Comment budgéter votre projet d’implantation d’un système ERP

Évidemment, comme pour ceux qui sont familiers avec les webinaire, on va commencer avec une introduction à notre plateforme à nous, qui on est, Genius. Mais vraiment, vivre du sujet aujourd’hui, ce n’est pas en lien avec Genius. C’est un sujet qui est quand même assez sous représenté, je trouve. Lorsqu’on regarde tout ce qui se fait dans le webinaire, on parle souvent de fonctionnalités, puis tout ce qui touche l’industrie, mais quand vient le temps de se construire un projet pour implanter un système ERP, souvent, les C’est ça qu’on entend beaucoup lorsqu’on parle avec les clients, c’est combien il faut que je budgète pour un système ERP? Qu’est-ce que je dois considérer? Puis de où est-ce que je pars essentiellement pour être en mesure de me construire un budget? Essentiellement, on va déconstruire ça en trois sections aujourd’hui. On va parler surtout de comment bien analyser vos besoins. Après ça, on va discuter un petit peu des facteurs à considérer. Évidemment, quand on va se lancer dans cette démarche-là, il y a des facteurs importants qui vont D’accord. Ça va nous faire respecter le budget total de votre implantation. Puis par la suite, on va rentrer vraiment dans le vif du sujet, puis on va vous montrer.

C’est des techniques, évidemment, ce n’est rien de scientifique, c’est vraiment basé sur, on va appeler ça des règles du pouce. Essentiellement, comment construire votre budget pour votre implantation. On finira ça avec, essentiellement, une question-réponse. Donc…

On y va comme ça. Aujourd’hui, les micros ne sont pas nécessairement ouverts, ne sont pas ouverts, disons-le franchement. Je vous invite à utiliser la section Questions et réponses. Vous êtes avec un zoom en anglais dans le bas de votre page, vous avez toutes vos petites commandes. Vous allez avoir une section qui est marquée Q&A, Q&A. C’est la section où vous allez écrire vos questions. On va les voir, on va être capable de les lire et de vous répondre, surtout quand on va tomber dans la section Questions et réponses. N’attendez pas qu’on soit rendu là pour les écrire, écrivez-les au fur et à mesure, comme ça, nous, on pourra commencer à considérer lesquelles on a le temps de répondre. Et, je vous le dis tout de suite, si on vous répond pas live, il y a quelqu’un qui va donner suite à vos questions par courriel par la suite. Donc, On ne vous met pas de côté parce qu’on n’adresse pas votre question live aujourd’hui. Je vais partir un peu avec qui nous sommes ici chez geniusERP. 30 ans dans le milieu manufacturier avec des fabricants sur mesure. Je reviens à la prochaine slide. Plus de 100 employés On devrait marquer 120 depuis au moins un an.

Donc, je vous dirais quand je suis rentré il y a huit ans, j’étais vraiment autour du 50ème employé ou quelque chose comme ça, où c’était toi, Maxime, peu importe, dans ces eaux-là. Puis on a grandi On a dit énormément, mais une belle croissance constante où est-ce que les gens puissent construire. Moi, j’aime bien dire qu’on a 120 employés, mais ça va être rare que vous allez entendre ça, mais 120 personnes sur leur X. J’aime ça dire ça de chez nous. Les dizaines de milliers d’utilisateurs 96 pour cent de rétention. Ça, c’est un gros velours qu’on a dans l’industrie du logiciel ERP. Les gens qui se joignent à nous restent avec nous. Ce n’est pas un chiffre qu’on voit souvent dans ce milieu-là. D’habitude, il y a une rotation qui peut être assez forte. Notre côté on a un très haut taux de réussite qu’on est fiers. Et comme je dis, une belle croissance annuelle, on peut passer. Ça, c’est une diapo qui est faite pour qu’on se vante. Je suis moins à l’aise, mais disons qu’on gagne bien des prix. On se qualifie, on a une belle renommée sur les différents sites qui vous aident à venir justement à sélectionner quel ERP faire affaire avec.

Et je vais parler un peu du pourquoi après. Mais vous voyez qu’on reçoit beaucoup de badge de mérite. Merci.

Excuse-moi, Frank, tu avais l’air de ne pas vouloir continuer dessus.

Non, je ne veux pas trop prendre de ton temps non plus avec l’introduction. Les gens sont là pour parler du budget, ils ne vont pas nous faire nécessairement qui est genius quand on est en période de sélection, ce qui fait que je vais faire un peu plus vite. Mais vous voyez qu’on se démarque, on a mis en encadré. Ça, c’est la Gartner Chart, je pense qu’ils appellent. Gartner, qui est quand même assez reconnu dans le milieu du logiciel, logiciel ERP. Puis, vous voyez que même comparé à des gros noms, on se démarque très, très bien avec notre logiciel, notre offre. On peut pas assez. Donc, pourquoi on se démarre? Qu’est-ce qui rend Ginius unique? On l’a dit en 30 ans que ça fait qu’on guilde avec les manufacturiers. Ça, ça veut dire que ça fait 30 ans que nos gens construisent l’expérience. On a des gens qui sont là depuis le début encore dans l’entreprise, notre président et d’autres, qui sont des gens qui avaient commencé à faire de la consultation manufacturière et on a vite commencé à faire affaire avec des gens qui travaillaient sur la fabrication sur mesure, sur commande. Donc, des gens qui avaient besoin d’un autre genre d’ERP ou d’un autre genre d’aide dans le manufacturier que juste faire faire des bonbons, des hot dogs, que j’appelle de la répétition.

Pourquoi on devient unique dans tout ça? On a développé une intégration avec des logiciels de dessin. On a développé une certaine façon de faire notre planification dans le système avec beaucoup de flexibilité visibilité avec une planification intelligente. On a développé des tableaux d’affaires, une façon d’avoir une belle visibilité sur l’information qui, ça ne le cachera pas, toujours changeant dans un milieu manufacturier sur mesure. Pour vous parler un petit peu de l’offre, on dit de Génieus ERP, mais c’est quoi? Génieus ERP va couvrir plusieurs fonctionnalités, que ce soit de rentrer des devis, des soumissions, d’estimation, jusqu’à planifier l’ingénier. On en a parlé comment on fait pour passer de la demande du client à la production, aux achats. Tout ça fait partie du logiciel. Et à ce moment-là, on va retrouver aussi des choses qui ont été avec la planification, le plan matière, qu’est-ce qu’on doit acheter, pourquoi. Puis évidemment, l’éputation dans les coûts en temps réel, la comptabilité qui est tout inclus dans l’offre au complet. Et toute cette technologie-là est basée sur des technologies connues, Microsoft, qui sont très solides et on continue à réinvestir année après année dans le logiciel. Je ne vais pas trop dans le détail, mais juste pour dire qu’on continue toujours à améliorer.

On a beaucoup de cycles avec l’écoute client, réinvestissement dans le logiciel en continu. Vous êtes curieux de comment ça fonctionne avec genius pour acheter ou aller avec nous? Je vais passer rapidement, mais sachez que vous pouvez installer le logiciel sur vos installations, que ce soit sur vos serveurs ou dans un hébergement web. Et là, vous avez l’option d’acheter ou de louer le logiciel. Ou encore, on peut nous gérer votre logiciel en info nuagrique et et vous faire une offre tout inclus sur le nuage. Aussi avec Genius, ce n’est pas seulement le logiciel, c’est toute une plateforme de formation pour vous garder à jour, pour gérer la fameuse rotation d’employés que tout le monde vit dernièrement. Vous avez des gens, comment on dit onboardés en français, amenés à la vitesse rapidement. Ils vont pouvoir aller se former. Cette plateforme-là, on a des formations guidées avec… Vous avez un nouvel acheteur qui se joint à la compagnie, on va avoir une série de cours de base sur les achats pour facilement amener la personne à jour à utiliser le logiciel. Puis après ça, reste simplement à l’épauler dans l’accompagnement de vos processus internes. C’est une belle plateforme qui donne aussi lieu à des belles discussions On a un forum, pas un forum, mais des cantines qu’on appelle.

