quand je suis tiède qui parle. J’ai vu ça dans le passé, mais je veux juste insister, c’est très important. On le voit beaucoup de ce temps-ci. Des gens qui pensent avoir fini leur sélection, ça a déjà été un petit processus qui est peut-être un peu lourd pour vous d’ailleurs, amener des gens à table. On pense pouvoir partir, on a un calendrier, mais le processus de définition de ce… Excusez-moi, je n’ai plus les mots.

D’aller chercher les prêts, finalement? C’est ça.

Il faut vraiment se prendre tôt et on ne peut pas signer le contrôle, on ne peut pas faire de dépôt, sinon on n’est plus éligible dans ces cas-là. Il faut vraiment le définir en amont. Parce que je veux en faire dire, on le voit un petit peu trop souvent, malheureusement.

Quand on sait qu’on a un projet, il n’est jamais trop tôt pour ouvrir un projet avec ces instances-là, finalement. Le lancement du projet, une fois que vous avez fait le dépôt, d’habitude, la semaine suivante, ce dépôt-là, le contrat signé ou le handshake, c’est vraiment là où le lancement du projet va arriver. Votre équipe de projet chez le fournisseur ERP va être assignée, va être présentée. Vous allez avoir un appel de lancement dans lequel vous allez pouvoir commencer à discuter de la façon de livrer le projet. Donc de dire, par exemple, on veut faire des formations à distance ou on veut faire des formations sur place, on veut faire des sprint de formation, donc deux jours de formation et ensuite avoir une semaine, on veut faire trois heures de formation à toutes les semaines. Tout ça, cette mécanique-là, finalement, va être entendue lors du lancement de projet. Puis la même chose avec l’approche de projet. Est-ce qu’on veut faire vraiment quelque chose qui est big bang? Donc de dire: À cette date-là, on utilise le logiciel ERP et que le logiciel ERP, ou est-ce qu’on veut faire une approche en phase? On va commencer par remplacer à, on va mettre le processus d’achat deux mois après en place, puis vraiment faire quelque chose de façon qui est plus organique.

Tout ça va être discuté ouvertement avec votre équipe de projets. Le plan de projet va être fait en conséquence également par la sourde. C’est quelque chose qui appartient souvent au fournisseur ERP, de bâtir ce plan de projet-là, de le définir avec C’est aussi à ce moment-là, au lancement de projet, que le déploiement du logiciel, les accès vont être discutés. Donc, un petit peu la même chose. Si, par exemple, comme François expliquait plus tôt, vous aviez à acheter le logiciel pour l’installer sur vos propres serveurs, à ce moment-là, on espère avoir une information que le serveur soit installé ou soit en route pour être installé la semaine prochaine. Ce n’est pas le temps de mettre un PO pour acheter le serveur, ça peut prendre plusieurs mois aussi. Donc vraiment, l’ensemble de tout ça, c’est le Le grand départ.

J’ai une très bonne question ici. Je vais la lire textuellement. Je croyais que peut-être tu l’entends différemment. Moi, je l’entends Étienne, mais pensez-vous réellement qu’il est possible d’évaluer chacun des problèmes potentiels avant le choix final du logiciel. Ou à un certain moment, il faut se tirer, j’aime bien, se tirer dedans, trouver, corriger les problématiques potentielles. C’est sûr que le processus d’entrevue, je l’ai dit tantôt, c’est nous, on identifie des gaps potentiels, on va vous le dire. Si nous, on identifie des choses qui vont être à risque, ou est-ce qu’on n’est peut-être pas un bon fit pour vous, on va peut-être même vouloir se retirer nous-mêmes. Ça, c’est des choses qu’on va identifier, mais avec, comme vous l’avez dit dans votre liste de douleurs à haut niveau, on va commencer par ces missions-là, s’assurer qu’on peut bien répondre à ça. C’est sûr que nous, on va regarder qui vous êtes, quel genre de fonctionnement vous avez. Ça va beaucoup nous parler. Probablement qu’il y a même quelqu’un comme Étienne ou quelqu’un de chez nous… Les clients au Québec, on est chanceux, on a quand même une bonne couverture, les gens, souvent, vont aller vous visiter en plus.