Donc, trois sessions par semaine où les gens, quand ils bloquent avec Genius, n’arrivent pas à faire quelque chose. Ils peuvent aller en ligne. J’en fais une, Max, tu viens des fois en faire. Donc, c’est des experts de Genius qui sont là, prêts à répondre aux questions Vous voyez, on a mis des belles images par-dessus, les photos des gens, des fois, qui se joignent, le monde des groupes de personnes qui se joignent, qui posent leurs questions. Il y en a même qui se finissent par s’entraider entre eux autres. Ça fait une belle fenêtre sur rue de d’être génieuse avec les clients. Là-dessus, je pense qu’on tombe dans le vif du sujet. Je te laisse la parole, Maxime.

Merci Frank. On va commencer à comprendre que quand les clients vont commencer leur démarche ERP. Souvent, ce qu’on va proposer aux gens, avant même de savoir comment se construire un budget, c’est de commencer à comprendre quel type d’intégration on va vouloir C’est quoi les besoins de l’entreprise. Évidemment, il faut partir de là pour ensuite être capable de bâtir le budget pour notre projet ERP. Quand on va parler du type d’intégration, en fait, vraiment, ce qu’on voit sur le marché, ce sont trois types d’intégration différents. Il y a des gens qui vont nous appeler, puis qui vont avoir essentiellement ce qu’on appelle un domaine fonctionnel spécifique en tête. C’est des gens qui vont nous appeler, puis qui vont dire: Écoutez, moi, j’ai une problématique au niveau de ma planification, ou moi, j’ai une problématique au niveau de mon inventaire. Ces gens-là ne recherchent pas nécessairement une solution complète à tous les processus de leur entreprise, mais vraiment une solution très spécifique pour leurs besoins. Et donc, c’est de se questionner par rapport à qu’est-ce que l’on recherche vraiment Il y a des gens, comme je vous dis, ce sont pour vraiment un domaine spécifique de leur entreprise, qui vont chercher une solution parce qu’ils ont vraiment une problématique par rapport à ce domaine spécifique de l’entreprise, mais pour le reste de l’entreprise, ça roule rondement.

Par la suite, il y a des gens qui vont nous appeler et qui vont nous dire: Écoutez, moi, j’ai déjà un système comptable. Ça va bien que mon système comptable, je cherche une solution pour la gestion des opérations qui va venir accompagner essentiellement mon système comptable. Donc là, on va vraiment avoir un type de clientèle qui se dit: Moi, ma comptabilité, mes finances vont rester dans un système indépendant et tout ce qui va toucher le transactionnel quotidien, je vais vouloir le gérer dans une solution à part. Évidemment, on comprend qu’on n’a pas essentiellement dans ces deux options-là, on n’a pas essentiellement une solution tout en un, mais quand même, on va être capable d’aller chercher des bénéfices. Et là, à ce moment-là, évidemment, en n’ayant pas un système tout en un, il y a des choses comme le budget et le prix va diminuer parce que les besoins en termes de fonctionnalités, la complexité d’intégration va être moindre que si on va vers la dernière option que vous voyez là, qui est ce qu’on appelle essentiellement le ERP tout en un. Dans les ERP tout en un, il y en a certains ERP sur le marché en passant qui ne sont pas des all in one qu’on appelle.

C’est-à-dire que quand on parle d’un système ERP, il y en a certains qui se concentrent fortement sur, par exemple, la fabrication, mais n’auront pas nécessairement d’éléments comptables à l’intérieur du logiciel. Ça, ça va être quelque chose que vous allez devoir valider de votre côté, mais essentiellement, si vous vous lancez dans ce projet-là, c’est de commencer à se questionner à ce niveau-là. Beaucoup de gens vont dire: J’ai besoin d’un RP, mais en réalité, ne se sont On va vraiment pencher sur c’est quoi les choses qu’on veut régler? Puis peut-être qu’une solution, un système comptable pourrait être correct ou même encore une solution pour quelque chose de très spécifique au sein de l’entreprise. Ça, c’est tout le temps un peu le point de départ quand on va commencer à parler d’un budget de système ERP. Il faut questionner ces choses-là. Évidemment, l’autre chose sur laquelle il faut se questionner, c’est: c’est quoi les besoins de l’entreprise? Évidemment, ici, il n’y a pas une méthode prédéfinie l’académie pour établir c’est quoi exactement les besoins. Même que je vous dirais, des fois, vous allez avoir… Il y a des acteurs sur le marché, des compagnies qui se spécialisent en cahier de charges ou en sélection de système.

Puis même d’une compagnie à l’autre, il va y avoir les différences dans le processus de sélection, puis dans l’analyse des besoins. Essentiellement ici, si évidemment, vous voulez le faire vous-même à l’interne pour réduire vos coûts, ce qui est proposé généralement quand on va parler d’analyser les besoins, c’est vraiment de former une équipe qui va représenter grossièrement tous les départements ou les fonctions de votre entreprise. Le but, c’est d’aller chercher des gens qui sont vraiment assez connaissants de ce qui se passe dans leur département, puis que ces gens-là vont partager principalement c’est quoi leurs besoins, c’est quoi leurs enjeux, c’est quoi ce qu’on appelle les workflow, les processus d’affaires critiques avec lesquels ils vont devoir jongler dans le quotidien. Puis, essentiellement, ce qu’on va vouloir prendre en compte, là, évidemment, ce n’est pas une liste exhaustive, mais c’est juste des petits points, essentiellement, à valider lorsque vous allez faire cet exercice-là. On va parler souvent de regarder c’est quoi les fonctions ou les processus à améliorer? Y a-t-il des choses qu’on peut automatiser? On va aller chercher de la la qualité le plus possible. Donc c’est sûr que ça, ça va être une des premières choses qu’on va vouloir regarder.

La redondance. La redondance de processus, autant que la redondance de données. Ça, évidemment, ce sont des pertes de temps, des pertes d’efficacité. C’est des choses qu’on va entendre quand même assez fréquemment dans dans le quotidien, lorsque les gens vont vouloir intégrer une plateforme ERP, c’est-à-dire: Moi, j’ai de la ressaisie de données à gauche, à droite dans deux, trois systèmes pour être capable de faire fonctionner tous les processus de l’entreprise. Ça, c’est quelque chose qui est quand même assez important. Sinon, je vous dirais, pour les trois autres, c’est généralement des choses qui vont venir rentrer en considération dans la prise de décisions par la suite, mais essentiellement, tout ce qui est besoin d’amélioration de la communication. Là, je parle entre les départements, mais il n’y a pas juste entre les départements. Il faut comprendre qu’il y a des besoins d’amélioration au niveau de la communication, même avec vos clients à vous. Donc, généralement, pour être en mesure de bien communiquer cette information-là. Souvent, les gens vont nous dire: Moi, J’aimerais ça être capable, même si je fais des machines complexes, j’aimerais être capable de donner la visibilité à mon client sur: On est rendu où dans la fabrication?

Ou quand ça livre qu’ils reçoivent un courriel, un peu comme Amazon. Aujourd’hui, on est rendu habitué avec ces systèmes-là, donc ils veulent un peu implanter des solutions de communication de cette façon-là. Évidemment, une des choses qui est souvent pas prise en compte, c’est: C’est quoi les objectifs stratégiques de l’entreprise? Si l’entreprise aujourd’hui évolue dans un certain environnement, puis que dans cinq ans d’ici, les objectifs sont évoluer dans le même environnement ou dans un environnement différent, ou d’avoir une offre qui va évoluer dans le temps, il faut prendre ça en considération. Parce qu’évidemment, on n’achète pas un système ERP pour un an, on achète un système ERP pour plusieurs années et on veut que ce système ERP soient capables de nous accompagner dans notre croissance. Donc ça, c’est quelque chose qu’il faut absolument considérer. Et finalement, quels départements utiliseront le système, puis comment? Il y a des gens, souvent, ils vont me dire: Écoutez, moi, ce qui est vraiment important, c’est ce qui touche la fabrication, la planif, l’ingénierie. Puis là, pour tout ce qui est de la qualité présentement, ce n’est pas un enjeu. C’est important pour nous, mais ça n’a pas nécessairement besoin d’être intégré pour le moment, ils sont déjà settés.

Donc ça, c’est juste de penser à qui va vraiment utiliser le système. Évidemment, ça, ça donne lieu à des discussions. Est-ce qu’on inclue les gens de la qualité, par exemple, ou les gens du service après-vente? Ça, c’est tous des petits éléments à considérer. Un petit truc ici que je donne souvent au client, c’est lorsque vous allez commencer cette démarche-là, prenez le temps de faire ce qu’on appelle un organigramme. Mettre à jour votre organigramme, puis partagez-le avec le ou les fournisseurs RP avec lesquels vous discutez. La raison pourquoi vous devriez faire ça, c’est… Il y en a d’ailleurs, mais je vais vous donner les deux principales. C’est que lorsque va venir le temps de construire votre budget, c’est important pour le fournisseur RP de comprendre le fonctionnement de votre entreprise pour bien vous accompagner dans la création de votre budget. Ça, on va le voir un petit peu plus tard, il y a des modèles de licences et des tarifications différentes d’une compagnie à l’autre. Il y a des gens qui vendent, par exemple, une licence bureau. Ça fait toutes les opérations dans les bureaux. Il y en a d’autres, par exemple, qui vont vendre des licences par fonctionnalité ou même par de ce qu’on appelle des personas.

Si moi, je rentre des commandes, tu auras une licence rentrée des commandes. En faisant ce travail-là d’organigramme, ça va aider le fournisseur. En même temps, ça devient un peu la ligne directrice pour tous les fournisseurs RP par la suite. C’est-à-dire: Regardez, ça, c’est mon organigramme, c’est les gens que j’ai dans mon entreprise qui, selon vous, devraient utiliser le système en fonction des besoins. Puis par la suite, comment est-ce qu’on devrait distribuer les licences à travers l’entreprise? Ça, c’est vraiment une bonne façon de partager. Parce que c’est une des premières choses que vous allez vouloir aller chercher quand vous allez magasiner un RP. Comment ça coûte? Combien ça coûte? Faites service à votre fournisseur RP, puis donnez-leur un organigramme. Ça va être beaucoup plus simple pour eux de vous arriver avec un budget préliminaire. Je pense que l’autre chose qui est importante, c’est de considérer la plage de temps pour compléter votre sélection. Si je me trompe pas, j’ai un de mes collègues Étienne J’ai fait un webinaire là-dessus, je crois que c’était le mois passé ou l’autre mois d’avant. T’as raison, Max, mais je suis sorry, j’étais muté.

Je voulais dire oui, en effet, ça a été fait en mars ou en avril. Ça les Notre site web, mais à la même place, vous pouvez vous inscrire au webinaire, vous allez pouvoir trouver l’enregistrement de tout ça. Puis en effet, il y en a parlé sur le timeline ou la. La plage de temps. C’est quoi l’horaire? Qu’est-ce qu’on doit prévoir pour arriver à une implantation Réussi.

Parfait. Vous pourrez aller voir sur notre site web, c’est enregistré. Je voulais quand même prendre le temps de bien le répéter parce qu’il y a des gens, souvent… On va voir les deux cas extrêmes. Il va y avoir les gens qui arrivent et qui nous disent: Il arrive aujourd’hui, mi-juin, puis ils me disent: Moi, j’aimerais ça commencer à implanter mon système mi-juillet. Donc, ils ont quelques semaines essentiellement pour faire le travail. De l’autre côté, on a des gens qui ont entendu dire que c’est très long, puis que là, eux autres sont quasiment huit mois d’avance à commencer leur processus. Donc évidemment, il y a comme un juste milieu dans tout ça. Ça, évidemment, d’une compagnie à l’autre, ce processus-là va changer, mais il y a quand même une moyenne sur le marché qui établit à peu près combien de temps que ça va prendre. Nous, on dit à nos clients: Lorsque vous démarrez cette recherche-là pour l’ERP, de prévoir environ 8 à 14 semaines. Donc de dire: 8 à 14 semaines, ça va couvrir la recherche des systèmes, les appels d’introduction, recevoir les budgets préliminaires, faire les démos, la préselection etc. Généralement, on va parler de 8 à 14 semaines.

D’ailleurs, j’étais curieux d’entendre les gens qui sont avec nous aujourd’hui sur, selon vous, puis on avait quand même préparé un petit sondage pour vous. Selon vous, le Quel est le moyen pour la sélection d’un RP pour une entreprise qui compte entre 0 et 50 employés? Selon vous, ça ressemble à quoi? En fait, on pose la question parce que souvent les gens, ils sont Pour ceux, tout au moins, que c’est leur premier système ERP, c’est pour ça que j’ai marqué 0 à 50 employés. Les gens pensent souvent que l’achat d’un système ERP, c’est un peu comme l’achat d’une machine ou d’une commodité. Et à ce moment-là, ça fait en sorte qu’ils vont souvent un peu réduire le temps, selon eux, que ça prend pour la sélection. Mais la réalité, c’est que quand on regarde des données sur le marché, c’est un peu plus long que la majorité des gens pensent. Là, je vais vous donner quand même un indice pour le sondage, mais selon vous, c’est combien de temps que ça prend pour l’implantation? Je suis curieux de vous entendre là-dessus.

On a 80% des gens qui ont déjà répondu, ce qui fait que je vais arrêter le sondage. Je vais vous dire s’il y a d’autres trucs qui essaient de répondre, je pense que ça va créer assez de conversations. Je vais vous partager les résultats à l’écran, si vous les voyez.

C’est très divisé.

Oui, tout à fait, mais c’est réparti vers la fin. Si j’avais à dire dans l’ordre que moi, j’ai vu les choses apparaître, on dirait que les deux dernières sont rempli, puis les gens ont même changé de la dernière à plus tôt. Il y a des gens qui ne savent pas trop quoi répondre, je pense, ce qui est normal.

C’est bien correct, c’est très réparti, mais vous êtes à peu près dans l’ordre de grandeur, généralement, qu’on voit sur le marché. La réalité, c’est que quand on regarde les gens qui ont fait des sélections sur le marché, puis évidemment, il y a des données quand même disponibles sur le marché, sur ces informations-là, que nous, on regarde attentivement. Généralement, ce qu’on va dire, c’est que pour les compagnies qui sont de 0 à 50 employés, on va parler d’à peu près semaines pour faire la sélection du système ERP. C’est quand même non négligeable. On parle de pratiquement trois mois, trois mois et demi pour être capable de bien choisir la plateforme avec laquelle on va évoluer dans le futur. Évidemment, plus que la compagnie est rose, plus que de complexité, plus que le nombre de semaines avance. Donc, pour des grandes corporations, on va parler presque une demi-année. Donc, c’est là qu’une demi-année à un an, généralement, c’est ça qu’on va voir le plus dans la sélection. Puis, pour les compagnies qu’on appelle les moyennes entreprises de 50 à 500 employés, on va On va parler d’à peu près de 19 semaines. Donc ça commence à faire quand même, là, on approche le cinq mois.

Il faut quand même se prévoir d’avance un petit peu quand on va parler d’achat de système ERP. Prenez le temps de bien évaluer vos besoins. Ça, c’est la première chose. Regardez essentiellement quel genre de système vous voulez. C’est une intégration complète? C’est une intégration avec le système comptable? Puis par la suite, prévoyez-vous quand même un peu de temps pour le faire? Tout ça pour dire que si le projet est d’actualité, disons, pour 2023, ne commencez pas le processus en 2000… Ne commencez pas le processus une semaine avant. En même temps, si vous voulez faire ce projet-là dans votre année fiscale 2024, ne commencez pas le processus au début 2023 parce que vous allez perdre votre momentum dans votre sélection. Ok? Donc ça, c’est juste pour bien aligner, essentiellement, toutes les actions à effectuer pour faire l’achat de votre système. Avant de me lancer dans comment on va construire le budget pour le système RP, je veux vous parler de quelques facteurs qu’il faut absolument considérer, parce que ces facteurs-là vont avoir une incidence directe sur le budget de votre système. Donc, on va On va commencer avec, essentiellement, ce qu’on appelle les tiers. Ça, c’est peut-être un concept qui est peut-être nouveau pour les gens sur la ligne, pour ceux qui n’ont peut-être pas acheté le système ERP dans le passé.