On a une approche là-dessus qui va aider. Mais c’est sûr qu’on ne change pas que nos consultants vont aller chez vous, les gens formés en manufacturier, en ingénierie, qui vont aller vraiment faire une analyse. C’est ça la première étape d’un projet. C’est sûr qu’on ne fera pas l’analyse en mode de sélection. On va vous aider à comprendre le logiciel, voire essayer de s’assurer tous les deux, on s’entend qu’on a un fit de fonctionnement. On a vraiment un bon mariage de vos besoins, ce que le logiciel peut faire, puis où vous voulez aller stratégiquement. Il ne faut pas oublier ça dans vos douleurs. Il ne faut pas juste à ce que je veux régler. Je l’achète à long terme. C’est quoi ma planification stratégique? Incluez-le dans votre discussion avec vos fournisseurs. Je pense que la réponse à la question que je dirais, moi, c’est vraiment: Non, on n’adressera pas toutes les douleurs et on ne solutionnera pas tous vos problèmes en phase de sélection de RP. Quand vous allez signer avec un fournisseur avec lequel vous vous sentez confortable, qui va pouvoir adresser vos douleurs, on va tomber en mode d’analyse, on va tomber en mode solution.

Là, je ne veux pas te voler le poteau rose. Est-ce qu’on rentre un peu là-dedans aujourd’hui?

Non, pas vraiment. C’est vraiment de façon déconnectée. C’est parfait. Si je peux rajouter un petit peu sur la question, c’est là aussi où la définition de douleur, c’est de dire: Je n’ai pas de visibilité, par exemple, sur mon matériel. Ça, c’est une douleur de dire: Je mets ma description dans le champ texte de 250 caractères, puis il n’est pas assez long, c’est un irritant. C’est un petit peu là où, effectivement, si on veut commencer à aller dans chacun des irritants, notre posteuse de section va prendre plus non qu’un projet. Parce que le projet, vous allez voir par la suite, c’est quelque chose qui s’attire pas mal. Par contre, de s’assurer que le problème de business que j’ai, ce fournisseur-là était en mesure de me démontrer une façon de le gérer, va probablement changer aussi certaines de ces irritants-là. Mais on n’a plus besoin de ce champ caractère-là parce qu’on a maintenant quelque chose d’autre qui nous donne cette visibilité-là sans le mettre de façon manuelle. Mais à la question: est-ce que vous croyez vraiment qu’on peut attaquer toutes les douleurs avant de sélectionner? Non. Puis j’espère que vous non plus jusqu’à un certain point. Parce que c’est quelque chose qui étirerait et Ça va être du temps interne qui va être gaspié jusqu’à un certain point d’asseoir un comité pour discuter de l’ensemble de ces frissons.

Il faut savoir que dans l’implantation, il y a aussi des étapes par rapport à, justement à l’analyse, on va confirmer un processus, un flot d’affaires ensemble. On va un peu remettre une étampe dessus, dire: Écoute, on est prêts à aller de l’avant avec un processus. Et à l’intérieur de ça, probablement que là aussi, si on veut faire avancer une implantation, on ne réglera pas 100% les problématiques. On va probablement, justement, identifier peut-être quelques irritants qui nous restent. Les problématiques majeures, on va dire: Est-ce qu’elles passent ou pas tout le temps le processus? Ça, c’est quelque chose que nous, notre équipe, est formée et on veut savoir tout dans l’analyse. Quand on se lance en analyse, on va identifier tous les risques possibles aussi et on va les adresser avec vous. On va définir un processus. Mon dieu, je suis en train de valer la vedette.

Ça va, mais on a parlé du lancement de projet, on identifie le plan de C’est là où on tombe après ça dans l’étape 10 qui est le projet en tant que tel. Le projet en tant que tel, c’est là où je vais être obligé de mettre un chapeau de genius. Je vais vous expliquer la méthode que nous, on travaille. Un peu comme François disait, on sépare le projet, le budget, tout ça de notre côté en trois étapes. On commence par la collecte d’informations. C’est vraiment prendre ce qui a été fourni pendant le cycle de vente. On va refaire des entrevues, mais beaucoup plus approfondies qu’une demi-heure. Ça prend une à deux à trois journées. Souvent, on aime faire ça sur place avec vous pour s’assurer qu’on comprend vraiment tout, tout, tout, les irritants et les problèmes que quelqu’un a dans son processus. C’est à ce niveau-là que pendant la collecte, le consultant qui n’a pas un chapeau de vendeur du tout, va vous dire: OK, ce truc-là, il n’est pas directement dans la boite de genius. Voici comment on va le traiter parce que notre champ à nous est 250 caractères. Ça, c’est un problème pour vous.