Il y a une notion qui existe dans les systèmes ERP qu’on appelle des tiers, des niveaux, si on veut. Essentiellement, il y a trois tiers qui existent: il y a le tiers 1, le tiers 2, le tiers 3. Comment est-ce qu’on fait pour différencier ces tiers-là? Le tiers 1 se trouve en haut de la pyramide, si on veut. Le tiers un, c’est les gros noms qu’on entend sur le marché. C’est les systèmes qui sont très étendus, qui sont souvent, ce qu’on va dire, hautement personnalisables, qui sont généralement des systèmes qui sont mis en œuvre dans des entreprises qui sont implantées soit sur plusieurs sites à l’international. Puis souvent, c’est des systèmes qui ont des capacités massives de gestion de données de ressources, de personnalisation. Je ne veux pas nécessairement ici parler des corporations, malgré que les corporations en font partie, mais on va parler généralement des compagnies qui vont avoir des revenus annuels qui vont s’élever à plus de 250 millions par année. Puis là, on va entendre des gros noms sur le marché. Souvent, quand les gens parlent d’ERP, on va entendre SAP, on va entendre Oracle, on va entendre JD Edwards On va entendre des gros noms.

Puis souvent, les gens, il faut comprendre que ces compagnies-là, si vous êtes une compagnie de 75 employés, vous pouvez les aborder, mais la réalité, c’est qu’ils n’auront pas vraiment intérêt pour vous parce que ce n’est pas un marché qui le desserve. Puis de l’autre côté, vous allez perdre votre temps. Il faut comprendre que des systèmes comme ceux-là vont coûter généralement de l’ordre de plusieurs millions de dollars à implanter. Donc, ce n’est pas nécessairement ce que vous allez rechercher si vous êtes une petite moyenne d’entreprise. Malgré ça, souvent, les gens me disent: Comment est-ce que je fais pour savoir si je suis tiers un, tiers deux, tiers trois? Pour vous demander si vous êtes tiers un, on peut se poser quelques questions. Si vous si vous répondez oui à la majorité de ces questions-là, essentiellement, vous devriez magasiner un tiers un. Même chose pour un tiers deux, si vous répondez oui à certaines de ces questions-là, vous devriez magasiner un tiers deux, ainsi de suite. Quand on va parler d’un tiers un, on va souvent dire: Est-ce que la première Quel genre de choses pour un tiers un, est-ce que vous prévoyez consacrer une personne à temps plein qui va gérer votre système tout le temps?

C’est comme de dire: J’ai un opérateur de système ERP, c’est lui qui gère, puis il fait ça à 40 heures semaine. Si votre réponse à ça, c’est non, allez pas vers des tiers un. Est-ce que vous souhaitez une solution qui est hautement personnalisable? Ça, c’est quand même un élément que beaucoup de gens vont apporter sur la table, vont dire: Moi, je souhaite avoir un système qui est super flexible, parce qu’il n’y a personne qui veut un système rigide, parce que si les entreprises évoluent On veut être capable de modifier le système. Par contre, il y a quand même, ça, on en a parlé un petit peu tout à l’heure, il y a quand même des bénéfices, mais des inconvénients aussi à avoir une approche de cette façon-là. Si on veut un système qui est hautement personnalisable, évidemment, les tiers un sont les maîtres que là-dedans. Ok? Est-ce que vous êtes prêts à envisager une des solutions ERP qui est les plus coûteuses? Je vous le dis, c’est des solutions qui généralement vont… Quand on va parler de frais d’implantation, puis on parle juste des frais associés avec Les fournisseurs ERP vont généralement osciller dans les millions de dollars.

Donc ça, c’est évidemment, c’est à considérer. Est-ce que vous avez des sites internationaux? Est-ce que vous avez plusieurs sites? Est-ce que vous avez plusieurs types de revenus, plusieurs types de business? Est-ce que vous avez des Les compagnies qui font des choses différentes. Évidemment, ça, c’est toutes des choses à considérer. Les tiers 1, en passant, sont majoritairement tous des compagnies qui sont cotées à la bourse aussi. Donc, si vous cherchez un nom, vraiment un branding, puis une force sur le marché, évidemment, ces compagnies-là sont cotées à la bourse. Ce ne sont pas des compagnies qui sont privées nécessairement. D’accord? Par la suite, on va tomber dans le tiers 2. Puis là, le tiers 2, lui, quand même, va couvrir assez large, va On va généralement parler du 25 à 250 millions de revenus annuels pour des entreprises qui vont vouloir viser un tiers deux. Le tiers deux, en fait, c’est comme le juste milieu entre le tiers trois puis le tiers un. Puis souvent, ce qu’on va dire du tiers deux, c’est il y a certaines caractéristiques du tiers 2 qui ressemblent au tiers 1, mais le coût va être inférieur. Donc, on va vouloir avoir les avantages, par exemple, du tiers 3, c’est-à-dire les coûts qui sont beaucoup moindres, mais on va aller chercher un petit peu de flexibilité aussi au sein de ces systèmes-là.

D’ailleurs, avec les années, se sont développés sur le marché, évidemment, les tiers 1, ce qu’ils ont fait, c’est qu’ils ont acheté énormément afin de consolider leur offre, ils ont chez beaucoup de systèmes de tiers deux pour les inclure dans leur portefeuille de produits. Vous allez voir aujourd’hui quand vous entendez, par exemple, SAP. Bon, SAP, c’est un gros nom sur le marché. Sap a un système de tiers un, mais a acheté et développé aussi des systèmes de tiers deux, par exemple, SAP Business qui est une solution un peu prépackagée de SAP, donc il y a toujours le nom SAP dessus. Par contre, on va parler des frais d’intégration qui vont être beaucoup moins, par exemple, que si on achetait la solution tiers un. Ok? Puis généralement, dans la TR2, ce qu’on va retrouver, ça va être des systèmes qui vont être un petit peu plus niche. C’est-à-dire que c’est des systèmes qui vont avoir une préférence à desservir un certain marché. Parce que si on C’est un peu la balance entre la flexibilité et une solution qui est déjà prépackagée. C’est-à-dire si je veux que ça soit moins dispendieux, je vais offrir moins de flexibilité, moins de personnalisation.

Si on fait ça, par la À cause des choses, on n’a pas le choix de se consacrer à un marché plus spécifique. Donc de dire: Moi, je vais travailler seulement avec les manufacturiers ou moi, je vais travailler seulement avec la distribution. Donc c’est là qu’on va avoir beaucoup plus de systèmes qui sont spécifiques à des industries ou des marchés Sinon, qu’est-ce qu’il y a d’autre à dire ici? Pour les questions, en fait, souvent que les gens vont se poser, que je suis tiers deux. Parce qu’en réalité, si on parle de… Là, je vais parler de genius. Le genius, aujourd’hui, beaucoup de clients vont dire: Ben moi je suis tiers deux, je suis tiers trois. On peut y aller sur une base de revenus, mais ça demeure une règle du pouce. Si vous faites 15 millions de revenus, vous pouvez quand même aller chercher un tiers deux. Si votre objectif stratégique, c’est dans les 10 prochaines de passer à 30 millions de revenus, ultimement, choisissez un système qui va vous permettre de faire ça aussi. Ne choisissez pas un système qui va vous contraindre essentiellement aux fonctionnalités qui sont dedans. Puis par la suite, si vous évoluez ou si votre entreprise a grandi, croit que vous allez essentiellement plafonner dans ce système-là.

Ce sont seulement des règles du pouce, évidemment. Quand on va parler du tiers trois, ça va être de zéro à peu près à 25 millions. Je dis zéro, un, mettons un million à 25 millions. Puis souvent, j’aurais dû mettre un, pas zéro, parce qu’on a quand même des compagnies qui vont venir nous voir, qui n’ont pas tout à fait un million de chiffre d’affaires, des petites entreprises. Là, c’est difficile un petit peu d’aller chercher un système qui, généralement, va couvrir une clientèle de zéro à 25 millions, le budget risque d’être un petit peu trop élevé pour ce genre de compagnie-là. Des questions à se poser en passant quand on va tomber dans le tiers deux, tiers trois, puis ça, ça va être super important. Ça va être: est-ce qu’on est prêts à modifier nos processus pour se confirmer aux meilleures pratiques. Parce que comme je vous disais, ici, il va y avoir moins de possibilités de personnalisation puis de flexibilité. Il faut être prêts à faire ce travail-là de votre côté. L’autre chose aussi dans le tiers 1 versus tiers 2, tiers 3, c’est dans le tiers 2, tiers 3, vous allez souvent travailler avec l’intégrateur lui-même, le fournisseur ERP, pour la formation, le support, etc.

C’est-à-dire que vous n’aurez pas nécessairement à travailler avec ce qu’on appelle des revendeurs ou des intégrateurs. Je vous parlais tantôt des tiers 1, par exemple. Un tiers 1 comme SAP qui a acheté un système tiers 2 comme SAP Business One, vous comprendrez que Business One, ce n’est pas une unité à part entière, puis qui descend tous les clients dans le monde. En réalité, SAP utilise quand même le même modèle que dans son tiers 1, va travailler avec ce qu’on appelle des revendeurs ou des intégrateurs. Ce sont essentiellement des compagnies qui, eux, vont représenter SAP, vont vendre leur logiciel, puis vont intégrer leur logiciel. Donc, vous ne travaillerez pas nécessairement avec SAP, vous allez travailler avec des intégrateurs ou des revendeurs. Puis, évidemment, dans le tiers 2, tiers 3, il va y avoir certaines entreprises de ERP, des fournisseurs qui eux, vont être non seulement ce qu’on appelle le publisher, c’est-à-dire la compagnie qui conçoit le système ERP, vont aussi être ceux qui l’intègrent et qui le supportent.

Donc des fois, ça fait plus facile aussi d’avoir ce qu’on appelle un one-stop shop, donc un endroit pour tout faire.

Si ce n’était pas clair pour tout le monde, c’est le cas chez nous. On est et les développeurs et les intégrateurs du logiciel dans nos équipes. Absolument. Donc ça, c’est… Génieus, en fait, je ne l’ai pas positionné ici, mais pour ceux qui sont intéressés par notre application, Génieus va jouer dans le territoire du tiers trois et du tiers deux. Donc, évidemment, aujourd’hui, on n’est pas situé à un seul endroit, on est plus situé, je dirais 2,5. C’est vraiment là qu’on est. On va desservir des plus petites entreprises, mais on est aussi quand même une grande La clientèle. Il faut comprendre, c’est tantôt, comme j’ai dit, on dessert un marché niche. Si vous vous fittez bien dans ce marché-là, le logiciel va bien marcher pour vous. Je pense que le deuxième facteur à considérer, c’est le modèle de tarification. Et essentiellement, le modèle de tarification aujourd’hui, il y en a vraiment encore, je vais dire deux sur le marché. Ce qu’on appelle la tarification perpétuelle ou la tarification par abonnement. Le par abonnement, essentiellement, vous, probablement, vous en avez déjà entendu parler. C’est de plus en plus parlé aujourd’hui dans les systèmes. C’est souvent appelé aussi le mode SaaS.

Les gens vont mêler souvent ce qu’on appelle l’info nuagique et la tarification. Il faut comprendre que… Je fais la différence vraiment entre les deux. La tarification et l’hébergement des données sont deux choses différentes. C’est juste que quand on va parler d’une offre Info nuagique SaaS, c’est essentiellement un une offre qui est clé en main, qui combine les deux. C’est de dire: Essentiellement, je vais payer une annualité, je vais payer un abonnement et par la suite, je vais avoir deux options pour mes données. Je vais pouvoir les héberger localement sur un serveur qui m’appartient ou sur un genre que je vais décider, ou mon fournisseur va les héberger sur sa plateforme info nuagique de choix. Ce qui est à comprendre avec les licences perpétuelles puis abonnement, je vais en parler un petit peu plus tard, mais essentiellement, il y a quand même un Il y a quand même une différence assez importante lorsqu’on va parler de budget, entre une licence perpétuelle puis une licence par abonnement. En fait, la plus grosse différence, c’est vraiment le coût. Le coût initial de la licence perpétuelle est beaucoup plus élevé que la licence d’abonnement et le coût final de la licence perpétuelle, donc ce qu’on appelle le total cost of ownership, je n’ai pas la traduction, mais le coût total d’achat sur plusieurs années.

Évidemment, la perpétuelle va être moins moins cher au bout de la ligne que l’abonnement. En fait, ce n’est pas bien compliqué ici, ce n’est pas vraiment différent d’un auto. Quand vous achetez, vous financez un auto versus vous louez une auto, en mode abonnement, on paye toujours, puis en mode perpétuel, à un moment donné, après un dans les temps, on rentre dans notre argent. C’est un peu le même modèle ici qu’on va retrouver. Je vais revenir tantôt sur le perpétuel puis l’abonnement. À ça, comme je vous disais, il faut rajouter le modèle d’hébergement. Le modèle d’hébergement, c’est le système est vraiment un peu l’outil dans lequel vous allez rentrer l’information quand, par exemple, vous rentrez une commande, un bon d’achat. Et par la suite, ces données-là s’enregistrent dans des bases de données. Les bases de données, il y a vraiment deux choix ici. Les bases de données peuvent être hébergées localement, c’est-à-dire sur un serveur physique qui vous appartient. Ce serveur-là, en passant, on dit local, mais dans le sens local, ça peut être chez vous ou vous pouvez avoir un serveur chez votre fournisseur à TI, mais essentiellement, il est local, il n’est pas dans le cloud.

Finalement, l’info nuagique, ça, c’est un peu le contraire de local, c’est-à-dire que toutes les données que vous saisissez dans le système vont être hébergées dans le nuage. Donc, sont accessibles partout dans le monde. D’ailleurs, local, en passant, souvent, les gens, ils vont mixer ça avec: Mes données sont locales, je ne peux pas accéder à mon système autre qu’au bureau. Ça, ce n’est pas vrai. Ça, ce n’est pas vrai du tout. C’est juste la façon dont les données sont hébergées, sont différentes. Ici, vraiment, les données sont chez moi, ils m’appartiennent. Dans Info nuagique, généralement, les données devraient vous appartenir, malgré qu’il y a des systèmes aujourd’hui qui ne peuvent pas extraire vos données. Mais généralement, les données vont vous appartenir, mais évidemment, c’est beaucoup plus difficile d’aller les chercher. En Info nuagique, aujourd’hui, il y a beaucoup de gens qui s’en vont vers là, juste par la simplicité, évidemment, en local, vous comprendrez que j’ai un environnement physique à gérer. Je dois payer une infrastructure TI. Je dois gérer une infrastructure TI. Dans l’info nuagrique, c’est un système qui est clé en main. Je n’ai rien à gérer de tout ce qui est infrastructure TI. Ok?