Voici la solution de rechange qu’on a. Donc tout ça, c’est vraiment, on va s’asseoir, faire de la collecte très, très en profondeur de votre processus, planifier le plan de projet, les plans de formation. François parlait tout à l’heure de l’Académie de genius. Donc, créer vraiment le chemin de formation de chacun des employés pour qu’ils puissent commencer à accéder à des vidéos, puis que vous ne nous payiez pas à dire: Clique sur Ajoute, clique sur Sauvegarde pour créer un bon d’achat. Mais c’est quelque chose qu’un vidéo va vous montrer. Les gens vont pouvoir utiliser le temps de consultation pour faire des simulations qui a beaucoup plus de valeur ajoutée selon nous. Une fois qu’on a cette collecte-là, on va tomber en mode transfert, qui est vraiment la formation de la simulation avec vous, puis la définition de processus sur mesure. Si, par exemple, vous avez ce truc-là que le logiciel ne fait pas, on va faire avec vous une solution qui va permettre de faire marcher votre processus quand même, mais ça va avoir été identifié initialement pendant la collecte d’informations.

C’est pour le moment là, la réponse d’Alexandre, la question d’Alexandre, de tantôt, là: où est-ce qu’on va finaliser d’adresser tous les points? Ça va être pendant la période de transfert, avant le go live, mais il est très possible que si vous me dites: On va être clair en quatre mois, six mois, puis là, on n’a pas parlé du calendrier complet, Je l’ai montré un petit peu tantôt. Je vais être clair, en septembre, je commence en mai. Dépendant de la grosseur de notre pays, ça peut varier. Mais si c’est ça le calendrier, peut-être qu’il y a des points qu’on va dire: Mmm, on va travailler comme ça pour l’instant, mais on s’entend qu’on continue à travailler sur une solution pour ça. Ça peut arriver aussi.

Pour que le transfert est fait, l’application, c’est vraiment préparer les données, nettoyer les données. On commence à voir avec tous les clients la base de données de la Comba, on va juste utiliser ceux avec qui on a fait affaire dans les trois dernières années, les produits, les billes de matériel, etc. La mise en service qui est le go live avec du support pour s’assurer justement, comme François disait, que les processus cadrent, que vous pouvez rouler votre business avec le nouveau logiciel, se rendent jusqu’à la fin de mois comptable, qui est aussi importante, puis transférer vers notre équipe de succès client pour les phases d’amélioration continues, s’il y en a.

Je faisais des tas de… J’en fais partie, entre autres, mais on a une belle équipe qui vient s’assurer, en fait, en faisant des revues stratégiques avec vous, en s’assurant qu’on croit toujours dans la bonne direction ensemble. Ce n’est pas parce que l’implantation originale est terminée que le soutien ou l’avis chez Junius se termine. J’ai une petite question juste avant qu’on en ait au récapitulatif. Ce n’est peut-être pas en lien avec ça, mais quand même, je pense, c’est un bon moment pour le dire, c’est: quelle sera votre recommandation pour le pourcentage des outils out of the box versus les outils développés sur mesure. Là, je pense qu’on parle d’entre un ERP et un autre, on a des ERP qui sont très comme le nôtre, qui est complètement fondé On a une uniformité au travers des données de la structure de genius. Par contre, je peux très bien aller dans un écran puis changer les colonnes qui sont affichées. Ça, j’ai une malléabilité, j’ai une flexibilité à ce niveau-là. Les autres logiciels, où est-ce qu’ils partent avec un qui sont encore très simpliste et selon ce que vous avez besoin, ils vont construire, ils vont développer sur mesure.

Mon expérience à moi, à ce niveau-là, elle est très difficile à soutenir, très coûteuse à soutenir. Souvent, oui, c’est plus personnalisé, mais grand Grandir dans une solution avec du développement sur mesure, c’est probablement plus coûteux, à mon avis. Ce n’est pas notre approche de notre côté chez Genius.

Un peu comme François dit, avec le chapeau de Genius, c’est certain que nous, on croit qu’on a plus de 100 employés. On veut que vous Je me suis parlé au plus de 100 employés pour avoir du support, de faire du développement sur mesure de des grosses fonctionnalités. On vous rend souvent dépendant de une, deux, trois ressources chez un fournisseur. Donc, à long terme, après plusieurs années, souvent, c’est quelque qui va être un petit peu plus problématique.