Excusez-moi, je ne sais pas pourquoi je suis sorti de là. La dernière chose, je pense que le dernier facteur à considérer de votre côté, ça va être: est-ce que vous êtes prêt à personnaliser ou à changer? Je dis ça parce que ça revient un peu à ce que je parlais tout à l’heure dans les Le tiers un, tiers deux, tiers trois. Il va y avoir, certainement, si vous choisissez une plateforme qui est plus de tiers deux ou de tiers trois, il va certainement y avoir ce qu’on appelle la réingénierie de processus. La réingénierie de processus, c’est un terme qui est un peu fancy, juste pour dire que vous allez devoir changer vos façons de faire. La raison pourquoi vous allez devoir faire ça, c’est parce que l’idée des systèmes qui sont tiers deux, tiers trois, c’est d’achever la mise en œuvre dans les plus brefs délais possible. C’est d’aller live le plus rapidement possible. Puis, comment est-ce qu’on fait ça? On fait ça en apportant le moins de modifications possible au système. La vérité, c’est que souvent, on va arriver dans des entreprises qui vont vouloir implanter leur processus, mais ce qui est quand même spécial, c’est que ces gens-là n’ont pas vraiment des processus optimisés.

Ce sont juste leurs processus qu’ils sont habitués d’utiliser, mais ils vont quand même vouloir aller avec leurs processus. En fait, le nouvel ERP que vous allez Et intégrer probablement ce qu’on va appeler les meilleures pratiques. Les développeurs, tous les développeurs qui ont travaillé sur la plateforme au fur et à mesure avec les années, vous comprendrez que quand ça fait, par exemple, comme genius, 30 On l’entend qu’on travaille juste avec des manufacturiers. À un moment donné, on a comme compris ce qui marche bien, ce qui marche moins bien dans les différentes entreprises de manufacturiers. Nous, en fait, ce qu’on veut, c’est que vous utilisez les meilleures pratiques. Et ça, ça veut dire que, est-ce que vous êtes prêts à changer plutôt qui a personnalisé la façon dont le système va travailler. Ça, ce n’est pas nécessairement une mauvaise chose en passant. Il y a des gens qui disent: Moi, je préférerais personnaliser mon système à mes opérations. C’est tout à fait légitime. Donc C’est correct, c’est une façon de faire comme un autre. C’est juste que n’attendez-vous pas de choisir une plateforme tiers deux, tiers trois qui est faite pour votre marché. Puis après ça, la tordre pour fonctionner comme vous voulez.

C’est sûr qu’éventuellement, il y a des inconvénients quand on fait des choses comme ça Juste avant de se lancer dans la dernière portion du webinaire sur comment on va construire un budget dans le fond pour le système ERP, je voulais faire un autre petit sondage. Je suis juste curieux de vous entendre sur, selon vous, C’est quoi la raison principale pour laquelle les PME implantent un système RP? Parce qu’il y en a vraiment de toutes les raisons qu’on entend aujourd’hui, mais il y en a vraiment une qui revient très, très, très fréquemment. Donc, je suis curieux de vous entendre là-dessus. Vous avez essentiellement ce qu’on appelle soutenir la croissance, augmenter l’efficacité ou la productivité, consolider les données à un seul endroit, remplacer des systèmes désuet, ou juste avoir des meilleures données pour la prise de décision. Selon vous, c’est quoi qui est, disons, la raison qui prime par-dessus tout. Je suis curieux de vous entendre là-dessus.

C’est un choix. Ça, c’est difficile. Celle-là, moi, j’ai hésité vu que c’était seulement un choix. Ok, les gens commencent à se lancer. Encore une fois, j’ai presque 80%, ce qui fait que je vais… Ah! On a répondu, bon ben allons-y. Je vous partage le résultat. On est un peu ex aequo avec augmenter l’efficacité et productivité ou être capable de consolider les données qui peut aussi faire penser à la visibilité de tout l’ensemble d’entreprises.

Effectivement. Il n’y a pas de mauvaises réponses en passant. Je pense que vous avez quand même sélectionné, je vous dirais, d’en façon majoritaire, des éléments qui sont dans le top trois des raisons pourquoi les gens vont changer de système. Ce qui est surprenant, par exemple, c’est que personne n’a mentionné la raison principale pour laquelle les gens vont changer aujourd’hui quand on pose la question sur le marché. Pourquoi? La raison, c’est parce qu’on veut supporter une croissance. C’est vraiment: j’ai aujourd’hui un état de situation, je me projette, j’ai une croissance à vivre. Puis aujourd’hui, pour être capable de vivre cette croissance-là, Je vais avoir besoin d’un système. Pourquoi j’ai besoin d’un système? Vous avez raison. Je veux consolider mes données, je veux augmenter mon efficacité, je veux plus de fonctionnalités, je veux augmenter ma productivité. Tout ça est absolument vrai, mais la réalité, c’est que les gens aujourd’hui, quand ils pensent: Pourquoi est-ce que je devrais avoir un système, c’est parce que je veux supporter ma croissance. Donc, je veux être capable d’y arriver.

Moi, je danserais des points à tout le monde parce que supporter la croissance, c’est un peu comme toutes ces réponses.

C’est ça, effectivement. C’est pour ça que je dis, toutes ces réponses vont rentrer dans supporter la croissance, mais la réalité, c’est qu’aujourd’hui, pour être capable de supporter cette croissance-là, les réponses que vous avez données sont bonnes pareil. On va se lancer dans la construction du budget. Et là, évidemment, on va commencer de très haut niveau dans bâtir le budget de système ERP. Et là, j’ai voulu vous présenter essentiellement ce qu’on appelle une règle du pouce. On va appeler ça comme ça. Ce sont des règles du pouce pour vous aider à vous donner un point départ. Parce que beaucoup de gens, souvent, ils n’ont aucune idée ou démarré par rapport à leur budget de système ERP. Ils vont appeler des gens, des fournisseurs ERP, ils vont demander des budgets, puis ils vont recevoir des budgets. Ça va varier grandement d’une compagnie à l’autre. Comment est-ce que je fais pour me donner un budget avec lequel je vais travailler? Ce qu’on voit le plus sur le marché, là, je vais parler vraiment en termes de le marché avec lequel Génieus travaille. On va parler de la petite moyenne d’entreprise, je vais dire du 15-20 employés jusqu’aux 250 employés, mettons à peu près.

Ça va donner pas mal dans les revenus annuels qu’on a parlé tout à l’heure. Ce qu’on voit généralement pour ces gens-là, c’est qu’on va vouloir prévoir entre 1 et 2% du chiffre d’affaires, essentiellement, pour notre projet d’implantation. Ça, ça veut dire quoi? Ça veut dire qu’à 1%, j’ai une implantation vanille, pas de personnalisation très simple. Ça représente quelque C’est quelque chose qui va bien cadrer dans le système. Puis, à 2%, on va aller chercher une intégration qui est un peu plus complexe, avec un petit peu de personnalisation, où j’ai peut-être une structure organisationnelle qui est un peu plus complexe, j’ai besoin de plus d’accompagnement. Tantôt, je vous parle de votre organigramme Il y en a des petites entreprises qui sont très complexes en passant. Il y a des entreprises qui ont trois niveaux d’approbation, puis il y en a d’autres qui sont plus grosses, qui sont complètement àplaner. Mais ça, ça joue un rôle quand même dans l’implantation d’un système ERP. Ça veut dire quoi ça? En fait, c’est quand on prend un exemple Ici, je vais vous donner un exemple rapidement. On prend des revenus annuels, disons, de 5 millions, puis je vais prendre l’exemple à 1.

5. Je vais me mettre à peu près dans la moitié de la règle du pouce. Réalistement, une compagnie qui va faire environ 5 millions de chiffre d’affaires devrait prévoir à peu près 75 000 hors pour faire l’implantation de son système ERP. Évidemment, ça, ce sont les coûts d’implantation de la première année. Ça veut dire quoi? Ça, ça veut dire le logiciel de la première année plus les frais d’implantation de la première année avec implanter la solution. Après ça, on On entend que si vous êtes en mode abonnement, vous allez continuer à payer votre abonnement. Puis l’abonnement, ça ne sera pas 1% ou 1,5% de votre revenu. L’abonnement va être moindre que ça. Même chose en perpétuel. Vous allez acheter les licences, ça va être un gros achat initialement, mais pour la La maintenance, par la suite, pour le garder à jour, ça va être moins que 1,5%. Je veux juste être clair ici. Quand on va parler d’une compagnie de 5 millions, normalement, une compagnie de 5 millions devrait être en mesure d’implanter une solution qui va coûter à peu près dans les autres 75 000 $. Évidemment, on peut monter, on peut se donner des chiffres comme exemple.