Je en ai parlé tantôt, on fait des revues avec les clients, on a des commentaires, on a des rencontres fréquentes chez Genius. À chaque année, on a une sortie majeure de produits, on améliore le produit Et ça, c’est toujours repriorisé en fonction des feedbacks des clients. Il n’y avait pas d’éco autant qu’aujourd’hui, on en a à notre clientèle. Je pense que ça parle à notre intention. Des rencontres, on a eu un le mois dernier sur l’inventaire physique. Aimez-vous l’outil quand on veut déclencher des feuilles de décompte? Aimez-vous l’outil quand il faut capturer les comptes? Qu’est-ce qu’on pourrait faire pour l’améliorer? Où est-ce qu’il y a des manquements? On a des super beaux commentaires. Et oui, ça a réaligné nos idées de comment on allait développer cette prochaine personne. Pas développer, mais revampé, peut-être cette portion-là du logiciel pour justement venir aider une clientèle. Ce que j’essaie de dire là-dedans, c’est si vous arrivez avec un besoin, fort probablement, on a un marché qui est quand même assez cible sur le sur mesure, on a une façon de solutionner votre douleur qui n’est peut-être pas celle que vous aviez en tête, la solution exacte, le bouton à la place où vous voulez, mais on a un processus en place, on a des façons de user le chèque qui vont faire en sorte qu’on a une belle rétention de beaucoup de clients qui l’utilise efficacement.

Il nous reste un petit cinq minutes, donc on va accélérer un petit peu, puis on veut juste garder un peu de temps pour les questions. La seule chose que je voulais rajouter là-dessus, plus ou moins 24 semaines. Encore là, c’est quelque chose qui est discuté en cours de processus d’achat, puis selon ce que vous voulez faire, Big Bang, en phase, la complexité, la taille de votre entreprise. Mais gardez quand même ça en tête. De moment où vous signez votre dépôt jusqu’au moment où vous commencez à utiliser le logiciel, puis vous fermez le premier mois comptable, c’est quelque chose qui, en bas de trois à quatre mois, se fait assez difficilement. Sans être optimiste, en étant réaliste, disons trois à quatre mois, c’est un projet qui est standard, puis qui peut même faire de trois à six mois. C’est quelque chose qui est assez réaliste de notre côté. Petit récapitulatif des étapes et l’étape suivante. Il n’y a rien de nouveau là Juste vous rappeler, prendre un pas de recul, on commence par des recherches ERP, qui veut dire on fait vraiment nos recherches de façon déconnectée complètement. Ensuite, on fait des appels d’introduction avec les fournisseurs, 5 à 10 à ce moment-là.

On demande un dépôt de lettre budgétaire pour ceux qui ne se sont pas tancés ou qu’on n’a pas tancé lors de l’introduction. Ensuite de ça, on prend un pas de recul, on fait notre préselection, on bâtit notre comité à l’interne. Ça permet de garder deux à trois compagnies qui répondent vraiment aux besoins qu’on a. On lance les entrevues avec les les joueurs clés du comité. Ensuite de ça, la présentation du fournisseur au comité, qui est vraiment une démo de logiciel basée sur ce qu’on leur a partagé. On prend un pas de recul, on fait notre décision finale, signe un contrat, fait notre dépôt. On a un appel de lancement de projets dans lequel l’équipe va être assignée. Puis le projet qui est un des 10 points, mais qui est le point majeur, on s’entend. Donc vraiment l’acquisition de connaissances, le transfert de connaissances, l’application des connaissances. Rappelez-vous que la Dans ces clés, un petit peu comme je l’ai montré tout à l’heure, on a bâti un gain, ce n’est pas pour rien. C’est quelque chose qui arrive une étape après l’autre, puis qui devrait arriver ainsi. Vous voulez avoir de la vélocité, vous ne voulez pas prendre une de ces étapes-là, puis les tirer sur quatre mois, puis dire: OK, on était rendu à l’étape présentation, refaisons la présentation, il y a des points que vous devriez cibler.

Par exemple, après la lettre budgétaire, la préselection, ça, c’est un point d’arrêt qui peut être intéressant. Par contre, vous voulez, je pense, inviter à l’interne de faire le processus d’entrevue puis de présentation pour après ça vous déconnecter, ramener des joueurs à la table, ci, ça, c’est vraiment le point d’arrêt, si on veut, c’est le niveau de la préselection. Après ça, quand vous y allez, on vous conseille fortement d’y aller parce qu’après ça, ça va aussi dépendre de la qualité de projet qui va être mis en place, le temps que vos ressources vont… Puis l’importance que vos ressources vont allouer au projet. Tout ça devrait vraiment être fait dans la façon qu’on vous l’a présenté, selon nous.

C’est un super beau moment pour poser des questions. Quels sont les facteurs de réussite de l’implantation? Ou plutôt, qu’est-ce qu’on devrait faire pour être dans le 5% qui ont des échecs. On aimerait ça que vous soyez dans le 100% de réussite, mais on se comprend. Je pense que c’est pour ça qu’on vous présente aujourd’hui, d’avoir un processus comme ça. On essayait, au travers de ces étapes-là, de vous dire les éléments clés, mais le premier en haut de tout, ayez vos bonnes priorités, ayez vos bons joueurs clés, amenez à la table au bon moment. Faites ça efficacement, prévoyez. Je pense que si vous rentrez dans un processus du genre, ça va se marier avec la plupart des fournisseurs ERP, ce qu’on vous montre là. On n’est pas si différent des autres à ce sujet-là. On va essayer de qualifier vous et nous, on est sur un bon fils, vous faites à peu près quoi? C’est à peu près quoi le budget? On est sur à peu près dans le range de qu’est-ce qu’on veut tous les deux? Passons aux prochaines étapes, des mots, etc. Et pour que ça, ce soit un succès Pas beaucoup de monde qui vont passer.

Je vais faire la comparaison parce que quelqu’un d’autre, tu sais qu’ils demandent: Est-ce que c’est la même équipe qui fait les entrevues, qui vont faire la collecte de données et la phase d’analyse, etc. Pas probablement que non. Et à ce moment-là, l’information, elle va se passer On s’entend que, je vous donne un exemple, dans un processus, je vais parler à quatre, cinq personnes chez vous pour comprendre un peu vos besoins pour pouvoir me tourner et vous montrer le logiciel selon vos besoins. Cette entrevue-là peut durer une heure comme elle peut durer peut-être quatre heures avec certains nouveaux joueurs Ça n’ira pas beaucoup plus loin que ça au niveau de la pré-sélection, au niveau de vous aider à comprendre si le logiciel fit vos besoins. Quand on va tomber en analyse, probablement qu’on va aller chez vous quelques jours. Ce n’est pas comparable du tout l’analyse qu’on va faire. Elle se Ce n’est pas de la même façon non plus. Ça va être des joueurs différents.

Il y a des façons de transférer l’information. On commence à mettre les feuilles blanches, mais effectivement, ce n’est pas les mêmes ressources. Exactement.

Mais ce qu’on a appris, les gaps identifiés, les risques, vos douleurs, tout ça. Oui, l’information passe à l’équipe. Qui sont les joueurs importants? Tout ça, ce n’est pas perdu. En effet, on ne part pas bredouille. L’information est capturée puis elle est transférée.

Je crois que c’est un bon moment pour passer vraiment aux questions et après…

On les a tous couvertes, mais je vous invite très rapidement à les mettre. Si on n’a pas répondu complètement aux questions, Étienne et moi, allez les écrire rapidement avant qu’on ferme la session. Puis, je veux peut-être dire un peu qu’est-ce qui s’en vient de notre côté. On a des classes… Pourquoi j’ai mis ça là? C’est pour nos clients existants, mais mettons que vous veniez avec nous, à savoir, on donne des classes interactives aussi, où est-ce qu’on a plusieurs clients à se connecter et on a une classe sur notre configurateur de produits qui commence demain. Et prochain webinaire qui pourrait très bien vous intéresser, ça, c’est celui d’aujourd’hui. Probablement que j’ai mis la page à jour, mais en juin, on va avoir un autre webinaire sur comment budgetter, comment planifier votre budget pour une implantation ERP. C’est un peu similaire au conjoint, au sujet d’aujourd’hui, si ça vous m’intéresse. Ça devrait être mi-juin. Je n’ai pas la date exacte ici. C’est sur notre site web aussi. Il faudra le retrouver facilement. Merci Isabelle. Je ne sais pas si elle a déjà quitté. Il y a des gens qui nous donnent des bons commentaires.

Écoutez, ne gênez-vous pas. J’ai mis mon adresse courriel là. Vous pouvez me rejoindre aussi directement si vous avez des questions, des choses qui n’ont pas été traitées. Ça va nous faire plaisir de vous rejoindre, puis faire nos appels d’introduction avec vous. Si vous voyez qu’il y a un fit avec genius pour votre business. Si ce n’est pas le cas, je vous souhaite aussi un bon processus de recherche, puis on va travailler tous ensemble à réduire ce 75 pour cent-là, j’espère.

Merci beaucoup tout le monde. Je vais laisser la fenêtre ouverte. Mon fameux caméomètre, je vais laisser la fenêtre ouverte une petite minute. S’il y a des dernières questions à écrire, ça vous donne l’opportunité d’aller dans la section Questions et réponses et les rentrer. Puis on va collecter tout ça lorsqu’on va faire mes webinaire. Merci. Au revoir. Merci tout le monde.

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