À 10 millions, une compagnie devrait être en mesure de se payer un logiciel qui va coûter à peu près 150 000 $. Puis, à 20 millions, on va être plus associé dans les autres 300 000. Vous comprendrez de cette façon-là, vous pouvez utiliser le barème du 1 à 2%, 2% étant une implantation vanée, vous utilisez vraiment ce que le fournisseur vous propose, pas de personnalisation, 2%, c’est un peu le contraire. Vous allez avoir des budgets qui vont essayer généralement dans ces eaux-là. Pour vous, c’est vraiment un point de On prend ce montant-là par la suite, on va le ventiler. Quand on ventile un système ERP, essentiellement, il y a vraiment trois types de coûts qu’on devrait considérer. Je n’ai pas mis le troisième parce que la plupart des fournisseurs ERP ne fournissent pas le troisième type de coûts, ne ventile pas. C’est ce qu’on appelle l’infrastructure. Aujourd’hui, quand vous allez avoir fait l’achat d’un système ERP, disons, vous achetez pour 150 000 $, la réalité, c’est que vous allez ventiler ces coûts-là en logiciel, puis vous allez ventiler la partie des coûts en implantation. Si vous achetez le logiciel, puis vous vous hébergez localement avec une licence perpétuelle, il va y avoir un frais d’infrastructure si vous n’êtes pas déjà équipé avec des serveurs.

D’accord? Ça, évidemment, c’est à considérer dans le prix. Je Normalement, les systèmes ERP ne mettent pas ça dans leur offre, ils ne gèrent pas les infrastructures clientes. Quand on va parler de logiciel puis implantation, normalement, le montant que vous allez recevoir de votre fournisseur va se séparer dans ces deux grandes lignes-là. D’accord Et là, tout à l’heure, je vais parler de logiciel. Le logiciel, je peux avoir des licences perpétuelles ou des licences d’abonnement. C’est quoi la différence entre les deux? En fait, sans vous parler des différences, je vais surtout vous parler de c’est quoi les avantages et les inconvénients. Pour la perpétuelle En fait, l’avantage, c’est que c’est un coût qui est quand même bien défini dès le départ. C’est-à-dire, on va vous dire exactement combien de licences vous avez besoin, c’est quoi le coût du serveur, etc. Le coût, généralement, est très bien défini dès le départ. Il n’y a pas un coût d’abonnement continu avec la perpétuelle. Il y a une petite maintenance à payer pour garder le C’est bien le cas l’Ajo, mais c’est loin d’être comme un abonnement annuel. Et je pense que l’avantage le plus important à considérer que la perpétuelle, c’est que vous allez réduire votre facture totale à long terme.

Ça, c’est vraiment l’élément le plus important, c’est que si vous êtes là-dedans pour le long terme, la licence perpétuelle vous permet, après cinq, six, sept ans, de rentrer dans votre argent par rapport à un abonnement. Les inconvénients, c’est toujours les coûts initiaux. Pourquoi? Parce que vous devez acheter les licences. C’est un frais qui est beaucoup plus dispensé yeux, acheter une licence initialement que payer un abonnement pour cette licence-là de façon annuelle. Évidemment, il y a tout ce qu’on appelle la gestion de la mise à jour de l’infrastructure. Si vous avez plus d’employés, il va falloir augmenter les performances de l’infrastructure qui est une mise à niveau que vous devez continuer à faire de votre côté par rapport à l’infrastructure. Le mode abonnement, évidemment, les gros avantages, c’est que c’est super flexible, c’est évolutif. C’est-à-dire que j’ai un employé de plus, je prends une licence de plus, j’ai un employé de moins et j’enlève une licence Les coûts initiaux sont beaucoup plus bas. Vous n’avez pas à payer, à faire l’achat des licences, capitaliser des licences. Vous payez essentiellement une dépense opérationnelle que vous allez payer annuellement pour garder les licences actives. L’inconvénient, c’est le coût à long terme est beaucoup plus élevé que si on était en perpétuel.

Aujourd’hui, c’est une des raisons d’ailleurs pourquoi le cloud est très à la mode aujourd’hui, c’est que les coûts initiaux sont beaucoup plus bas C’est super flexible. Par contre, les gens se rendent compte qu’à long terme, c’est plus cher, c’est plus dispendieux qu’une perpétuelle. Puis vous comprendrez qu’en mode abonnement, ici, la journée que vous décidez d’arrêter de payer, c’est plate, mais vous avez plus accès au logiciel. En perpétuel, ça, ce n’est pas le cas. Vous arrêtez de payer Le logiciel vous appartient toujours. Donc, vous pouvez continuer à l’utiliser, évidemment sans les mises à jour, mais ça fait partie de tout ça. Les modèles de licence. Je voulais vraiment qu’on parle de tout ça parce que ça, vraiment, c’est là qu’on va mélanger les gens le plus. Ok Ce qui va arriver, c’est quand vous allez vouloir comparer les fournisseurs ERP, chaque fournisseur ERP a un modèle de licence différent. Donc là, quand on vient pour comparer, c’est très difficile de comparer des pommes avec des pommes. Je vais vous donner deux exemples qui sont très simples, mais juste pour vous montrer comment deux systèmes ERP peuvent gérer leurs licences différemment. Je donne un exemple ici à gauche.

Un premier système qui, essentiellement, vend trois types de licences. Ils appellent ça, par exemple, des licences bureau, des licences d’usine, des licences d’entrepôt. Sa licence de bureau, qu’est-ce qu’une personne peut faire avec ça? Elle a accès aux ventes, le CRM. Elle peut faire des approvisionnements, elle peut gérer la production, elle peut gérer la planif, elle peut gérer l’inventaire, elle peut faire de la comptabilité. Ça, c’est tout inclus dans une licence bureau Puis une licence usine, qu’est-ce que je peux faire avec ça? Un employé dans l’usine peut avoir essentiellement ce qu’on appelle un MES, qui est un ordinateur, un punch. Il est capable de faire de l’inspection de la qualité, il est capable de consommer du matériel ou même regarder des dessins sur une Puis une licence d’entrepôt, ça permet de faire par exemple des expéditions de réception, des mouvements d’inventaire, de la consommation. Essentiellement, quand vous allez regarder ce modèle de licence-là, évidemment, c’est sûr que si, par exemple, pour un employé de bureau, je donne accès à tout ça, je vais avoir un certain prix qui va être attaché à cette licence-là. Évidemment, le prix va être plus élevé de cette licence-là que si j’avais un modèle comme le système ERP numéro 2, ici, à droite.

C’est-à-dire que lui, en fait, permet de ventiler tous ces modules un module à travers un système de licence. Il va dire: Si toi, tu fais juste la comptabilité, tu vas payer juste pour un module comptabilité. Mais si tu fais de la comptabilité, puis tu gères l’inventaire en plus, puis tu gères les ventes, là, tu vas payer pour comptabilité CRM, puis pour essentiellement l’inventaire. Ça fait en sorte que, essentiellement, pour être capable de construire vraiment, je vais appeler ça, un modèle dans lequel vous pouvez comparer les fournisseurs, ça devient un peu plus complexe. Ce que je vais donner comme Une astuce aux gens pour bien faire ce travail-là, c’est avec les fournisseurs avec lesquels vous allez travailler, demandez-leur toujours la liste des licences et des options qui ont disponible. Ça, évidemment, vous allez toujours avoir un peu de… Il va toujours y avoir un peu de pourquoi est-ce que tu veux ça, monsieur le client? Mais la réalité, c’est pour être capable de bien comprendre les offres que vous allez recevoir de vos fournisseurs ERP, il faut être capable de dire: OK, si lui me donne trois licences bureau, ça me coûte 300 $, puis lui, finalement, il me donne trois licences comptabilité, ça me coûte seulement 30 $.

Essayons de comprendre: OK, mes licences bureau, je peux faire quoi de plus avec? Puis pour avoir les mêmes fonctionnalités, il faut comprendre qu’ici, il faudrait qu’on vienne rajouter approvisionnement, planification, inventaire, puis là, faire vraiment une comparaison qui est pomme avec pomme, comme on dit. Ça, c’est quelque chose qui est important à considérer. Finalement, au niveau des frais d’implantation, on a parlé tout à l’heure, on avait le logiciel, on a les frais d’implantation. Généralement, les gens vont passer énormément de temps sur ce qu’on appelle tout ce qui est fonctionnalités logicielles. La majorité des processus de sélection, d’ailleurs, sont faites à faire avec des des firmes externes, vont faire ce qu’on appelle des cahiers de charges qui sont purement basés sur les fonctionnalités de la plateforme. Par contre, vous avez un frais d’implantation dans un système ERP qui est généralement plus élevé que le frais du logiciel. Puis ça, les gens, souvent, le négligent de façon assez importante. Donc, pour l’implantation, il faut faire bien attention de comprendre dans l’implantation en quoi ces frais-là vont vous aider. Généralement, au niveau de l’implantation, toutes les firmes ERP ou les revendeurs ont des façons différentes de ventiler leur truc, mais généralement, vous devriez avoir à peu près trois sortes de frais, ce qu’on appelle de la consultation, de la formation et du support.

En quoi consistent ces trois sections-là? Essentiellement, la consultation, ça va être des consultants qui vont venir chez vous, ce qu’on appelle des analyses d’affaires. Ces gens-là vont monter un peu, vont faire l’analyse des processus, vont regarder comment vous travaillez aujourd’hui. Eux autres, ils savent comment le logiciel fonctionne. Ils vont être en mesure de faire ce qu’on appelle des devis techniques, des devis fonctionnels, de dire: Voici comment est-ce qu’on va setter le logiciel pour vous, voici qu’est-ce qu’on doit activer, désactiver, quelles données on veut utiliser, etc. À partir de là, ils vont créer ce qu’on appelle un sandbox, un carré de sable, un environnement dans lequel on va pouvoir faire de la formation des tests, de la simulation, etc. C’est aussi eux qui vont faire ce qu’on appelle de la planification, qui vont dire: Dans ce que vous avez besoin, dans ce qu’on aimerait mettre en place avec le budget qu’on a, voici réalistement l’échéancier devrait On va nous demander à quoi. Ok? Vraiment, au niveau de la consultation, c’est ce qu’ils vont faire. Après ça, on va tomber plus dans la mode formation qu’on va appeler. La formation, c’est une fois qu’on a défini vraiment l’environnement avec lequel on va travailler, on va vouloir former les utilisateurs à utiliser cet environnement-là.

On va vouloir faire des simulations. Ça veut dire on va vouloir simuler vraiment des processus d’affaires qui arrivent quotidiennement pour s’assurer qu’on n’a rien oublié. Puis on va vouloir faire plusieurs tests aussi pour être capable de s’assurer que ça convient vraiment aux besoins. Finalement, il y a tout le temps un peu de portions de Puis dans le support, on va trouver toutes sortes de choses, mais généralement, on va parler de migration de données. Vous avez des données dans des systèmes existants. Aujourd’hui, on va vouloir les migrer dans le système actuel. Puis tout ce qui tombe dans personnalisation puis intégration sur mesure, va tomber aussi dans le Dernière slide de mon côté. Dans le fond, souvent, les gens vont dire: Moi, j’ai des histoires d’horreur de système ERP. Comment je devrais me prévoir de contingence? Puis pourquoi se prévoir de la contingence? Il y a plusieurs raisons, mais dans le fond, je vous ai Vous verrez quelques raisons pourquoi vous devriez prévoir une contingence. Évidemment, le salaire des employés. Il faut comprendre que les gens qui vont travailler à l’implantation, vous leur payez un salaire, puis ils ne sont pas productifs dans votre entreprise pendant l’implantation.

C’est-à-dire qu’ils ne font pas des ventes, ils ne produisent rien. Il y a un frais associé à ça C’est sûr que moi, tout ce que je vous parle aujourd’hui comme création de budget pour votre projet, ça ne considère pas cet élément-là. Les coûts de reformation. Ça, on voit ça énormément. Des gens qu’on va former, mais finalement, ils ne font pas les exercices, ils ne sont pas très attentifs. C’est un peu comme à l’école, en fait. Donc, on va devoir reformer ces gens-là. Ils quittent?

Oui, ils quittent à travers ce processus.

Ils quittent aussi, oui. Puis nous autres, on ne coule pas les gens. En fait, on ne leur fait pas sauter une année s’ils ne passent pas. On les coule, puis on les fait recommencer. Des tests incompless aussi, c’est assez fréquent. Je pense que le plus gros, j’ai vu des étoiles ici, c’est la réingénierie de processus. Les gens assument que le logiciel va se modeler à leur processus d’affaires et négligent la réingénierie de processus. Ça, c’est Puis ça, c’est difficile parce que ça implique des humains et ça implique la résistance des employés à changer les façons de faire. Évidemment, personnalisation et intégration superflues, ce que moi, j’aime appeler les Tancay. Tancayette, on va faire ça aussi. Tantka, on est au sommet de l’offert d’un moment. Tantka, on va rajouter ça. Ça, ça augmente des budgets assez rapidement. Puis après ça, vous avez réduction des coûts espérés, plus long que prévu. Souvent, les gens disent: Je vais rentrer dans mon argent dans six mois. Mais la réalité, c’est qu’une courbe d’apprentissage, ça peut prendre jusqu’à un an, 18 mois avant que vous voyez les bénéfices. Ok. Comment on en prévoit? Généralement, nous, on va dire entre 10 et 15% du budget qui avait été prévu pour votre projet.

Donc, si vous voulez vraiment faire un bon travail d’illégeant, dites-vous, entre 10 et 15% du budget que j’ai reçu, Je devrais me le mettre en contingence pour les éléments que j’ai listés ici. Ça, ça va vous donner un chiffre total. Puis avec ça, vous allez être capable de faire votre budget. Ça a clôture pour moi, François Oui, écoutez, avec le temps qui nous reste, il reste comme à peine deux minutes, je vais faire une petite annonce.

Je vous invite à écrire dans le Q&A, dans la section de questions-réponses du Zoom, si vous avez des questions. Sinon, on va mettre dans le volant, dans une ou deux slides nos courriels, si vous voulez nous écrire directement. Sinon vous avez des courriels pour joindre peu importe les gens de nos équipes sur notre site Web. Qu’est-ce qui s’en vient? Je suis pas sûr que j’ai des clients existants, mais pour nos clients existants, on a une nouvelle version avec plein de nouvelles fonctionnalités, des choses intéressantes qu’on va présenter la semaine prochaine, le 21 juin, où on va parler aussi du suivant par la suite. Puis si vous êtes intéressés par avoir d’autres de nos webinaire, on prend une petite pause pour juillet, puis on vous revient au mois d’août. Et ça va être notre équipe marketing qui va venir vous parler justement de comment ça fonctionne ou comment on peut vous donner des insights sur comment se fait le marketing chez les fabricants. Et tel que promis, voici nos courriels. Le courriel de Max, le mien, n’hésitez pas à en faire bon usage. Si vous avez des questions, suivez nous joindre. Et encore, on va laisser la section questions et réponses ouverte encore quelques secondes, voir si des gens veulent en ajouter.

Sinon, je vous remercie beaucoup, vous êtes joint à nous. Merci Max, de t’être prêté l’exercice.

Ça fait plaisir. Merci à tout le monde d’avoir été présent. J’espère que ça a été bon pour vous.

Oui, j’ai bien aimé les Tancas, moi je les ai appelés les Oui, mais… Mais bon. Alors, merci Éric, merci Pierre-Luc, les autres personnes qui sont déjà parties. On vous remercie tous pour votre présence aujourd’hui et on va fermer ça maintenant.

Merci. Merci.